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Regles sur la santé, et sur les moyens de prolonger la vie. traduit de l'anglais. 2e édition
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Regles sur la santé, et sur les moyens de prolonger la vie. traduit de l'anglais. 2e édition

Regles sur la santé, et sur les moyens de prolonger la vie. traduit de l'anglais. 2e édition

George Cheyne - Collection Sciences

290 pages, parution le 01/06/2020

Résumé

Regles sur la santé, et sur les moyens de prolonger la vie . Traduit de l'anglais de M. Cheyne,... par M.***. Seconde édition revue
Date de l'édition originale : 1727

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE De ce qui est contenu dans ce Livre.

INTRODUCTION.

I. Il est plus aisé de conserver sa santé que de la recouvrer quand on l'a perduë , et de prévenir les maladies que de les guérir.Page 1
Raisons qui ont engagé l'Auteur a publier ce Traité, et à l'accommoder à l'usage de tout le monde.2
§. 2. La méthode que l'Auteur suit en cet Ouvrage, et les raisons qu'il a euës de la choisir.3
§. 3. C'est une folie que d'être trop scrupuleux sur sa santé. Il faut en avoir un soin moderé. Raisons qui le montrent.5

CHAPITRE PREMIER.

De l'Air.

§. 1. LA necessité de bien choisir l'Air, dans lequel nous avons à vivre.8
§. 2. Preuve tirées de l'expérience, par lesquelles on montre les influences de l'Air sur l'?conomie animale.7
§. 3. Règles qu il faut observer dans le choix de la situation d'une maison.9
§. 4. En Angleterre les vents d'Est sont très dangéreux pour la santé.11
Quel est le tems auquel ils regnent davantage; quel est celui où les vents d'Ouest et de Sud soufflent plus constamment.12
Comment il faut prévenir les mauvais effets de l'air froid et humide, ou y remédier.12
5. Ce qu'il faut faire pour éviter les influences mal saines du feu que l'on fait communément à Londres pendant l'Hyver.13
Que les gens délicats doivent avoir grand soin que les personnes de leurs maisons, et celles avec lesquelles ils vivent, soient bien saines; Qu'il faut être bien propre, et éviter les lieux et les lits humides, et le linge sale, etc.13
6. Comment on s'enrhume, ou comment transpiration est arrêtée.14. 15.
Observation sur l'effet de l'abondance de la nourriture etet de l'usage des vins puissans dans un tems de Pesle.17
Pourquoi les grands buveurs sont peut sujets à s'enrhumer.17
Comment l'obstruction de la transpiration contribuë à produire les vapeurs, et toutes les maladies des nerfs, et les affections spansteriques.18
Règles pour la santé, tirées des qualitez de l'Air.19. 20

CHAPITRE SECOND.

Du Manger et du Boire.

