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Leçons cliniques de chirurgie infantile
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Leçons cliniques de chirurgie infantile

Leçons cliniques de chirurgie infantile

Auguste Broca - Collection Sciences

526 pages, parution le 01/03/2020

Résumé

Leçons cliniques de chirurgie infantile / par A. Broca,...
Date de l'édition originale : 1902

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'auteur - Auguste Broca

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Sommaire

TABLE DES MATIÈRES

PREMIÈRE LEÇON

Pages.
Examen d'un enfant atteint d'une lésion des membres1
I. - Interrogatoire des parents. - Hérédité tuberculeuse, sypspanlitique, alcoolique; nécessité fréquente de ne pas aborder la question de front. Renseignements sur la grossesse, l'accouchement. Difficulté possible de déterminer si une lésion est congénitale. Évolution de la lésion: début brusque ou lent; rôle doeun trauma initial3
II. - Examen de l'enfant. - Interrogatoire direct. Examen local: enfant nu; examiner comparativement les deux côtés sur le sujet debout et immobile, en marche, couché. Inspection du sujet debout et en marche: attitudes, raideurs, claudication, signe dit du maquignon. Enfant couché: inspection, palpation, pression localisée, étude des mouvements communiqués. Nécessité, dans toutes les explorations, de réduire la douleur au minimum, de toujours terminer l'examen par celui de la région douloureuse. Nécessité possible de la chloroformisation7

DEUXIÈME LEÇON

Hémarthrose du genou.17
I. - Histoire clinique d'un enfant: chute sur le genou avec possibilité d'une piqûre d'aiguille. Signes habituels doeun épanchement liquide dans le genou; rapidité caractéristique de l'hémarthrose. Absence d'ecchymose. Crépitation sanguine. Absence de points osseux douloureux à la pression18
II. - La fièvre a été dans ce cas un symptôme capable de faire croire à une arthrite aiguë. Autres observations analogues. Importance de connaître les caractères de cette fièvre aseptique, pour éviter une arthrotomie inutile22
III. - Indications de la ponction ou de l'incision en cas d'hémarthrose. Discussion sur la coagulation du sang dans la synoviale. Chez l'enfant, s'en tenir à une courte immobilisation suivie de massage26

TROISIÈME LEÇON

Arthrites aiguës traumatiques du genou.29
I. - Arthrite bénigne à staphylocoques consécutive à une piqûre d'aiguille dans le genou. Hésitation du diagnostic avec l'hémarthrose, puis avec la tumeur blanche à début fébrile. Résolution lente.29
II. - U ne hémo-hydarthrose stérile, mais fébrile, peut être la conséquence d'une piqûre du genou par aiguille; ou bien, inversement, le trauma peut n'être pas relaté dans les commémoratifs. Difficultés de diagnostic dans ces cas, et lorsqu'une a rth ri te à staphylocoques est consécutive à une contusion sans plaie, ou inversement lorsqu'une arthrite aseptique est due à une contusion avec plaie non pénétrante. Indication de l'arthrotomie dans les cas douteux32
III. - La résection et même la synovectomie immédiates ne paraissent pas le traitement de choix pour les arthrites suppurées du genou chez l'adulte, qu'elles soient ou non traumatiques. Chez l'enfant, moins encore. Il faut recourir à l'arthrotomie par deux incisions latérales, longues et très postérieures37

QUATRIÈME LEÇON

De la fièvre dans les fractures fermées41
I. - La fièvre est fréquente pendant les premiers jours après une fracture simple; elle est en général légère, avec température inférieure à 38, mais peut monter à 39°. Sa fréquence relative dans les fractures de cuisse, dans les fractures avec gros épanchement sanguin. L'état général reste bon41
II. - Difficultés de diagnostic pouvant résulter de cette hyperthermie. Confusion possible d'une fracture avec une ostéomyélite consécutive à un trauma. Importance de l'examen de l'état général, de la langue, du facies.45
IIIII. - Conditions générales où l'on peut observer la fièvre aseptique: fractures fermées, contusions, hémarthroses, épanchements sanguins du thorax et de l'abdomen, gangrène aseptique. Ce n'est pas un degré léger de fièvre septicémique, ni une fièvre d'origine viscérale, ni une fièvre "épitraumatique", c'est-à-dire réveillée par le traumatisme. Hypothèse peu probable rapportant la fièvre à l'exagération des phénomènes nutritifs par formation du cal. Hypothèse peu probable l'attribuant à des phénomènes nerveux réflexes. C'est probablement une fièvre de résorption résorption du sang, d'éléments anatomiques dont la vitalité est abolie par le trauma. Propriétés pyrétogènes des extraits d'organes. Hypothèse d'une substance pyrétogène due à une sécrétion morbide des éléments anatomiques contus49
Schéma général des fractures de l'extrémité inférieure de l'humérus59

