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Oeuvres politiques

Oeuvres politiques

Nicolas Machiavel, P. Christian - Collection Sciences sociales

430 pages, parution le 01/10/2020

Résumé

Oeuvres politiques de Machiavel / recueillies et précédées d'un Essai sur l'esprit révolutionnaire. Essai sur l'esprit révolutionnaire / par P. Christian
Date de l'édition originale : 1842

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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Sommaire

TABLE DES MATIÈRES.

ESSAI SUR L'ESPRIT RÉVOLUTIONNAIRE.Pag. I
TRAITÉ DE LA RÉPUBLIQUE.
I. Comment naissent les cités. - Berceau de Rome.1
II. Des formes antiques de la démocratie.5
III. Création des tribuns à Rome. - Résultats de cette institution11
IV. Que la résistance du peuple aux classes privilégiées est un droit légitime.12
V. Si les troubles politiques viennent plus souvent des hommes du progrès ou des conservateurs.14
VI. Que l'opposition démocratique est la sauve-garde de la liberté.17
VII. Du droit d'accusation publique. - De la calomnie.22
VIII. Nécessité du pouvoir absolu, en matière de législature ou de réforme.28
IX. Parallèles de l'autorité monarcspanque ou républicaine, et de la tyrannie.31
X. De l'esprit religieux chez les Romains.34
XI. De la religion appréciée comme ressort politique.36
XII. Comment les Romains se servaient de la religion pour créer des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions.39
XIII. Que les sujets d'une monarcspane, affrancspans par une révolution, sont rarement habiles à garder la liberté.Pag. 43
XIV. D'un peuple corrompu que le hasard fait libre.47
XV. Des conditions dans lesquelles un peuple corrompu peut se régénérer.49
XVI. Qu'un état bien organisé peut tolérer un prince faible; mais dépérit si le règne suivant manque d'énergie.53
XVII. De la succession des grands princes dans les monarcspanes, et des citoyens vertueux au sein des républiques.55
XVIII. De l'importance d'une milice nationale.55
XIX. Des récompenses civiques.56
XX. Que pour changer, même en bien, les formes d'un état, il faut procéder par degrés presque insensibles.58
XXI. De la conduite à tenir en pays conquis.59
XXII. De l'ingratitude de quelques républiques envers leurs citoyens.60
XXIII. Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince?61
XXIV. Comment un prince ou une république peuvent éviter l'ingratitude, et comment un citoyen peut s'y soustraire.64
XXV. De la prévision de certains événements.68
XXVI. S'il est plus sage, en temps de crise, de temporiser que de frapper un coup d'état.69
XXVII. De la dictature.72
XXVIII. Pourquoi, dans Rome, la création du décemvirat fut nuisible à la liberté.75
XXIX. Que les citoyens qui ont occupé les plus hauts emplois, ne doivent pas dédaigner les moindres.77
XXX. De la loi agraire. - Danger qui naît des lois rétroactives.78
XXXI. Le plus grand écueil d'une république.81
XXXII. Comment le même accident peut sauver ou perdre une république.86
XXXIII. Des maladresses politiques.91
XXXIV. Combien vaut une multitude sans chef.91
XXXV. Du viol de la loi par les gouvernants.92
XXXVI. Tactique de quelques ambitieux.94
XXXVII. Du bon sens qui dirige les jugements du peuple.96
XXXVIII. De la difficulté de créer ou de maintenir des institutions libérales.Pag. 101
XXXIX. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires publiques.102
XL. Qu'il faut parfois savoir faire de nécessité vertu.104
XLI. Que pour réprimer un ambitieux en crédit, il faut le devancer.104
XLII. Combien il est facile d'abuser le peuple.106
XLIII. Puissance d'un citoyen respecté en face de l'émeute.110
XLIV. De la gentilhommerie dans l'état politique.111
XLV. Du courage des masses. - Lâcheté des individus.115
XLVI. Du caractère variable de la multitude.116
XLVII. Valeur de la foi jurée chez les princes et dans les républiques.121
XLVIII. Que les magistratures à Rome se conféraient sans égard à l'âge.124
XLIX. Ce qui a le plus contribué à la grandeur de Rome, de la vertu ou de la fortune.125
L. Des peuples qui défendirent leur liberté contre Rome.129
LI. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux étrangers la qualité de citoyens.135
LII. Comment s'accroissent les républiques.137
LIII. Comment Rome faisait la guerre.144
LIV. Quelle quantité de terrain les Romains accordaient-ils à chaque colon?146
LV. Pourquoi certains peuples sont portés à émigrer.147
LVI. Des sujets ordinaires de guerre entre les souverains.150
LVII. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre.152
LVIII. Qu'il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de force.156
LIX. Vaut-il mieux porter la guerre chez ses ennemis, que les attendre chez soi.157
