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Nos fils
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Nos fils

Nos fils

Jules Michelet - Collection Sciences sociales

440 pages, parution le 01/06/2020

Résumé

Nos fils / J. Michelet ; étude par Octave Gréard...
Date de l'édition originale : 1903

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'auteur - Jules Michelet

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Sommaire

TABLE

ÉTUDE PAR O. GRÉARDI

INTRODUCTION.

DE LA SITUATIONI
LE PRINCIPE NOUVEAU: L'ACTIONVII
COMMENT CE LIVRE A ÉTÉ PRÉPARÉXIII
SON ACTUALITÉXVIII

LIVRE Ier. - DE L'ÉDUCATION AVANT LA NAISSANCE.

I. - L'HOMME NAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE? - DEUX ÉDUCATIONS OPPOSÉES3
S?il est coupable, il faut le châtier3
S?il est innocent, il faut le développer9
II. - PRINCIPE HÉROÏQUE DE L'ÉDUCATION MODERNE11
Son idéal est l'héroïsme créateur11
De la nourriture morale de la mère pendant la grossesse.16
III. - FLUCTUATIONS RELIGIEUSES. - LA CLOCHE. - LES MÉLANCOLIES DU PASSÉ21
IV. - FLUCTUATIONS RELIGIEUSES ET MORALES. - NAISSANCE31
Les retours, les incertitudes31
Mais l'enfant, de son innocence, illumine et purifie tout.38

LIVRE II. - DE L'ÉDUCATION DANS LA FAMILLE.

I. - L'UNITÉ DES PARENTS41
Cette unité, physiquement fatale, assure la vie de l'enfant Prépare son unité morale41
II. - LA MÈRE. - LE PARADIS MATERNEL. - L'ENFANT NAIT CRÉATEUR48
Elle le crée, est d?abord à elle seule son monde et son dieu48
Mais il veut être, créer58
III. - LA FAMILLE, L'ASILE. - DANGERS DANS LA FAMILLE MÊME61
Décspanrement à sa première sortie de la maison64
Dangers intérieurs65
Le gouvernement de la Grâce, les gâteries.70
Absorption, emportements des mères72
IV. - LE FOYER ÉBRANLÉ. - GRAND DANGER DE L'ENFANT75
L'absence de l'enfant. Ennui. Mobilité. Humeur75
V. - L'ENFANT RAFFERMIT LE FOYER86
La mère veut l'élever86
L'enfant aura-t-il une gouvernante? un précepteur?91
Le père doit relever, assurer l'autorité maternelle92
VI. - CULTURE SUPÉRIEURE DE LA MÈRE. - SAVOIR TROP POUR SAVOIR ASSEZ99
Du sens littéraire délicat, appliqué à l'éducation100
Des lectures propres aux femmes103
VII. - LE DEVOIR111
Le père est pour l'enfant une révélation de justice112
Propos de la table du soir. Première lueur religieuse.117

LIVRE III. - HISTOIRE DE L'ÉDUCATION. - AVÉNEMENT DE L'HUMANITÉ.