CINQUIÈME LEÇON

Fractures supra-condyliennes. Fracture incomplète par extension. Cubitus varus immédiat61
I. - Diagnostic d'une fracture supra-condylienne sans déplacement; différences avec l'entorse, avec la contusion simple. Radiograpspane démontrant une fracture incomplète de la face antérieure. Mécanisme des fractures "par extension", avec déplacement du fragment inférieur en arrière, et des fractures "par flexion", avec déplacement en avant62
II. - Diagnostic entre une fracture supra-condylienne et une luxation en arrière67
III. - Fracture supra-condylienne consolidée ressemblant à une ancienne fracture du condyle externe; rectification par la radiograpspane. Le cubitus valgus physiologique; les attitudes pathologiques en valgus et en varus; les déviations ostéogéniques progressives et les cals vicieux70
IV. - Possibilité, dans le cas actuel, d'un décollement épiphysaire. Les conditions anatomiques de ce décollement76
V. - Indications, d'après le déplacement, du traitement par le massage immédiat, ou par une courte immobilisation avec réduction82

SIXIÈME LEÇON

Fractures supra condyliennes. Fracture par extension, récente et mal consolidée. Fracture par flexion87
I. - Fracture supra-condylienne "par extension" récente. Diagnostic avec la luxation compliquée de fracture de l'apophyse coronoïde88
II. - Nécessité d'immobiliser en flexion pour maintenir la réduction. L'immobilisation en extension est moins efficace. Possibilité d'une réduction parfaite.91
III. - Fracture immobilisée en raison d'accidents phlegmoneux graves provoqués par un rebouteur. Consolidation avec butoir formé par la diaphyse saillante en avant, et limitant la flexion. Indication d'une intervention opératoire pour abraser cette saillie.97
IV. - Fracture "par flexion", avec déplacement du fragment inférieur en avant.100

SEPTIÈME LEÇON

Fracture et décollement épiphysaire du condyle radial de l'humérus102
I. - Analyse d'une observation. Nature de l'accident. Gonflement du coude sans saillie en arriére. Conservation des mouvements communiqués. Douleur provoquée par l'abduction102
II. - Relations de la fracture et du décollement épiphysaire partiel. Déplacement dans la fracture il se fait en dehors et en bas, rarement en avant; rotation possible à 180 degrés; mobilité anormale et crépilation. Déplacement et diagnostic du décollement épiphysaire105
III. - Mécanisme de la fracture et du décollement. La fracture est due à l'association d'un arrachement par le ligament externe et de laction directe du coin sigmoïdien. Le décollement est dû à un choc direct111
IV. - Traitement: massage immédiat quand il n'y a pas de déplacement; dans le cas inverse, immobiliser d'abord en flexion. Cals vicieux; indications opératoires111
V. - Les déviations ostéogéniques en valgus et en varus122

HUITIÈME LEÇON

Décollement épiphysaire de l'épitrochlée. Fracture de l'épicondyle124
I. - Symptomatologie; très nette de la lésion. Différences avec la contusion, avec l'entorse125
II. - Déplacement habituel en bas et en dedans du fragment attiré par le ligament latéral interne. Mécanisme de l'arrachement osseux; c'est un intermédiaire entre l'entorse par abduction et la luxation128
III. - Association possible de la fracture à la luxation; possibilité d'une interposition du fragment épitrochléen causant l'irréductibilité primitive130
IV. - Lésion concomitante possible du nerf cubital133
V. - Traitement par la mobilisation immédiate. Rareté des indications opératoires135
VI. - Comparaison avec la rare fracture de l'épicondyle137