LX. De la ruse et de la force en matière politique.161
LXI. Erreur de ceux qui croient qu'à force de soumission on désarme la hauteur.164
LXII. Que les états faibles sont toujours indécis, et que la lenteur à se déterminer est toujours nuisible.165
LXIII. Que les conquêtes d'une république qui ne prend pas Rome pour modèle de conduite, la mènent plutôt à sa ruine qu'à un accroissement de puissance.Pag. 168
LXIV. A quel péril s'exposent les princes ou les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires.172
LXV. Combien sont erronés souvent les jugements que les hommes portent des grandes choses.174
LXVI. Combien Rome évitait les partis mitoyens, quand elle avait une décision à prendre.177
LXVII. Contre les fortifications.181
LXVIII. Qu'il est rarement sage de profiter des divisions qui décspanrent un état, pour l'attaquer et s'en rendre maître.189
LXIX. De l'intimidation en matière politique.191
LXX. Qu'on perd parfois tout, à vouloir trop gagner.193
LXXI. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers.196
LXXII. De la fatalité en matière politique.198
LXXIII. De l'infamie de s'acheter des alliés à prix d'or.201
LXXIV. Qu'il est dangereux de se fier à des exilés.204
LXXV. Pour qu'une religion ou une république durent longtemps, il faut les ramener souvent à leur principe.206
LXXVI. Combien il y a de sagesse à jouer pour un temps la folie.211
LXXVII. Nécessité de verser du sang pour garder une liberté récemment acquise.213
LXXVIII. Qu'un prince ne peut vivre en sûreté dans un état, tant que vivent ceux qu'il en a dépouillés.214
LXXIX. L'art de réussir en matière politique.217
LXXX. Comment on résiste à une coalition ennemie.219
LXXXI. Que dans les temps difficiles on recherche le mérite; mais quand tout est paisible, la richesse et l'intrigue minent le pouvoir.221
LXXXII. L'état qui a blessé un citoyen ne doit jamais lui confier un commandement ni une mission.224
LXXXIII. Les voies de la douceur sont-elles préférables aux voies de rigueur pour gouverner les masses?225
LXXXIV. Comment la sévérité de Manlius Torquatus et la douceur de Valérius Corvinus couvrirent la république romaine d'une gloire égale.Pag. 230
LXXXV. Que la prolongation du régime militaire fit perdre à Rome sa liberté.237
LXXXVI. De la pauvreté en matière politique.238
LXXXVII. Des femmes.240
LXXXVIII. Comment on peut rétablir l'union dans une république.242
LXXXIX. Combien on doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui paraît vertueuse recèle un principe de tyrannie.244
XC. Toutes les fautes des peuples viennent de celles des princes.246
XCI. Qu'un citoyen qui veut être utile a l'état doit d'abord imposer silence à l'envie.247
XCII. Du courage civil.251
XCIII. Comment on rend la paix impossible.254
CXIV. Le peuple fait-il pour les emplois publics de meilleurs choix que les princes?258
XCV. Danger de conseiller une entreprise.261
XCVI. Tous moyens sont bons pour défendre et sauver la patrie.264
XCVII. Nullité des promesses arrachées par la force.265
XCVIII. Des garanties du salut public.266
TRAITÉ DU PRINCE, OU DE LA MONARCHIE.
I. Combien il y a de sortes de principautés. - Principautés héréditaires.268
II. Des principautés mixtes.269
III. Pourquoi le royaume de Darius, conquis par Alexandre, resta à ses successeurs après sa mort.278
IV. Comment le conquérant doit gouverner sa conquête.282
V. Des particuliers que la fortune, la faveur ou la force élèvent au pouvoir souverain.286
VI. D e ceux qui arrivent au trône par des crimes.293
VII. Du prince élu par le suffrage populaire.297
VIII. Des princes ecclésiastiques.302
IX. Des différentes espèces de milice, et des soldats mercenaires.Pag. 305
X. Des devoirs d'un prince envers l'armée.313
XI. Des vertus et des vices du prince. - Libéralité. - Parcimonie. - Clémence. - Cruauté. - Si la crainte est plus utile que l'amour.315
XII. De l'hypocrisie et de la mauvaise foi justifiées dans le prince, par la nécessité politique.321
XIII. Qu'un prince doit éviter également la haine et le mépris.324
XIV. Des forteresses, considérées comme moyens d'intimidation monarcspanque.332
XV. Comment le prince peut se faire estimer.336
XVI. Des ministres et des flatteurs.339
XVII. Des ressources du prince contre les vicissitudes de la fortune.342
TRAITÉ DES CONSPIRATIONS ET DU REGICIDE.347
FIN DE LA TABLE.
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Nicolas Machiavel, P. Christian
Collection Sciences sociales
Parution 01/10/2020
Nb. de pages 430
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 576g
EAN13 9782329469416

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