I. - MILLE ANS D'INHUMANITÉ. - ÉCOLES DES FRÈRES.123
Le catécspansme et l'entorse au cerveau123
L'effroi de l'enfant123
Guerre à la Nature127
Comment elle se venge: l'école cruelle et corrompue.131
II. - L'AGE HUMAIN. - LES DEUX TYPES: RABELAIS, MONTAIGNE133
L'éducation encyclopédique du Gargantua135
L'éducation non scientifique qui cultive l'homme140
III. - LE DIX-SEPTIÈME SIÈCLE. - COMÉNI. - LES JÉSUITES- PORT-ROYAL. - FÉNELON. - LOCKE145
Coméni trouve l'éducation intuitive: "Les choses avant les mots"145
Affaiblissement. Médiocrité. Réformes bâtardes150
Le faible type de l'honnête homme151
Médiocrité judicieuse de Locke155
IV. - PREMIER ESSOR DU DIX-HUITIÈME SIÈCLE. - L'ACTION.- VOLTAIRE. VICO. LE ROBINSON161
Le credo simple et fort du dix-huitième siècle161
Voltaire: le but de l'homme est l'action (1727, 1734)163
Vico: L'humanité s'est faite par sa propre action (1725163
Foë (Robinson): L'homme seul se suffit, se sauve par l'action164
V. - ROUSSEAU171
Le grand cours de ce siècle: optimisme et liberté171
Optimisme de Voltaire, en 1734, de Rousseau, en 1756172
L'éducation de la Julie: laisser faire la nature173
L'éducation d'Émile, très-artificielle174
Défauts et grandeur de ce livre qui relance le siècle dans sa voie176
VI. - L'ÉVANGILE DE PESTALOZZI181
Puissant effet de l'Émile en Allemagne181
En Suisse: Pestalozzi (1775)182
Son dévouement. L'éducation des pauvres et des abandonnés185
L'école est une mère, qui nourrira l'enfant186
La triple vie: Culture, Métier, École186
La Suisse délivrée en 98. Le miracle de Pestalozzi à Stanz187
Son institut de Berthoud, 1801; on déclare qu?il a découvert la loi de l'éducation190
La réaction. Il passe dans la Suisse française; Yverdon, 1803191
Méthode intuitive. Peu de livres. Point de Bible191
Fécondité admirable, Ritter, Fr?bel, Fellenberg, Girard, etc.192
La réaction. La ruine, le martyre de Pestalozzi (1808-1827)195
VII. - L'ÉVANGILE DE FR?BEL202
Lui seul a vu le brouillard, le chaos d?où part l'enfant.202
L'éducation est un secours qui lui débrouille, ordonne ce chaos203
L'enfant veut s?approprier ce monde, en agissant et créant203
Fr?bel sut rester enfant. Génie primitif et fécond du forestier, du mineur allemand205
L'enfant naît géomètre, constructeur et jardinier205
Plus d?imitation, de parlage207
Méthodes très-différentes de Fourier, de Jacotot208
Mme Marenholz, l'apôtre de Fr?bel209
Comment la réaction travaille contre Fr?bel210
Ma visite aux écoles de Lausanne et de Genève212

LIVRE IV. - UNIVERSITÉ. - ÉCOLES DIVERSES.

I. - L'UNIVERSITÉ. SON AUTORITÉ MORALE217
Excellence de son personnel218
Elle enseigne généralement le vrai principe moderne, - les langues et l'spanstoire des peuples libres, harmoniques à ce principe221
Discordances de l'Eglise qui enseigne les Païens223
L'Université est timide, non servile; elle ne suit point l'État dans ses fluctuations excentriques et violentes.225
L'effet de cette éducation; son beau nom Humanités.226
II. - RÉFORME DE L'UNIVERSITÉ.231
De ses divers enseignements, créés la plupart récemment, elle doit faire un tout organique232
Enseigner davantage par masses simples et grands ensembles233
Indiquer le grand courant spanstorique et linguistique, qui nous rattache aux origines et fait loeunité humaine dans l'espace et dans le temps235
Recomposer l'homme complet, ne pas oublier l'homme physique, le besoin d?air, de mouvement236
Faire des classes moins nombreuses, en multipliant les jeunes maitres. Excellence des moniteurs hollandais.237
Mettre en rapport le collége et l'école industrielle238
III. - ÉCOLE INDUSTRLELLE244
L'industrie a créé un nouveau peuple244
Flexibilité du génie français. École centrale245
Écoles d?Angers, de Châlons; ce qui leur manque247
La tentative immense de 1865, pour faire prédominer l'enseignement industriel, subordonner l'enseignement classique249
Efforts impuissants du dernier ministre.250
IV. - ÉCOLE D?AGRICULTURE256
Opinions de MM. Riondet et Doniol sur son organisation.256
C?est l'école de création qui doit précéder toute autre.257
La France est le grand théâtre agricole258
Puissance et habileté doeun agriculteur du Midi259
V. - ÉCOLES DE MÉDECINE ET DE DROIT261
Comment on forme le jeune homme en le jetant dans le drame des études de la mort et de la vie267
Du désaccord singulier des écoles de médecine et de droit269
Il faut un enseignement intermédiaire, qui montre comment le monde de la Nature prépare le monde de la Loi270
VI. - L'ÉTUDIANT EN DROIT275
La France, au seizième siècle, a été le pape du Droit, en montrant mieux qu?aujourd?hui le rapport du Droit aux moeurs et à l'état social276
Ne faudrait-il pas deux écoles, l'une pour tous, l'autre pour les praticiens?277
L'étudiant tourne dans un cercle d?habitudes for limité, et s?ennuie de l'étude, parce que sous la loi il ne voit pas la vie279
Terrible instruction que doit donner Paris281

LIVRE V. - L'ÉDUCATION CONTINUE TOUTE LA VIE. DE QUELQUES QUESTIONS D?AVENIR.

