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Traité théorique et pratique sur l'art de faire et d'appliquer les vernis. Tome 2
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Traité théorique et pratique sur l'art de faire et d'appliquer les vernis. Tome 2

Traité théorique et pratique sur l'art de faire et d'appliquer les vernis. Tome 2

Pierre François Tingry - Collection Savoirs et traditions

370 pages, parution le 01/02/2021

Résumé

Traité théorique et pratique sur l'art de faire et d'appliquer les vernis. Tome 2 / ... accompagné de nouvelles observations sur le copal, de notes historiques sur la nature des matières et sur les procédés mis en usage par les compositeurs de couleurs et de vernis et par les peintres... Par P. F. Tingry
Date de l'édition originale : 1803

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE DES MATIERES, Selon l'ordre des Chapitres.

SECONDE PARTIE.

  • EXPOSITION abrégée des sujets divers qui composent cette seconde partie.1

CHAPITRE PREMIER.

  • Exposition spanstorique sur la nature des parties colorantes employées dans la peinture, et sur les procédés que l'art met en usage pour les extraire, les préparer et pour les modifier. Observations préliminaires.2
  • De l'azur. Oxide vitreux de cobalt. Voyez bleu d?émail. Bleu de Saxe. Bleu d?azur.29
  • Du blanc de Bougival, sa nature, etc.4
  • Du blanc de Cremnitz. Ce n?est pas un oxide d'étain.6
  • (Consulter la note (a) sur le mot oxide).6
  • Du blanc de Cremnitz factice.11
  • Du blanc d?Espagne. Sa nature.12
  • Manière de reconnoître si on lui a substitué la craie.13
  • Du blanc de gyps. Manière de le préparer.14
  • Du blanc de Moudon ou de Morat. Vrai blanc d'Espagne. Argille pure.15
  • Du blanc de plomb. Oxide blanc de plomb par le vinaigre. Sa préparation.16
  • Précaution indiquée pour la porphyrisation du blanc de plomb.18
  • Du blanc de céruse. Oxide céruse. Blanc de plomb, mêlé d'argille blanche en doses incertaines.20
  • Du blanc de Rouen. Espèce de marne très - argilleuse.23
  • Du blanc de Troyes. Craie blanche. Carbonate de chaux.23
  • Inconvénient attaché à la craie qui n'est pas lavée une seconde fois.24
  • Du blanc de zinc. Oxide sublimé de zinc. Sa préparation.26
  • Défauts présumés de son état de sécheresse.27
  • Manière de le préparer.28
  • Du bleu d'azur. Bleu d'émail. Bleu de safre ou de Saxe. Azur.29
  • Sa préparation.30
  • Gros bleu de Saxe.31
  • Bleu des quatre feux.31
  • Du bleu d'outremer. Outremer.32
  • Préparation de l'outremer par le procédé de Kunckel.35
  • Préparation de l'outremer Par le procédé de Newmann.36
  • Moyen de reconnoître sa falsification.38
  • Recherches sur cette couleur minérale. Nouvelles observations de Guiton de Morveau.39
  • Du bleu de Prusse. Prussiate de fer. Sa préparation.40
  • (Consulter la note (c) sur les mots azote, hydrogène, carbone).42
  • Origine de la teinte verdâtre de certains bleus de Prusse.44
  • Bleu de Saxe factice avec le prussiate de fer naissant.45
  • De la cendre bleue.46
  • Procédé de Pelletier pour sa préparation.48
  • De la cendre verte.50
  • Du cinabre. Vermillon. Oxide sulfuré rouge de mercure.50
  • Du jaune de Naples. Oxide jaune de plomb, mêlé d'oxide blanc d'antimoine par le nitre.52
  • Procédé de Fougeroux pour faire le jaune de Naples.54
  • Du jaune de Montpellier. Procédé de Chaptal, qui sépare en même temps l'alkali de la soude.55
  • De l'indigo. Ses caractères.58
  • Moyen prompt pour le réduire en poudre.59
  • Des laques pastels.60
  • Du carmin et de sa préparation.64
  • Laque carminée, ou pastel carminé N°. I. Sa préparation.65
  • Autre procédé pour obtenir une laque carminée.68
  • Rouge de toilette, ou talc carminé.70
  • Des fausses laques carminées, dans lesquelles la partie colorante est étrangère à la cochenille. Laque extraite de la garance, N°. 2.71
  • Effet de l'arséniate de potasse et de l'acétite de plomb sur la laque de garance, N°. 3.73
  • Laque au bois de Brésil, N°. 4.74
  • Autre procédé, N°. 5.75
  • Raison de la préférence accordée à la soude sur l'alkali de potasse pour le travail des laques par décomposition cspanmique.76
  • Nouvelles recherches sur les moyens propres à faire reconnoître les vraies laques carminées d'avec celles qui leur font inférieures. Tableau comparatif qui présente tous les résultats de ces recherches.78
  • Des oxides de plomb. Premier degré d'oxidation. Oxide gris.82
  • Second degré d'oxidation, Massicot. Oxide jaune de plomb.83
  • Troisième degré d'oxidation. Minium. Oxide rouge de plomb.83
  • Quatrième degré d'oxidation. Litharge. Oxide vitreux de plomb.84
  • Des noirs. Noir de fumée. Ses inconvénients. Procédé propre à en étendre l'usage.86
  • Noir de lampe. Ses qualités.87
  • Noir De hêtre.88
  • Noir De lie de vin.89
  • Noir De pêches.89
  • Noir De vigne.90
  • Noir D'ivoire.90
  • Noir d'os.90
  • Des ochres. Leur origine.91
  • Ochre brune.92
  • Ochre De Rue.92
  • Ochre De Rue calcinée.92.
  • Ochres jaunes naturelles. Leur origine.93
  • Ochre rouge.93
  • Du rouge brun. Du rouge foncé d'Angleterre.95
  • Procédé pour les avoir très-atténuées.96
  • Du rouge de Prusse. Sa préparation.97
  • De l'orseille. Sa préparation.98
  • De l'orpin ou orpiment. Considérations qui en bornent l'usage.99
  • Du réalgar. En quoi il diffère de l'orpin.100
  • Du rocou ou roucou. Sa préparation. Ses usages.100
  • Du safran bâtard. Fleurs de carthame. Ses usages.102
  • Du vermillon d'Espagne.104
  • Du santal rouge. Partie colorante soluble dans l'eau et dans l'alcohol et insoluble dans les huiles.105
  • Stil - de grain de gaude.106
  • Stil - de grain De Troyes. Inférieur aux autres.107
  • Stil - de grain De graine d'Avignon.107
  • Stil - de grain D'un jaune brun, par décomposition cspanmique.108
  • Stil - de grain Avec le blanc d'Espagne ou avec la céruse, pour la peinture à l'huile.109
  • De la terre d'ombre de Nocéra.111
  • De la terre d'ombre De Cologne.112
  • De la terre verte de Saxe.113
  • De la terre verte De Véronne.114
  • De la terre mérite. Ses usages.114
  • Du vert-de-gris. Oxide verdet. Sa préparation.115
  • Purification, d'où résulte l'acétite de cuivre.118
  • Liqueur vert - d'eau, pour enluminures.121
  • Du vert de vessie. Ses usages pour enluminures.122

