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Études sur les inondations, causes et remède
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Études sur les inondations, causes et remède

Études sur les inondations, causes et remède

J. Dumas - Collection Sciences

194 pages, parution le 01/02/2020

Résumé

Études sur les inondations : causes et remède / par M. J. Dumas,...
Date de l'édition originale : 1857

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.

AVANT-PROPOS. - Quelques mots sur les inondations, questions posées par l'Académie Impériale des sciences, belles-lettres et arts de BordeauxV
INTRODUCTION. - Ancienneté des ouvrages d'endiguements établis sur les bords des rivières et des fleuves, résultats des recherches de M. Vergnaud-Romagnési à ce sujet. Ouvrage d'endiguement commencé par AgrippaXV
Régularisation des endiguements par les ordres de Charlemagne, de Charles VII, de Louis XI, de Louis XII, et de Henri IVXVI
Ces documents servent à établir que les inondations constituent un phénomène très-ancien dans le mondeXVII
Mention d'un grand nombre de débordements remarquables, soit par leur durée, soit par leur soudaineté, et qui ont eu lieu depuis l'an 585 jusqu'à l'année 1791XVIII
Le phénomène des inondations s'associe aux autres fléaux qui se manifestent capricieusement sur le globe, et dont on conçoit l'existence en les rattachant à la loi du travail qui pèse sur l'humanité entièreXIX
La question à l'ordre du jour en France consiste à savoir si l'on pourra maîtriser les cours d'eau dans leurs jours de colère, comme on a pu maîtriser la foudre et désarmer le nuage orageuxXIX
Division de cet ouvrageXX
Pensée dominante de cet ouvrage. - Prédiction du géographe Strabon accomplieXXI

PREMIÈRE PARTIE. Causes des Inondations.

CHAPITRE I. Véritable point de vue de la question.

La question si complexe des inondations doit être placée dans son véritable point de vue, si l'on veut marcher sûrement vers la détermination de la source du mal25
Ce que nous savons sur les inondations; et ce que nous devons découvrir26
Causes nombreuses qui ont été assignées aux inondations. - Fait qui a paru décisif27

CHAPITRE II. Définitions des causes des Inondations.

1° Causes premières ou absolues.

Ce qu'on entend par causes premières des inondations. Explication de la définition. - Deux causes premières des inondations. - Caractères particuliers qui les distinguent29

2° Causes secondaires ou accidentelles.

Ce qu'on entend par causes secondaires des inondations. Explication de la définition par plusieurs exemples30

CHAPITRE III. Démonstration des Causes premières des Inondations.

On se dispense de démontrer l'existence de la pluie35
Epaisseur de la quantité moyenne d'eau pluviale en France. - Evaporation dans un vase ouvert. - Quantité d'eau tombée pendant le mois de mai 1856, à Montpellier, et à Valence35
Démonstration de cette première proposition: si la surface des continents ne présentait ni montagnes, ni collines, en un mot, si cette surface était parfaitement unie, il n'y aurait pas d'inondation possible par le fait des eaux pluviales37
Démonstration de cette deuxième proposition: avec les montagnes, les collines, les pentes des plateaux élevés, les vallées larges et profondes, les dépressions diverses, et enfin les plaines que présente le sol à sa surface; les inondations deviennent possibles38
Conclusion des deux démonstrations42

CHAPITRE IV. Mesure des causes des Inondations.

1° Causes premières ou absolues.

Unités de mesure pour les longueurs, pour les surfaces, pour les volumes, appliquées à la cause première qui dépend de la chute des pluies43
Ce qui doit résulter de l'application du procédé de mesure à tous les affluents d'une même rivière ou d'un même fleuve44
Unités de mesure appliquées à la cause première qui dépend des aspérités du sol44
Considération des vitesses variables que parcourent les corps soumis à marcher, ou à rouler sur des plans plus ou moins inclinés45
Les diverses positions des plans peuvent s'évaluer, ou se déterminer en les rapportant à la verticale et à l'horizontale. - Energie d'impulsion qui fait marcher les eaux pluviales vers les lits des torrents, dans les ruisseaux, dans les rivières et dans les fleuves46

2° Causes secondaires ou accidentelles.

Les causes secondaires doivent être mesurées comme les causes premières46
Ce que l'on ôte en largeur au lit d'un cours d'eau doit lui être restitué en hauteur. Poussée latérale qui s'accroît dans les masses liquides à mesure que la hauteur verticale augmente46

CHAPITRE V. Comment se forment les Inondations.