NEUVIÈME LEÇON

Complications nerveuses précoces des fractures de l'extrémité inférieure de l'humérus139
I. - Observation d'un garçon atteint depuis deux ans d'une paralysie du nerf médian et un peu du radial consécutivement à une fracture supra-condylienne. Incertitude sur le moment exact du début. Indication d'essayer avant d'opérer le traitement par l'électricité141
II. - Causes des paralysies immédiates: contusion directe des nerfs au moment du trauma; contusion par les fragments osseux déplacés, fait exceptionnel dans les fractures de condyle externe, moins rare dans les supra-condyliennes. Causes des paralysies secondaires; nerfs lésés par les fragments malréduits, par le cal exubérant144
III. - Paralysie immédiate complète, évidente, indiquant la recherche et la suture du nerf, Facilité de méconnaître les paralysies immédiates incomplètes et de les confondre avec des paralysies secondaires précoces. Guérison possible sans opération cspanrurgicale: sa rapidité paraît en rapport avec l'exactitude de la réduction. Indication de l'abrasion du cal ou des fragments saillants. Inconvénients d une mauvaise réduction de la fracture. Ne pas trop attendre pour opérer. Gravité considérable de certains cas149

DIXIÈME LEÇON

Complications nerveuses tardives des fractures de l'extrémité inférieure de l'humérus161
I. - Possibilité d'accidents tardifs, semblant spéciaux aux fractures de l'enfant et liés aux déviations ostéogéniques progressives du coude. Observation d'une fille atteinte de névrite du nerf médian trois ans après une fracture du condyle externe163
II. - Le coude est en cubitus varus; il s'agit d'une déviation ostéogénique et non d'un cal vicieux. Depuis un mois, signes de névrite du médian165
III. - Relation entre le cubitus varus progressif et la névrite. Observations analogues de paralysie tardive du nerf cubital après vieille fracture du condyle externe suivie de cubitus valgus169
IV. - Observation d'une névrite cubitale survenue dans ces conditions au bout de vingt-deux ans. Utilité d'une opération osseuse sitôt que les accidents nerveux ont débuté172

ONZIÈME LEÇON

La fracture de l'olécrane et la fracture du col du radius176
I. - Fracture de l'olécrane. - Symptômes et diagnostic. Siège de la fracture à la base. Mécanisme par choc direct sur le coude flécspan. Traitement par le massage immédiat177
II. - Fracture du col du radius. - Sa rareté. Histoire d'un malade. Signes physiques. Gène de la flexion et surtout de la pronation et de la supination. Cette fracture s'observe presque exclusivement chez le garçon de neuf à douze ans. Ses relations avec le décollement épiphysaire. Bascule habituelle du fragment supérieur en dehors181
III. - Diagnostic avec la luxation et la subluxation; avec la fracture du condyle; avec le décalot tement du condyle articulaire; avec la fracture de la tète radiale186
IV. - Traitement par le massage immédiat. Indications de la résection de la tète déplacée188

DOUZIÈME LEÇON

Arthrotomie pour luxations primitivement irréductibles du coude en arrière191
I. - Luxation en arrière et en dehors, primitivement irréductible. Arthrotomie par incision externe. Nécessité de fendre le ligament annulaire pour obtenir la réduction. Interposition probable de l'épitrochlée arrachée192
II. - Luxation en dehors avec interposition de l'épicondyle arraché entre la cupule radiale et le condyle. Luxation en arrière et en dehors avec interposition à la fois de l'épitrochlée et de l'épicondyle194
III. - Indications de l'arthrotomie197

TREIZIÈME LEÇON

Luxation ancienne du radius seul en avant200
1. - Signes physiques. Aspect du membre, palpation. Refoulement possible de la tête luxée, mais elle se reluxe dès que le doigt cesse d'appuyer. Erreur probable de diagnostic avec une fracture. Possibilité de l'irréductibilité du radius seul dans une luxation des deux os201
II. - Mécanisme de la luxation isolée du radius. Luxation en dehors; luxation en avant205
III. - Fréquence de l'irréductibilité primitive par interposition du ligament annulaire. Indications de l'arthrotomie207

