Oeuvres politiques
Nicolas Machiavel, P. Christian - Collection Sciences sociales
Résumé
Date de l'édition originale : 1842
Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
L'auteur - Nicolas Machiavel
Autres livres de Nicolas Machiavel
L'auteur - P. Christian
Autres livres de P. Christian
Sommaire
TABLE DES MATIÈRES.
ESSAI SUR L'ESPRIT RÉVOLUTIONNAIRE. | Pag. I |
TRAITÉ DE LA RÉPUBLIQUE. |
I. Comment naissent les cités. - Berceau de Rome. | 1 |
II. Des formes antiques de la démocratie. | 5 |
III. Création des tribuns à Rome. - Résultats de cette institution | 11 |
IV. Que la résistance du peuple aux classes privilégiées est un droit légitime. | 12 |
V. Si les troubles politiques viennent plus souvent des hommes du progrès ou des conservateurs. | 14 |
VI. Que l'opposition démocratique est la sauve-garde de la liberté. | 17 |
VII. Du droit d'accusation publique. - De la calomnie. | 22 |
VIII. Nécessité du pouvoir absolu, en matière de législature ou de réforme. | 28 |
IX. Parallèles de l'autorité monarcspanque ou républicaine, et de la tyrannie. | 31 |
X. De l'esprit religieux chez les Romains. | 34 |
XI. De la religion appréciée comme ressort politique. | 36 |
XII. Comment les Romains se servaient de la religion pour créer des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions. | 39 |
XIII. Que les sujets d'une monarcspane, affrancspans par une révolution, sont rarement habiles à garder la liberté. | Pag. 43 |
XIV. D'un peuple corrompu que le hasard fait libre. | 47 |
XV. Des conditions dans lesquelles un peuple corrompu peut se régénérer. | 49 |
XVI. Qu'un état bien organisé peut tolérer un prince faible; mais dépérit si le règne suivant manque d'énergie. | 53 |
XVII. De la succession des grands princes dans les monarcspanes, et des citoyens vertueux au sein des républiques. | 55 |
XVIII. De l'importance d'une milice nationale. | 55 |
XIX. Des récompenses civiques. | 56 |
XX. Que pour changer, même en bien, les formes d'un état, il faut procéder par degrés presque insensibles. | 58 |
XXI. De la conduite à tenir en pays conquis. | 59 |
XXII. De l'ingratitude de quelques républiques envers leurs citoyens. | 60 |
XXIII. Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince? | 61 |
XXIV. Comment un prince ou une république peuvent éviter l'ingratitude, et comment un citoyen peut s'y soustraire. | 64 |
XXV. De la prévision de certains événements. | 68 |
XXVI. S'il est plus sage, en temps de crise, de temporiser que de frapper un coup d'état. | 69 |
XXVII. De la dictature. | 72 |
XXVIII. Pourquoi, dans Rome, la création du décemvirat fut nuisible à la liberté. | 75 |
XXIX. Que les citoyens qui ont occupé les plus hauts emplois, ne doivent pas dédaigner les moindres. | 77 |
XXX. De la loi agraire. - Danger qui naît des lois rétroactives. | 78 |
XXXI. Le plus grand écueil d'une république. | 81 |
XXXII. Comment le même accident peut sauver ou perdre une république. | 86 |
XXXIII. Des maladresses politiques. | 91 |
XXXIV. Combien vaut une multitude sans chef. | 91 |
XXXV. Du viol de la loi par les gouvernants. | 92 |
XXXVI. Tactique de quelques ambitieux. | 94 |
XXXVII. Du bon sens qui dirige les jugements du peuple. | 96 |
XXXVIII. De la difficulté de créer ou de maintenir des institutions libérales. | Pag. 101 |
XXXIX. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires publiques. | 102 |
XL. Qu'il faut parfois savoir faire de nécessité vertu. | 104 |
XLI. Que pour réprimer un ambitieux en crédit, il faut le devancer. | 104 |
XLII. Combien il est facile d'abuser le peuple. | 106 |
XLIII. Puissance d'un citoyen respecté en face de l'émeute. | 110 |
XLIV. De la gentilhommerie dans l'état politique. | 111 |
XLV. Du courage des masses. - Lâcheté des individus. | 115 |
XLVI. Du caractère variable de la multitude. | 116 |
XLVII. Valeur de la foi jurée chez les princes et dans les républiques. | 121 |
XLVIII. Que les magistratures à Rome se conféraient sans égard à l'âge. | 124 |
XLIX. Ce qui a le plus contribué à la grandeur de Rome, de la vertu ou de la fortune. | 125 |
L. Des peuples qui défendirent leur liberté contre Rome. | 129 |
LI. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux étrangers la qualité de citoyens. | 135 |
LII. Comment s'accroissent les républiques. | 137 |
LIII. Comment Rome faisait la guerre. | 144 |
LIV. Quelle quantité de terrain les Romains accordaient-ils à chaque colon? | 146 |
LV. Pourquoi certains peuples sont portés à émigrer. | 147 |
LVI. Des sujets ordinaires de guerre entre les souverains. | 150 |
LVII. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre. | 152 |
LVIII. Qu'il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de force. | 156 |
LIX. Vaut-il mieux porter la guerre chez ses ennemis, que les attendre chez soi. | 157 |
LX. De la ruse et de la force en matière politique. | 161 |
LXI. Erreur de ceux qui croient qu'à force de soumission on désarme la hauteur. | 164 |
LXII. Que les états faibles sont toujours indécis, et que la lenteur à se déterminer est toujours nuisible. | 165 |