CHAPITRE SECOND.

  • Exposition physique sur l'origine des couleurs, appliquée aux couleurs matérielles simples et composées; avec la description des procédés employés pour varier le nombre et la richesse des teintes qui résultent de leurs mélanges.123
  • Idée d'Isaac Vossius sur l'origine des couleurs.124
  • Expériences de Newton. Sa théorie.125
  • Observations sur le blanc et le noir, que la théorie de l'optique n'admet pas comme couleurs.126
  • Des couleurs matérielles primitives.127
  • Des couleurs factices ou secondaires.127
  • Apperçu général sur l'effet des mélanges de corps colorés.128
  • Des teintes vierges.130
  • Caractères particuliers qui rendent certains corps colorés propres à la peinture. Note essentielle à consulter sur la peinture en tableaux.132
  • Composition des couleurs. Des noirs.136
  • Composition du brun -foncé qu'on applique sur les boîtes de fer battu.137
  • Des blancs. Différence à observer entre les blancs destinés à la détrempe et ceux qu'on réserve aux vernis et à la peinture à l'huile.138
  • Des couleurs composées dans lesquelles l'oxide céruse prédomine. Gris - clair.140
  • Moyen sûr pour couvrir ou masquer l'odeur des vernis à l'essence par un autre vernis.141
  • Gris de perle argentin.141
  • Gris de lin.142
  • Méthode pour rendre cette couleur solide.143
  • Note essentielle à consulter sur l'encollage dont on fait précéder l'application des vernis colorés.144
  • Couleur de bois -de -chêne.145
  • Couleur De noyer.145
  • Des jaunes. Observations sur cette couleur, déterminée par le jaune de Naples et celui de Montpellier.146
  • Jonquille.147
  • Jaune citron. Couleur paille.147
  • Observations importantes sur l'emploi de l'orpiment mêlé avec l'oxide céruse.148
  • Jaune couleur d'or.149
  • Couleur chamois.149
  • Couleur olive. Changement exigé pour la détrempe.150
  • Des bleus. Observations particulières sur l'emploi du prussiate de fer et de l'indigo.151
  • Couleur bleue tirée du bleu de Saxe ou de la cendre bleue.153
  • De la couleur verte. Observations.154
  • Vert-d'eau pour détrempe.155
  • Vert- d'eau pour vernis.155
  • Vert - d'eau pour la peinture à l'huile.156
  • Couleur verte pour portes, contrevents, grillages de fer ou de bois, treillages, palissades, balustres, et pour tous les objets exposés à l'air.157
  • Couleurs vertes de composition pour les trois genres de peinture.158
  • Couleur verte pour les corps sujets aux frottemens et aux chocs, comme roues de voitures, etc.159
  • De la couleur rouge. Rouge pour les trains d'équipages, roues de carosses. Variété admise pour les premières couches.160
  • Rouge de buffet.161
  • Rouge vif pour accessoires de toilettes.162
  • Cramoisi162
  • Couleur de rose.162
  • Couleur violette.163
  • Couleur Maron.163
  • Préceptes d'exécution pour les couleurs sombres.164