§. 1 Pour conserversa santé il faut proportionner la quantité et la nature de l'aliment que l'on prend; c'est-à dire, de ce que l'on mange et de ce que l'on boit, aux forces de la digestion.21
Source des maladies Chroniques.22
§. 2. Règles générales par lesquelles les gens valetudinaires et infirmes doivent juger des differentes sortes de végétaux ou d'animaux qui servent d'alimens, et trouver ceux qui leur conviennent.22
Aplication de ces règles. où l'on montre que les végétaux et les animaux qui viennent le plutôt en maturité, sont bien plus aisés à digérer que ceux qui ne meurissent que lentement.24. 25
Tout ce qui est plus petit dans son espèce est d'une digestion plus aisée que ce qui est gros et grand.26
La nourriture d'un animal est plus facile à digerer que l'animal même. Les animaux qui vivent d'herbes plus que ceux qui mangent d'autres animaux. Ceux qui vivent d'un aliment aisé à digerer, plus que ceux qui se nourrissent d'un aliment plus solide.26
Les animaux terrestres, que les poissons ou les ampspanbies.27
Les végétaux et les animaux d'une substance seche, charnuë, et fibreuse, plus que ceux qui ont une substance buileuse, grasse, et glutineuse.27
Ceux qui sont d'une couleur claire et legere, plus que ceux qui sont d'une couleur son cée, brune ou rouge.28
Ceux qui sont d'un goût doux et foible plus que ceux qui ont un goût fort, piquant, aromatique, ou chaud.29
§. 3. Manière de nourrir les animaux, et d'élever les végétaux, pour les rendre plus sains et plus propres à nôtre nourriture.30
La meilleure maniere de les apprêter.32
Comment il faut se conserver l'appétit bon.32
§. 4. Quelle quantité d'aliment il faut prendre en general.33
§. 5. Le grand avantage d'une diète moderée et d'une nourriture simple, prouvé par l'exemple de plusieurs personnes, qui par ce moyen se sont conservez en santé jusqu'à une extrême vieillesse dans des climats chauds.34
§. 6. Exemples semblables dans les pays froids.35
§. 7. Détermination particulière du poids d'alimens le plus convenable aux personnes foibles, délicates, sedentaires.37
§. 8. Du mal que produit la repletion et l'habitude de manger trop.39
Comment on peut suppléer aux medecines par la diète et l'abstinence.40
§. 9. De l'usage des purgations, quand on a fait quelqu'excès.40
Composition doeune excellente médecine pour cela.41
Avis du sieur Charles Scarboroug, à la Duchesse de Portsmouth.42
§. 10. Comment les gens d'étude peuvent ju ger s'ils mangent trop.42
Comment l'appetit doit être pris pour la juste mesure de ce qu'on doit manger.43
§. 11. Comment on peut à peu près juger à l'?il de la juste quantité d'alimens qu'on doit prendre, sans s'embarrasser de le péser.44
Du porc et du poisson: qu'ils ne conviennent point aux personnes délicates et valetudinaires.55
§. 12. Le grand avantage qu'il y a de boire de l'eau pour conserver son appétit, et fortifier l'estomach, et aider la digestion.47
effets pernicieux des liqueurs que l'on prend pour cet effet.49
Il n'y a aucun danger à quitter tout d'un coup cette coûtume pernicieuse.50
Regle du Chevalier Temple sur la quantité du boire.52
§. 13. Mauvais effets de la saufs opinion où l'on est, qu'il faut boire copieusement du vin quand on s'est rempli des viandes.52
§. 14. Mauvaises conséquences de l'usage où l'on est, de boire purs des vins qui ont beaucoup de corps; et qu'il vaut beaucoup mieux boire un vin leger, et d'une médiocre force, ou un vin fort bien trempé d'eau.54
§. 15. Boire, principalement des liqueurs spiritueuses, pour faire revenir les esprits dans les vapeurs, la mélancolie, augmente le mal au lieu de le guérir.56
Les Cordiaux ne sont point des remedes efficaces pour couper la racine à la maladie; ce sont seulement des soulagemens passagers qui ne peuvent que diminuer la douleur presente, et faire gagner du tems pour appliquer des remedes plus efficaces.60
§. 16 Du Punch, et du peril qu'il y a à en boire.61
De l'usage immoderé et indiscret de liqueurs acides.65
De la cause du grand nombre de coliques, de paralysies, de crampes, de convulsions, et d'autres maladies des nerfs qu'il y a dans les Indes Occidentales, et de la cure de ces maladies65
§. 17. Que les liqueurs faites de malt ou bled germé ne sont pas propres aux estomachs faibles.66
§. 18. De l'usage et de l'abus du Caffé, du Thé, et du Chocolat, et en passant, Tabac, et de la maniere de le prendre en poudre par le nés.67
§. 19. De la quantité d'eau ou de liqueurs aqueuses qu'il faut boire, et de sa proportion avec la quantité de l'aliment solide: et du meilleur tems pour les boire.74
Cette quantité doit être differente selon que nous mangeons plus de bouilli, ou de rôti.75
Quelles sont les viandes qu'il faut manger bouillies, et quelles sont celles qu'il convient de faire rôtir.76
§. 20 Composition d'un Cordial à prendre lorsque l'on a besoin de ces sortes de rémedes, et l'usage qu'il en faut faire.78
Règles qu'il faut observer dans le boire et le manger, pour conserver sa santé et prolonger sa vie.80

CHAPITRE TROISIE'ME.