LXIII. Que les conquêtes d'une république qui ne prend pas Rome pour modèle de conduite, la mènent plutôt à sa ruine qu'à un accroissement de puissance. | Pag. 168 |
LXIV. A quel péril s'exposent les princes ou les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires. | 172 |
LXV. Combien sont erronés souvent les jugements que les hommes portent des grandes choses. | 174 |
LXVI. Combien Rome évitait les partis mitoyens, quand elle avait une décision à prendre. | 177 |
LXVII. Contre les fortifications. | 181 |
LXVIII. Qu'il est rarement sage de profiter des divisions qui décspanrent un état, pour l'attaquer et s'en rendre maître. | 189 |
LXIX. De l'intimidation en matière politique. | 191 |
LXX. Qu'on perd parfois tout, à vouloir trop gagner. | 193 |
LXXI. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers. | 196 |
LXXII. De la fatalité en matière politique. | 198 |
LXXIII. De l'infamie de s'acheter des alliés à prix d'or. | 201 |
LXXIV. Qu'il est dangereux de se fier à des exilés. | 204 |
LXXV. Pour qu'une religion ou une république durent longtemps, il faut les ramener souvent à leur principe. | 206 |
LXXVI. Combien il y a de sagesse à jouer pour un temps la folie. | 211 |
LXXVII. Nécessité de verser du sang pour garder une liberté récemment acquise. | 213 |
LXXVIII. Qu'un prince ne peut vivre en sûreté dans un état, tant que vivent ceux qu'il en a dépouillés. | 214 |
LXXIX. L'art de réussir en matière politique. | 217 |
LXXX. Comment on résiste à une coalition ennemie. | 219 |
LXXXI. Que dans les temps difficiles on recherche le mérite; mais quand tout est paisible, la richesse et l'intrigue minent le pouvoir. | 221 |
LXXXII. L'état qui a blessé un citoyen ne doit jamais lui confier un commandement ni une mission. | 224 |
LXXXIII. Les voies de la douceur sont-elles préférables aux voies de rigueur pour gouverner les masses? | 225 |
LXXXIV. Comment la sévérité de Manlius Torquatus et la douceur de Valérius Corvinus couvrirent la république romaine d'une gloire égale. | Pag. 230 |
LXXXV. Que la prolongation du régime militaire fit perdre à Rome sa liberté. | 237 |
LXXXVI. De la pauvreté en matière politique. | 238 |
LXXXVII. Des femmes. | 240 |
LXXXVIII. Comment on peut rétablir l'union dans une république. | 242 |
LXXXIX. Combien on doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui paraît vertueuse recèle un principe de tyrannie. | 244 |
XC. Toutes les fautes des peuples viennent de celles des princes. | 246 |
XCI. Qu'un citoyen qui veut être utile a l'état doit d'abord imposer silence à l'envie. | 247 |
XCII. Du courage civil. | 251 |
XCIII. Comment on rend la paix impossible. | 254 |
CXIV. Le peuple fait-il pour les emplois publics de meilleurs choix que les princes? | 258 |
XCV. Danger de conseiller une entreprise. | 261 |
XCVI. Tous moyens sont bons pour défendre et sauver la patrie. | 264 |
XCVII. Nullité des promesses arrachées par la force. | 265 |
XCVIII. Des garanties du salut public. | 266 |
TRAITÉ DU PRINCE, OU DE LA MONARCHIE. |
I. Combien il y a de sortes de principautés. - Principautés héréditaires. | 268 |
II. Des principautés mixtes. | 269 |
III. Pourquoi le royaume de Darius, conquis par Alexandre, resta à ses successeurs après sa mort. | 278 |
IV. Comment le conquérant doit gouverner sa conquête. | 282 |
V. Des particuliers que la fortune, la faveur ou la force élèvent au pouvoir souverain. | 286 |
VI. D e ceux qui arrivent au trône par des crimes. | 293 |
VII. Du prince élu par le suffrage populaire. | 297 |
VIII. Des princes ecclésiastiques. | 302 |
IX. Des différentes espèces de milice, et des soldats mercenaires. | Pag. 305 |
X. Des devoirs d'un prince envers l'armée. | 313 |
XI. Des vertus et des vices du prince. - Libéralité. - Parcimonie. - Clémence. - Cruauté. - Si la crainte est plus utile que l'amour. | 315 |
XII. De l'hypocrisie et de la mauvaise foi justifiées dans le prince, par la nécessité politique. | 321 |
XIII. Qu'un prince doit éviter également la haine et le mépris. | 324 |
XIV. Des forteresses, considérées comme moyens d'intimidation monarcspanque. | 332 |
XV. Comment le prince peut se faire estimer. | 336 |
XVI. Des ministres et des flatteurs. | 339 |
XVII. Des ressources du prince contre les vicissitudes de la fortune. | 342 |
TRAITÉ DES CONSPIRATIONS ET DU REGICIDE. | 347 |
FIN DE LA TABLE. |
Caractéristiques techniques
PAPIER | |
Éditeur(s) | Hachette |
Auteur(s) | Nicolas Machiavel, P. Christian |
Collection | Sciences sociales |
Parution | 01/10/2020 |
Nb. de pages | 430 |
Format | 15.6 x 23.4 |
Couverture | Broché |
Poids | 576g |
EAN13 | 9782329469416 |
Avantages Eyrolles.com
Nos clients ont également acheté
Consultez aussi
- Les meilleures ventes en Graphisme & Photo
- Les meilleures ventes en Informatique
- Les meilleures ventes en Construction
- Les meilleures ventes en Entreprise & Droit
- Les meilleures ventes en Sciences
- Les meilleures ventes en Littérature
- Les meilleures ventes en Arts & Loisirs
- Les meilleures ventes en Vie pratique
- Les meilleures ventes en Voyage et Tourisme
- Les meilleures ventes en BD et Jeunesse