Rôle que jouent, dans la formation des inondations, les montagnes de tout ordre, les plateaux élevés et les diverses inégalités qui hérissent la surface des continents49
Les eaux pluviales tombées sur une infinité de points d'un même bassin hydrograpspanque sont réunies par les diverses dépressions que présente la surface du sol et sont conduites dans une vallée principale qui est leur terme commun50
En temps ordinaire, ce mécanisme entretient seulement le Cours perpétuel des ruisseaux, des rivières et des fleuves, mais lorsqu'il survient des pluies extraordinaires, le lit principal de la rivière ou du fleuve ne peut plus contenir le volume d'eau qui lui est amené par les divers affluents. De là inondation dans les plaines qui occupent les lieux les plus bas51

CHAPITRE VI. Inondations dans les diverses saisons.

La saison et la température exercent une grande influence sur la distribution des eaux pluviales dans les diverses époques de l'année53

1° Relativement à la saison.

Les observations faites sur un grand nombre de localités constatent que, généralement en Europe, l'automne est la saison la plus pluvieuse; vient ensuite l'été; puis le printemps; enfin l'spanver53
Modifications amenées à cet ordre de distribution des pluies, par le voisinage de la mer et par celui des montagnes55

2° Relativement à la température.

La chaleur favorise l'évaporation, éloigne le point de saturation, et donne à la vapeur la propriété de s'élever dans les hautes régions de l'atmosphère. Phénomènes produits dans l'atmosphère, par les variations de température dans les diverses époques de l'année57
La considération du degré de température explique pourquoi les pluies sont fréquentes ou rares, abondantes ou légères, suivant la saison58
D'où l'on arrive à conclure: 1° Que les inondations d'été sont à craindre à cause de leur soudaineté, et aussi à cause de l'énorme volume d'eau qui les produit; 2° Que les inondations d'automne sont en général considérables 3° Que les inondations d'spanver sont les moins à craindre; 4° Que les inondations du printemps sont les plus dangereuses, parce qu'elles proviennent quelquefois de la combinaison de deux actions, savoir: la chute des pluies et la fonte des neiges59
Ce double effet de la chute des pluies et de la prompte fusion des neiges, ou des glaces, se fait sentir principalement dans le Rhône, pendant les deux saisons du printemps et de l'automne61

Résumé de la première partie.

Le mal est complétement connu62
Impossibilité de détruire, ou de supprimer les causes premières des inondations62
Le mal est-il donc sans remède?63
Loin de nous cette pensée désespérante; car on pourra combattre victorieusement le fléau des inondations, maîtriser ses causes et les contraindre à produire des effets avantageux à l'agriculture, à l'industrie, au commerce et à l'économie domestique63

SECONDE PARTIE. Remède qu'il convient d'appliquer au mal.

CHAPITRE VII. Divers moyens déjà proposés pour combattre les Inondations.

Énoncé de neuf moyens qui ont été proposés pour combattre les inondations67
Appréciation succincte de chacun de ces moyens69
Très-courte considération générale sur l'efficacité de ces moyens73

CHAPITRE VIII. Influence de certains travaux.

Influence des barrages dans les torrents et les petites75
Influence de la dérivation des cours d'eau pour le service des irrigations76
Influence du drainage, des puisards, boitouts ou bétoires, et du colmatage76
Influence des puits artésiens77
Influence des mines77
Influence des chemins de fer78
Influence des observations pluviométriques79
Influence du déboisement des montagnes et du défrichement des forêts81
Dans beaucoup de localités, l'agriculture s'est enricspane par le défrichement des forêts83
La disparition des forêts a dû agir sur l'état hygrométrique de l'atmosphère84

CHAPITRE IX. Appréciation numérique du volume d'eau qui fait déborder les rivières et les fleuves.

