France : pour un avenir meilleur

France, merveilleux pays qui s'est construit en fidélité à ses valeurs enracinées dans son histoire. Michel Andrieux décrit la réalité du territoire depuis le règne de Clovis jusqu'à nos jours en montrant que les racines de notre pays sont issues à la fois des Grecs, des romains et de la chrétienté. Mais aujourd'hui, force est de constater que les valeurs qui nous fédéraient se sont considérablement affaiblies. Il suffit d'observer tous les domaines à la fois du ressort du régalien et les autres, tous appellent un sérieux examen pour qu'ils retrouvent des forces de conviction. La tâche qui revient aux politiques, c'est la reconstruction, et non « la déconstruction », en restaurant notre fidélité à cette histoire scellée il y a 2 000 ans. La France sera fidèle à elle - même si elle se réfère à ses racines. C'est précisément être relié à cette vision de la France que nous propose l'auteur. Il nous invite à participer avec lui à cette aventure prospective pour que la France reste la France. Né à Lanloup le 25 octobre 1944, ce village de 250 habitants, Michel Andrieux fils et petit-fils de marins et de grands résistants, passe toute son enfance près de ses parents et de ses grands-parents. Son père Armand Andrieux, au retour d'un long voyage en bateau, sans doute épuisé par la fatigue, décède brutalement, victime d'un infarctus du myocarde, à l'âge de 45 ans. Cette mort va entraîner de profonds bouleversements et l'urgence d'un travail pour la mère de famille pour subvenir à l'éducation de ses deux enfants. Michel, l'aîné des deux enfants entre en classe secondaire à Plouha et suit un parcours scolaire au gré de la mutation de sa mère, à Saint-Brieuc, à Dinan et de ses études supérieures à l'Université Catholique d'Angers, dont il devient Président de la Faculté des Lettres. Diplômé en Philosophie, Droit et Sciences de l'éducation, il commence sa carrière d'enseignant dans un collège à Le Mans et devient, par la suite, chef d'établissement dans cinq cités scolaires : de Vienne en Isère, jusque dans le nord de la France, à Dunkerque puis Armentières. Retraité depuis 2008, il habite maintenant dans un village du Limousin, dont il a été le maire de 2014 à 2020.