Du sommeil et des veilles.

§. 1. DE l'usage et de la necessité du repos et du sommeil pour les animaux.86
Du soin que nous devons avoir de nous procurer un sommeil sain et rafraicspanssant.87
Faire un souper ample et abondant, c'est se frustrer de la fin pour laquelle on prend le sommeil.87
§. 2. Raisons des effets nuisibles de cette pratique.88
Cause du sommeil mal fain et interrompu, des crampes, des Suffocations, des agitations dans le sommeil, des oppressions, des maux d'estomach que l'on sent le matin, et de la pesanteur dont on est accablé tout le jour.89
Moyens seurs de prévenir tout cela.90
§. 3. Tems propre pour le sommeil.90
Les bons beuveurs trouvent qu'il est plus nuisible de veiller tard en gardant la sobriété, que de se coucher de bonne heure à demi yvre92
4. Des gens forts et robustes, peuvent sans danger négliger quelquefois le tems convenable au sommeil;  mais les personnes faibles et délicates ne le peuvent jamais avec seureté92
5. Ces sortes de personnes doivent se coucher de bonne heure et se lever matin. Leur sommeil en sera plus rafraicspanssant, et ils en auront moins de besoin que s'ils se mettoient plus tard au lit.93
§. 6. Les mauvais effets que produit le lit quand on y demeure long-tems le matin, et l'avantage qu'il a y de se lever de bonne-heure.94
7. Reglement du jour pour les gens de Cabinet.96
Précaution que doivent prendre les gens avancés en âge ou indisposés.97
Règles pour conserver sa santé et prolonger sa vie, tirées de ce qui concerne le sommeil et les veilles.97. suiv,

CHAPITRE IV.

De l'exercice et du repos.

§. 1. Quoi qu'il en soit de l'état de la na ture innocente, dans l'état où nous sommes, l'exercice est aussi necessaire pour la santé que la nourriture même.100.
L'effet de l'exercice est de conserver au sang et aux autres humeurs leur fluidité, de maintenir les jointures souples et pliantes et les fibres dans une tenson convenable.102
§. 2. Du tems et de l'occasion où il fut permis à l'homme d'user de l'aliment animal, de liqueurs fortes.103
Raison pour laquelle cela lui fut permis.104
§. 3. Des differentes fortes d'exercices qui sont en usage, et de ceux que l'on doit pre sérer aux autres.105
Raison pourquoi les enfans se plaisent si fort à courir, sauter, gambader, et à se donner toute sorte de mouvemens.106
§. 4. Plusieurs preuves du bien que l'exercice fait aux membres que l'on employe en differens travaux laborieux.107
5. Usage de cette observation, qui confise à donner aux parties du corps differens exercices, selon les differentes sortes de foiblesses et d'infirmités dont elles sont assligées ou menacées.108
Qu'il faut fixer les heures de l'exercice, et quel est le tems le plus propre pour cela.110
§. 6. Trois conditions que doit avoir l'exercice pour faire tout son effet.110
§. 7. L'utilité du bain froid. I. Pour conserver la transpiration libre et facile.112
22. Pour procurer aux humeurs une circulation libre à travers les plus petits vaisseaux.113
3. Pour prévenir les rhumes et le froid que l'on pourroit prendre, pour les prévenir, dis- je, en affermissant les fibres, et en resserrant les conduits de la transpiration.113
§. 8. Combien de fois, en quels cas, et de quelle maniere il faut prendre le bain froid.114
§. 9. Qu'il est bon de se frotter le corps avec des brosses ou de vergettes de la grande utilité qu'on en retire.115
Observation sur l'effet de ce frottement sur les Chevaux.115
Qu'il faudroit employer ce même frottement, aussi-bien que le bain froid, pour les animaux dont nous mangeons la chair.116
Règles pour la santé et pour la longue vie, tirées de ce qui cencerne l'exercice et le repos.117

CHAPITRE V.