Les eaux pluviales s'écoulent de trois manières. - Les Académiciens Perrault et Mariotte ont constaté que la quantité moyenne d'eau pluviale est sextuple ou même octuple de la dépense de la Seine87
La quantité relative d'eau pluviale qui arrive dans les lits des rivières n'est pas la même partout: La nature des terrains, la disposition des surfaces, les plaines et les montagnes peuvent causer des différences très-sensibles dans cette quantité. Mais, quand il s'agit du bassin hydrograpspanque d'une grande rivière, ou d'un fleuve, ces différences se fondent en une résultante qui n'est qu'une faible fraction de la quantité moyenne annuelle des eaux pluviales que reçoit ce bassin88
La quantité d'eau qui fait déborder les rivières et les fleuves est relativement très-faible. - Il suffit généralement que le volume moyen d'une rivière ou d'un fleuve devienne double, triple, ou quadruple, pour que ce cours d'eau francspansse ses berges et occasionne des inondations89
La quantité d'eau additionnelle qui survient de temps à autre dans les lits des rivières et des fleuves et qui occasionne des inondations, n'est pas 1/80 des eaux pluviales destinées à couler pendant une année entière dans les lits des cours d'eau91
Et pour la généralité des contrées de la France, le volume d'eau qui fait déborder les rivières et les fleuves n'est environ que 1/80 de 1/8 ou 1/640 de la quantité moyenne annuelle des eaux pluviales. - Cette faible quantité d'eau ne doit son importance qu'à son agglomération plus ou moins soudaine92
Faits connus, ou du moins bien avérés, sur lesquels est fondé le résultat numérique 1/64092
Vérification de l'exactitude de ce résultat numérique93

CHAPITRE X. Moyens à Employer pour arrêter la quantité d'eau qui fait déborder les rivières et les fleuves.

Quelque faible que soit relativement la portion des eaux pluviales qui fait déborder les rivières et les fleuves, il est au-dessus de la puissance humaine de l'arrêter, quand l'inondation est devenue un fait accompli. Mais on peut l'arrêter en la prenant en détail, à mesure qu'elle tombe des nuages et avant qu'elle ait pu former des agglomérations de quelque importance105
Efficacité des moyens de retenue des eaux pluviales. - Ces moyens consistent à évaluer préalablement en. mètres carrés l'étendue superficielle et horizontale des bassins hydrograpspanques, et à arrêter les eaux pluviales dans toutes les dépressions de la surface du sol, en établissant des barrages suffisamment élevés et capables de résister à la poussée latérale du volume d'eau qu'ils devront arrêter106
Les barrages formant des bassins ne sont par les seuls moyens à employer pour atteindre le but désiré. Car on ne doit pas conserver les eaux pluviales dans les bassins de barrages; mais il importe, au contraire, de leur ménager des issues en leur donnant une direction convenable et une destination qui ne puissent dans aucun cas les rendre nuisibles à l'agriculture109
A cette fin, l'on devra employer l'un des deux procédés qui sont décrits dans les chapitres suivants. Soit par l'un, soit par l'autre de ces deux procédés, on a un système général, de facile exécution, et qui peut être appliqué à tous les cours d'eau, quelle que soit leur importance relative110

CHAPITRE XI. Destination des eaux arrêtées.

1er Procédé.

Ce premier procédé, d'une simplicité remarquable, consiste à détruire par la division l'effet qui a été produit par la multiplication, à diviser et à subdiviser les masses d'eau qui arrivent dans les bassins des barrages. A cette fin, d'un côté, ou mieux des deux côtés opposés de chaque bassin, on ouvre un canal principal qui se divise et se subdivise dans sa marche en un très-grand nombre de canaux, de fossés et de rigoles113
Pente que l'on doit donner au canal principal et à ses ramifications. - Capacité d'ensemble que devront avoir les bassins et les canaux divers114
Hypothèse de deux ou même de trois précipitations de pluies très-fortes et à peu d'intervalle. - Ce qu'amènerait la réalisation de cette hypothèse115
Ce procédé aura pour effet immédiat de diminuer la force des inondations; cette diminution continuera de s'opérer à mesure que des travaux analogues s'étendront sur un plus grand nombre de points; et le fléau des inondations aura complètement disparu, lorsque cette théorie sera appliquée généralement117
Aspect que présenterait cet ensemble de canaux, avec leurs divers embranchements de fossés et de rigoles, s'il était vu à vol d'oiseau et d'une certaine hauteur118
Application physique de la maxime florentine: diviser pour régner120
Réponse à cette question: ce procédé de retenue des eaux pluviales ne fera-t-il pas éprouver au débit des cours d'eau existants des diminutions considérables; ou même cette retenue exercée généralement et sur une vaste échelle, ne finira-t-elle pas par mettre à sec tous les lits des cours d'eau?121

CHAPITRE XII. Destination des eaux arrêtées.

2me Procédé.

Ce second procédé consiste dans la création de Fontaines nouvelles123
Dans ce 2me procédé, les eaux pluviales arrêtées par les barrages formant des bassins, ne sortent pas des bassins comme dans le premier procédé; elles sont destinées à saturer au loin et au large le sol de ces bassins, à traverser les filtres qui leur seront préparés, et à produire souterrainement des sources qui alimenteront des Fontaines123
A cette fin, on exécutera quelques travaux qui seront différents, suivant qu'ils devront être établis dans les faibles dépressions du terrain, ou dans les grandes dépressions124

1° Relativement aux faibles dépressions.