QUATORZIÈME LEÇON

Traitement des exostoses de croissance212
I. - Ces exostoses sont bénignes, destinés à devenir stationnaires; leur migration vers la diaphyse; multiplicité et hérédité fréquentes. Les indications opératoires sont d'ordre mécanique. Indication d'exciser une exostose de l'extrémité inférieure du cubitus causant une difformité extérieure. Ulcération possible de l'artère poplitée213
II. - Exostose de l'épine de l'omoplate causant un torticolis par irritation musculaire. Hydarthrose du genou par exostose fémorale. Accrochement de la jambe en flexion par une exostose située sous les tendons de la patte d'oie216
III. - Exostosis bursala220
IV. - Exostose sous-unguéale du gros orteil222

QUINZIÈME LEÇON

Cas anormal d'ostéomyélite prolongée de la diaphyse fémorale225
I. - Fistule ossifluente fémorale qui paraît avoir été attribuée à tort à la tuberculose. Intégrité parfaite de la hanche, du racspans. Légère augmentation de volume de la moitié supérieure de la diaphyse. Début à l'âge de dix-huit mois, l'enfant ayant actuellement neuf ans. Probabilité de l'ostéomyélite225
II. - Opération conduisant dans un décollement périostique occupant une très grande hauteur autour de la diaphyse éburnée229

SEIZIÈME LEÇON

Évolution dentaire et ostéomyélites de la mâchoire inférieure234
I. - Ostéite aiguë de la mâchoire inférieure avec anesthésie du nerf mentonnier. Dent de six ans en voie d'évolution235
II. - Parallèle avec les accidents d'éruption de la dent de sagesse. Porte d'entrée de l'infection qui explique ces accidents; la compression intra-osseuse ne peut suffire. Des accidents analogues sont rares, mais possibles, pendant l'évolution de n'importe quelle dent238
III. - Nécrose grave par éruption et mauvaise direction de la dent de six ans; par inclusion de la dent de douze ans. Diagnostic dans ce dernier cas avec l'ostéosarcome, avec la tuberculose. Accidents analogues pour les molaires de lait. Parallèle entre l'ostéomyélite de la mâchoire et celle des os longs. Les nécroses exanthématiques241
IV. - Opposition des ostéomyélites de la branche montante à celles du bord alvéolaire; absence d'étiologie dentaire pour les premières. Ankylose osseuse de l'articulation temporo-maxillaire après une ostéomyélite secondaire non suppurée250

DIX-SEPTIÈME LEÇON

Nécroses du maxillaire inférieur par carie dentaire255
I. - Ostéite aiguë légère par carie de la dent de six ans; diagnostic avec un accident d'éruption de la dent de douze ans. Observation d'un cas où la lésion est plus avancée avec petit séquestre. Indication d'extraire la dent en même temps qu'on ouvre l'abcès256
II. - Prolongation possible de l'ostéite quand l'infection s'est propagée autour de germes encore en évolution. Rapports des séquestres avec ces germes inclus. Nécessité de sacrifier ces germes pour obtenir la cicatrisation261
III. - Cas graves où le séquestre peut interrompre la continuité du maxillaire268
IV. - Les extirpations de séquestres par ostéite d'origine dentaire doivent se faire par voie buccale270

DIX-HUITIÈME LEÇON

Mastoïdite ou furoncle de l'oreille272
I. - Enfant ayant toutes les apparences extérieures d'une mastoïdite aiguë. OEdème rétro-auriculaire décollant le pavillon. Caractères du furoncle avec lymphangite; adénite préauriculaire et sous la pointe de l'apophyse; douleur à la traction sur le pavillon; indolence à la pression sur l'os272
II. - Les erreurs de diagnostic sont fréquentes et semblent expliquer bon nombre de succès attribués à l'incision de Wilde dans le traitement des masloïdites. Traitement par les instillations de glycérine phéniquée. Son importance pour éviter les récidives275

DIX - NEUVIÈME LEÇON

Mastoïdite aiguë et périostite mastoïdienne279
I. - Complications mastoïdiennes d'une otite aiguë; diagnostic avec un furoncle accompagné de lymphangite. Opposition classique entre les signes de la mastoïdite et de la périostite. Elle semble être la plupart du temps inexacte280
II. - Conclusions qui en résultent pour l'indication de la trépanation ou de l'incision de Wilde. Cette dernière n'est jamais justifiée dans les otites aiguës283
III. - Elle ne l'est pas davantage si l'otite initiale est chronique285