Des Evacuations et de leurs Obstructions.

§. 1. Les matières fecales dans les gens qui se portent bien sont d'une consistance médiocre.120
Les causes des selles trop resserrées, ou trop libres; et comment elles découvrent la bonté ou la mauvaise qualité du régime dont on use.120
Pourquoi le mercure purge quelque fois, au lieu de provoquer la salivation.122
C'est par la même raison que les astringens et les opiates purgent.122
2. Erreur dangereuse de ceux qui veulent se donner de l'embonpoint et devenir gros et gras.122
Autre faute que font ceux qui élevent les enfans.124
Excellente méthode pour produire une quantité convenable de chair, bonne et bien saine.126
§. 3. Des selles liquides et purgatives marquent de l'intemperance dans le manger.126
Du soulagement passager que l'on trouve à manger et à boire beaucoup dans les maux spansteriques et les défaillances; et du mal que cela produit.127
Cause ordinaire des maux de tête, des maux d'estomach, et des coliques.127
D'où vient que les hysteriques ont des suffocations.127
§ 4 Véritable méthode de fortifier les nerfs relâchés.128
Combien les gens qui se portent bien et qui sont temperans, vont de fois à la selle.128
§. 5 Combien de tems les alimens demeurent dans le corps depuis qu?on les a pris jus qu'à cc qu?on les rende.129
Que les mauvais effets doeune intemperance se font plus sentir le jour que l'on évacuë les excremens de ce repas trop fort, qu'auparavant130
Consequences de cette observation.131
§. 6. Quelques alimens peu propres pour l'estomach ne laissent pas de fournir une bon ne nourriture.132
§. 7. et 8. De plusieurs sortes d'urines, et de ce qu'ellessignifient133
Différence qu'il y a entre les eaux hysteriques et celles que l'on rend dans les diabettes.134
§ 9. Régime que doivent garder ceux dont les urines sont claires et pâles; et ceux qui les ont chargées et troubles.136
§ 10. Danger de ceux qui rendent des urines d'un brun obscur, ou doeun rouge sale.137
Des autres espèce d'urines.137
§. 11. D'une evacuation singulière qui se fait par les selles et par les urines, et de sa cause.138
§ 12. Une transpiration empêchée est la cause de la plûpart des maladies aigues, et l'effet de quelques maladies Chroniques.140
§. 13. Quand et comment il est dangereux de s'enrhumer.141
Remede présent et facile contre le rhume.142
Peril qu'il y a à en différer la cure,142
§. 14. Moyen d'entretenir la transpiration libre.143
Inconvenient de son obstruction.144
Observation sur l'usage la cause finale des mouvemens convulfifs, de la toux, de l'éternuement, du ris, du baaillement, de l'action de s'étendre, etc.144
§. 15. D'une salivation critique qui arrive à ceux qui ont les fibres relâchées,145
Dans une maladie Chronique il faut faire attention à l'état des yeux et aux regards.146
Raison de l'apparence des taches, des mouches, des atomes que les personnes hysteriques s'imaginent voir devant leurs yeux, et de l'affoiblissement de leur vûe, qui de vient trouble et confuse.148
De l'utilité de la salivation susdite.150
De la vraie maniere dont il faut s'y conduire. Règles pour la santé et la prolongation de la vie, tirées de ce qui regarde les évacuations.151. et suiv.

CHAPITRE VI.

Des Passions.