CHAPITRE TROISIEME.

  • De l'extension qu'on peut donner à l'emploi des vernis de copal térébentspannés, N°. 18 et 22, en les imprégnant de diverses parties colorantes solides, transparentes, et propres à remplir l'office d'une glace sur les surfaces métalliques unies ou guillochées; à imiter les émaux transparens et à réparer les accidens qui arrivent fréquemment aux pièces émaillées. Observations préliminaires.167
  • Couleur verte transparente procurée au vernis de copal N°. 18. Observations importantes sur la nature de certaines parties colorantes.172
  • Autre couleur verte.174
  • Autre par composition174
  • Couleur bleue. Méthode pour obtenir un beau bleu d'un bleu de Prusse ordinaire. (Note k).175
  • Bleu liquide superbe et qui porte son mordant.176
  • Couleur jaune.178
  • Couleur Rouge foncée.179
  • Couleur Violette.179
  • Observations sur l'application des vernis de copal térébentspannés sur des surfaces métalliques brillantes. Conditions à observer.181
  • Méthode pour rappeller à son premier lustre un vernis qui l'auroit perdu par l'usage.182 et 222
  • Application des vernis de copal térébentspannés à la réparation des émaux opaques. Procédés pour les pâtes colorées.183
  • Pâte ou mastic de couleur blanche.185
  • Pâte ou mastic de couleur Noire.185
  • Pâte ou mastic de couleur Jaune.185
  • Pâte ou mastic de couleur Bleue.186
  • Pâte ou mastic de couleur Verte.186
  • Pâte ou mastic de couleur Rouge.186
  • Pâte ou mastic de couleur Pourpre.187
  • Pâte ou mastic de couleur Rouge be brique.187
  • Pâte ou mastic de couleur Chamois.187
  • Pâte ou mastic de couleur Violette.187
  • Pâte ou mastic de couleur Gris de perles.187
  • Pâte ou mastic de couleur Gris de lin.187
  • De la fabrication des paillettes métalliques appellées clinquant, oripeau, paillons colorés.188
  • Première préparation.190
  • Seconde préparation.190
  • Couleur bleue.191
  • Couleur Verte.192
  • Couleur Rouge.192
  • Couleur Violette.193
  • Couleur Lilas.194
  • Couleur Rubis.194
  • Couleur Rose.194
  • Couleur Ponceau.195
  • Couleur Capucine.195
  • Couleur Prune ou autres bruns.195
  • Observations sur ce travail, qui demande une main exercée.195

CHAPITRE QUATRIEME.