I. - LE PROGRÈS DU MÉTIER287
La vie, bien administrée, diminue moins qu?elle n?augmente.290
Tout métier a un art en lui et développe souvent en nous des aptitudes supérieures291
Progrès des grands artistes (Rembrandt, etc.) qui n?ont atteint le sommet qu?au dernier âge292
II. - "MON LIVRE."296
On n?avait autrefois quoeun livre, et, le lisant toujours, on songeait, inventait296
Réimpressions de Voltaire, 1820297
Livres socialistes, depuis 1830298
Combien il est difficile de faire un livre populaire299
III. - LA VIE PUBLIQUE. - L'AUTORITÉ MORALE. - LA MAGI TRAURE SPONTANÉE303
Chaque peuple, chaque patrie, est une éducation304
L'éducation civique et pratique de l'Américain304
De l'échelle de la vie publique. L'école, la commune sont ses premiers degrés (Turgot)305
Utilité éducative de la vie communale305
Les luttes de la commune, bien plus serrées, exigent un caractère très-fort306
Qui résiste (au besoin) aux amis et à la famille308
Comment cet homme aura l'autorité morale, utile à tous, comment il élève à lui sa famille même309
Il prépare et il groupe l'association locale313
Note. Influences locales du cultivateur estimé, du médecin, pharmacien, etc., pour élever l'esprit du pays.313
IV. - AVENIR. - LITTÉRATURE NOUVELLE. - LIBRES ÉCOLES.317
Je ne veux rien prévoir que ce qui peut se faire demain, ce qui dépend de notre activité317
A la littérature anti-sociale une autre succédera (de civisme et de vérité)318
C?est l'école des hommes, sans laquelle l'école de l'enfant ne prendra pas sa vie nouvelle319
Notes sur les lectures de prison, d?hôpital320
Il faut vivifier, soutenir, régénérer le maître322
Le prêtre est monarcspane, le maître est république323
Comment son existence, trop monotone, reprendra le mouvement, le progrès323
Peut-on enseigner toujours?324
Tous, à certains moments, pourraient et devraient enseigner324
Les volontaires de l'enseignement. - Combien on peut tirer parti de la jeunesse325
V. - AVENIR. - DE L'ÉCOLE COMME PROPAGANDE CIVIQUE, ET COMME ÉCHELLE SOCIALE329
Les écoles libres répondront à mille exigences variées.,329
Variété cependant harmonique, que la Patrie, la France ralliera dans un même esprit330
L'école non aidée par l'État dépend d'autant plus des parents, des influences locales, aristocraties communales, etc331
Il faut s?entendre et se grouper pour soutenir le maître qu'elles domineraient332
Soutenir l'élève méritant, et le faire arriver à l'école départementale, à l'école centrale335
Créer l'échelle de justice où tous pourraient monter du plus bas au plus haut336
VI. - AVENIR. - DE L'ÉDUCATION PAR LES FÊTES339
Le monde changera-t-il autant qu?on le croit?339
Les grands organes éducatifs qui ont fait nos progrès (propriété, art, religion, etc.), peuvent-ils disparaître?341
La religion ne finit pas; elle commence342
La tristesse du monde, entre les fêtes mortes, et les fêtes vivantes qui vont venir.343
La vie grecque, si agitée, n?en fut pas moins une fête, continue, graduée, puissamment éducative345
Comment fait-on des fêtes? Cela naît, et ne se fait pas. - Dans la vie libre, elles naîtront, comme un retour de la Nature345
Combien le peuple de Paris est sensible aux fêtes des morts346
Les fêtes de la Fédération de 91347
Notre fête du 4 mars 1848. - Ce qu?elle aurait pu devenir348
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Jules Michelet
Collection Sciences sociales
Parution 01/06/2020
Nb. de pages 440
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 592g
EAN13 9782329424354

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