§. 1. LES Passions influent beaucoup sur la santé.155
Quatre propositions fondamentales sur la ma tière des Passions.155
Prop. I. L'ame fait particulièrement sa de meure dans le cerveau, c'est là qu'elle re çoit les impressions des objets extérieurs; et que conformément à ces impressions elle excite des mouvemens dans le corps.155
Scholie. Les passions se divisent en spirituelles et en animales, eu égard aux differentes natures des objets extérieurs, et du sujet,. corps ou esprit, qui reçoit immédiatement leurs impressions.156
Prop. II. En quoi consiste l'union de l'ame et du corps.156
Scholie. Quelques loix de cette union,156
Prop. III. Il y a dans les esprits un principe actif de se mouvoir soi-même.157
Scholie. Preuve de ce principe tirée de l'existence du mouvement.157
Prop. IV. Il y a dans les esprits un principe analogue ou principe de gravité ou d'attraction qui est dans les corps.158
Scholie. Necessité de ce principe.158
Ce qui en reste dans l'état de la nature corrompuë.159
Coroll. I. La nature du bien et du mal spirituel.160
Coroll. II. Divisons des Passions enpassions agréables et passions douloureuses.160
L'amour et la haine, et leurs dépendances.160
§. 2. Les passions par rapport aux effets qu'elles produisent sur le corps, doivent se diviser en passions aiguës et passions chroniques, de même que les maladies dont elles sont la cause.161
Les effets des passions aiguës.161
Cause du soupir.162
Cause de la rougeur.162
Dans l'anxiété ou peine d'esprit, le poux est vite et la respiration courte.163
Effet de la crainte et de la colere.163
§ 3. Effets des passions chroniques.164
De l'attention de l'ame fixée a une pensée ou à une idée.165
Du chagrin, de la mélancolie, de l'amour frustré, de l'orgueil.165
Effet de la continuité d'une même action dans les Fakirs des Indes.165
De la pieuse melancholie.166
§. 4. Les personnes délicates et valetudinaires doivent soigneusement éviter tout excès de passion; pourquoi.166
Les passions aiguës sont plus dangereuses que les passions chroniques.167
§. 5. Effets differens des passions sur les Differens temperamens.168
1. Sur ceux dont les fibres ont beaucoup de ressort.168
2. Sur ceux dont les fibres sont dures et roides.168
3. Sur ceux qui ont des fibres engourdies et retirées.169
§. 6. Que les maladies ou foiblesses des nerfs qui servent aux operations de l'ame peuvent quelque fois être guéries par les Medecins.169
§. 7. Dans les autres cas, et lorsque les passions sont trop violentes, il n'y a de remede que dans la vertu, l'exercice de l'amour de Dieu, et les vûës de la Religion.171
§. 8. L'efficacité de ce remede.172
Règles pour conserver la santé et prolonger la vie, tirées du Chapitre des Passions.174

CHAPITRE VII.

Qui contient diverses Remarques qui n'ont pu se rapporter naturellement sous les Chapitres précedens.

§. I. DE la différence qu'il y a entre les maladies aiguës les maladies chroniques.176
Ce que l'on doit attendre de la médecine en l'un et l'autre cas.178
§. 2. Pourquoi plusieurs personnes sont prises de maladies chroniques vers la 35 ou trente-sixième année de leur vie: pourquoi quelques-uns le sont plus-tôt.179
§. 3. Le plus grand nombre des maladies chroniques dangereuses procede du scorbut, où sont compliquées avec le scorbut. Pourquoi le scorbut est si commun en Angleterre.183
De quelle maniere il est produit.183
Pourquoi les maladies chroniques sont plus communes en Angleterre que dans les climats plus chauds.184
Raison pourquoi tant de gens se donnent la mort à eux-mêmes en Angleterre.185
Pourquoi le scorbut ne se guérit presque ja mais, ou jamais parfaitement.186
Par quels moyens le scorbut peut-être entièrement guéris.186
Ce qui peut rendre la vie tolerable à ceux qui ne veulent pas souffrir la peine d'une cure entière et parfaite.187
Les semences et les jeunes rejettons des plantes sont propres dans cette maladie, parce qu'ils n'ont point de sels grossiers.187
Réflexion sur le grand usage du régime ou de la diète et de l'exercice dans la cure des maladies chroniques.189
§. 4. De la nature des fibres du corps animal de leurs differentes fortes.189
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) George Cheyne
Collection Sciences
Parution 01/06/2020
Nb. de pages 290
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 392g
EAN13 9782329425955

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