VINGTIÈME LEÇON

Pyohémie d'origine otique288
I. - Importance de la septicémie généralisée dans le pronostic de la phlébite du sinus consécutive à une otite. Deux types cliniques de cette septicémie: mortelle, avec embolies pulmonaires; relativement bénigne, avec embolies dans le système aortique. Théories pathogéniques. Perméabilité ou thrombose du sinus289
II. - Observation d'une pyohémie sans thrombose consécutive à une otite aiguë; diagnostic avec l'ostéomyélite aiguë; nécessité possible d'évider plus tard l'apophyse292
III. - Observation d'une pyohémie sans thrombose consécutive à une otite chronique. Il peut, par exception, n'étre pas indispensable d'évider l'apophyse et la caisse299

VINGT ET UNIÈME LEÇON

Arthrites non tuberculeuses de la colonne cervicale.304
I. - Examen d'un enfant atteint de torticolis aigu; élimination de l'angine avec adénite, de la mastoïdite; diagnostic avec l'arthrite tuberculeuse. Rareté des prétendus torticolis aigus par rhumatisme musculaire. Il y a rhumatisme des articulations vertébrales307
II. - Guérison en général rapide et complète. Possibilité de déformations ostéoarticulaires et de torticolis peisistant309
III. - Arthrite scarlatineuse des vertèbres cervicales312
IV. - Traitement par le repos et le salicylate de soude; dans les cas accentués, indication de l'extension continue; nécessité possible d'un appareil plâtré314

VINGT-DEUXIÈME LEÇON

Mal de Pott cervical avec paraplégie bracspanale316
I. - Signes de mal de Pott cervical supérieur chez un enfant atteint de tumeur blanche du genou. Paralysie précoce des membres supérieurs. Pseudo-névralgies préalables316
II. - Compression probable de la moelle el des nerfs par la pachyméningite caséeuse. Paraplégie de Goll, sans participation des membres inférieurs. Compression des racines nerveuses à leur émergence320

VINGT-TROISIÈME LEÇON

Paralysies radiculaires obstétricales du plexus bracspanal324
I. - Nouveau-né atteint de paralysie d'un membre supérieur. Elimination de la sypspanlis héréditaire, d'une fracture obstétricale, d'une lésion cérébrale. La paralysie est flasque avec atropspane. Elle est consécutive à des manoeuvres obstétricales brutales. C'est un cas de paralysie radiculaire supérieure du plexus bracspanal325
II. - Les types de paralysie radiculaire: supérieure, inférieure, totale. Dispositions anatomiques qui les expliquent328
III. - Application aux paralysies obstétricales en particulier. Manoeuvres qui les provoquent. Gravité possible du pronostic332

VINGT-QUATRIÈME LEÇON

Anévrismes cirsoïdes et anévrismes artérioso-veineux du cuir chevelu341
I. - Description d'un anévrisme cirsoïde. Preuve de l'existence d'une phlébartérie limitée342
II. - Traitements anciens actuellement abandonnés. Il faut extirper la phlébartérie. Les dilatations cirsoïdes disparaissent ensuite d'elles-mèmes344
III. - Description de la pièce, où il s'agit d'une communication traumatique. Comparaison avec les angiomes devenant cirsoïdes346

VINGT-CINQUIÈME LEÇON

Tumeur gazeuse du cou350
I. - Tumeur sonore et irréductible de la région cervicale antérieure chez un garçon de trois ans et demi. La matité d'une tumeur gazeuse, quoi qu'on en ait dit, est impossible. Confusions anciennes dans l'spanstoire du "goitre aérien". Une communication avec les voies aériennes est nécessaire, et probablement liée ici à un tubage pour diphtérie; possibilité exceptionnelle d'une infection gazeuze légère dans un kyste ponctionné350
II. - Variétés anatomiques el pathogéniques. Poches congénitales ou acquises356
III. - Indications et technique d'une opération cspanrurgicale359

VINGT-SIXIÈME LEÇON

Empyème de nécessité362
I. - Définition de l'empyème de nécessité au niveau d'un abcès qui pointe extérieurement. Observation d'un cas consécutif à une pleurésie métapneumonique méconnue364
II. - Difficultés possibles du diagnostic d'une pleurésie purulente chez l'enfan
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Auguste Broca
Collection Sciences
Parution 01/03/2020
Nb. de pages 526
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 717g
EAN13 9782329398020

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