Dans la partie la plus basse de chacun des bassins de barrages on creusera un ou plusieurs puits ronds de 2m de diamètre. Ces puits auront la profondeur de 3m, ou de 2m seulement, dans les terrains d'alluvions anciennes; et dans les terrains compactes, ces puits descendront jusqu'à la rencontre d'une couche absorbante. Lorsqu'on n'aura pas rencontré une couche absorbante à 4m ou 6m de profondeur, on continuera ce travail en pratiquant un trou de sonde qui sera poussé jusqu'à la couche absorbante. On remblaiera ces puits par moitié avec des cailloux ou de la pierraille, et le restant avec du gravier et du sable124
Ces puits sont appelés puisards, boitouts, ou bétoires. Ils sont destinés à boire et à absorber les eaux des bassins. Puits de cette nature creusés par ordre du roi Réné près de Marseille, pour dessécher le grand bassin marécageux des Paluns; sources jaillissantes que produisent les eaux absorbées par ces puits appelés en provençal Embugs (entonnoirs). Boitouts naturels qui existent sur une foule de points de la France125
Puits artésien absorbant exécuté par MM. l'ingénieur civil Mulot, à 200m de la barrière du combat à Paris. - La profondeur de ce puits; sa puissance d'absorption; - Ce qu'il a coûté127

2° Relativement aux grandes dépressions.

Dans les vallons, dans les vallées de quelque importance, on pourra aussi bien employer les boitouts ou puits artésiens absorbants. Les eaux pluviales qu'ils absorberont iront grossir les sources existantes, ou créeront des sources nouvelles sur des points indéterminés127
Procédé à suivre pour créer des Fontaines nouvelles sur tel point déterminé d'avance. - Tranchée longitudinale. - Tranchées transversales. - Leur largeur, leur profondeur, leur pente. - Dalles qui recouvrent les cavités. - Bassin régulateur128
Ce qui doit résulter de cet ensemble de travaux131
Les Fontaines établies. par ce système procèdent du même principe et ont par conséquent même origine que les Fontaines établies par la nature133
Ce que c'est qu'une Fontaine naturelle133
Observation sur la description des deux procédés136

CHAPITRE XIII. Aperçu des dépenses.

Idée exagérée que l'on se fait de l'énormité de la somme nécessaire pour empêcher les inondations. - Résultats certains qui suivront les dépenses. La grandeur des dépenses exigées est loin de rendre inapplicable le moyen proposé139
Ce qu'ont coûté: le canal du Midi; - les chemins de fer déjà construits; - les travaux de navigation intérieure; - les voies de communication par terre140
Les dépenses que ces divers travaux ont occasionnées sont de beaucoup supérieures à la somme exigée pour empêcher les inondations142
Ce que coûterait l'application du système pour empêcher les inondations 1° Dans le bassin du Rhône144
2° Dans celui de la Garonne148
3° Dans celui de la Loire149
4° Dans celui de la Seine149
Dépense totale pour ces quatre bassins149
Cette somme n'excède peut-être pas de beaucoup la valeur des pertes matérielles que les inondations du seul mois de mai 1856 ont occasionnées150
Question sur la durée de l'exécution des travaux. Réponse à cette question151

CHAPITRE XIV. Résultats et compensations à espérer.

Par l'application de cette théorie, on aura les résultats suivants:
1° Diminution de la force des inondations et disparition complète de ce fléau;153
2° Des Fontaines nouvelles jaillissantes sur une infinité de points;154
3° Création d'innombrables moteurs pour l'industrie, et nouvelle source de richesses;155
4° Régularisation du débit et du régime des cours d'eau existants; et possibilité de canaliser tous les cours d'eau de quelque importance, pour les livrer à la navigation;156
5° Conquête de toutes les terres aujourd'hui abandonnées aux emportements des cours d'eau; d'où résultera une compensation des dépenses exigées pour l'établissement du système;157
6° Pluies plus fréquentes et modérées pendant la saison d'été;158
7° Enfin, revenus très-considérables amenés par la vente ou le loyer des fournitures d'eau potable, des moyens d'irrigation, et des chutes d'eau159
La pensée qui résume tout ce mémoire est de nouveau formulée159
Motifs d'excuse sur la longueur de ce mémoire160
FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE.
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) J. Dumas
Collection Sciences
Parution 01/02/2020
Nb. de pages 194
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 270g
EAN13 9782329381138

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