  • Des préceptes qui doivent guider l'artiste ou l'amateur, dans l'emploi des vernis colorés ou sans couleurs. Des différens genres de la peinture d'impression. Des toiles ou taffetas cirés ou vernis.197
  • De la pulvérisation et de la porphyrisation. Corps qui doivent y être soumis.198
  • Des rapports nécessaires entre la nature des vernis et celle des Corps qui doivent les recevoir, relativement à leurs usages.199
  • Des avantages tirés de la grande division des parties.200
  • De la quantité de substances qu'on peut broyer chaque fois.203
  • De la consistance requise pour les couleurs qu'on détrempe.204
  • Des précautions utiles à ceux qui broient de fortes parties à l'essence.205
  • De l'application des différens genres de vernis à leurs cas particuliers.206
  • Des méthodes admises par les peintres pour l'application des vernis en grand. Observations critiques.207
  • Motifs de préférence pour les vernis des troisième et quatrième genres sur ceux des premier et sécond genres, pour les peintures sur boiseries.211
  • Manière d'appliquer le vernis.213
  • Comparaison entre le travail des vernis de la Cspanne et ceux d'Europe.214
  • Divers moyens proposés pour dissiper la mauvaise odeur des vernis. (Consultez l'article 19, page 213, & l'article 21, page 219, qui a été séparé du premier par une erreur typograpspanque, & supprimez dans ce dernier le numéro indicateur). Méthode pour rappeller les vernis anciens à leur premier lustre.222
  • Manière d'enlever les gouttes de couleur qui peuvent tomber sur les vêtemens.225
  • Manière De conserver les couleurs détrempées et même les pinceaux après oeuvre.225
  • De la peinture à l'huile.226
  • Réserves particulières attachées à l'emploi de certaines huiles pour les peintures de l'extérieur et pour celles de l'intérieur.227
  • Des préceptes attachés à ce genre de peinture.227
  • Observations sur les deux genres de peintures à l'huile.235
  • Du polissage.236
  • Explication sur les mots de teinte dure.236
  • Aperçu utile sur la quantité de couleur nécessaire pour couvrir une surface de huit pieds quarrés.239
  • Des toiles et taffetas cirés.240
  • Travail de la toile cirée ou vernie commune. Description du métier.243
  • Pâte liquide à l'huile siccative pour ce travail.244
  • Des toiles vernies (cirées) fines, imprimées.247
  • Comparaison de ce dernier procédé avec ceux employés aux toiles peintes.248
  • Des taffetas vernis connus sous le nom de taffetas cirés. Ils composent deux genres particuliers. Procédés.249
  • Des taffetas vernis, sans couleur.253
  • Du taffetas d'Angleterre. Procédé.254
  • Restriction sur son usage.256

CHAPITRE CINQUIEME.

  • De la peinture en détrempe. De l'encollage et des compositions pour les couleurs en détrempe. Préceptes généraux sur cette partie de l'art. Observations particulières.257
  • Première qualité de colle propre à la détrempe. Colle de poisson.260
  • De la consistance que doit avoir l'eau de colle pour les objets délicats.261
  • Seconde qualité de colle. Colle faite avec des rognures de gants ou de parchemin.263
  • Troisième qualité de colle. Colle commune, colle de brochette.263
  • Distinction admise entre la forte colle à l'usage de la détrempe et la colle forte du commerce. Temps limité pour son amploi.264
  • De l'encollage. Ses effets physiques.265
  • Des cas qui prescrivent l'encollage à froid ou à chaud.266
  • Des préceptes généraux appliqués à la peinture en détrempe.267
  • Des trois fortes de détrempe.269
  • Première forte de détrempe. Premier exemple. Procédé.270
  • Difficulté pour arriver au vrai ton de couleur.271
  • Moyen de remédier à l'inadhérence des dernières couches.271
  • Apprêt pour recevoir les peintures à fresque.272
  • Second exemple de la première forte de détrempe. Peinture au lait.273
  • Peinture au lait résineuse.276
  • Troisième exemple de la première forte de détrempe. Détrempe pour les foyers, potagers, cuisines etc. Méthode genevoise.277
  • Quatrième exemple de la première sorte de détrempe. Détrempe pour les parquets.280
  • Cinquième exemple de la première sorte de détrempe. Rouge pour les corridors et salles basses carrelées.282
  • Méthode économique et sûre pour rougir les carreaux de corridors, etc.283
  • Sixième exemple de la première forte de détrempe. Détrempe en badigeon.284
  • Méthode genevoise pour rajeunir les surfaces de vieux édifices construits en molasse.284
  • Seconde forte de détrempe. Premier exemple. Détrempe vernie. Cspanpolin. Observations sur l'origine de ce mot.285
  • Second exemple. Imitation du cspanpolin.290
  • Troisième forte de détrempe. Blanc de roi.292
  • Expérience simple pour connoître si le peintre substitue la craie ou le blanc d'Espagne à la céruse.295
  • Motifs qui portent l'auteur à suspendre la description de la fabrication des papiers peints, qui est une suite de la détrempe.297

CHAPITRE SIXIEME.

  • Des instrumens nécessaires au vernisseur. Observations sur l'emploi de quelques-uns.300
  • Du sens qu'on doit attacher au mot peintre. Distinction admise.301
  • Local de choix pour le compositeur de vernis.303
  • Du laboratoire et des instrumens nécessaires pour le travail.305
  • Des pinceaux et de leurs variétés. Des brosses.309
  • Rapport fait au Comité de cspanmie de la Société pour l'avancement des arts, sur ce nouveau traité de l'art de faire les vernis et de composer les couleurs qu'on y mêle.313
  • FIN.
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Pierre François Tingry
Collection Savoirs et traditions
Parution 01/02/2021
Nb. de pages 370
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 508g
EAN13 9782329581002

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