Réflexions sur la première décade de tite-live. nouvelle traduction. Tome 2
Nicolas Machiavel - Collection Philosophie
Résumé
Date de l'édition originale : 1782
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L'auteur - Nicolas Machiavel
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Sommaire
TABLE DES CHAPITRES.
LIVRE PREMIER.
- DISCOURS PRÉLIMINAIRE, page 1
- AVANT-PROPOS,127
- CHAP. I. Des commencements des villes en général, & de ceux de Rome,130
- CHAP. II. Des différentes formes des républiques & quelle fut la forme de la république romaine,137
- CHAP. III. Des causes de la création des tribuns du peuple à Rome. Que leur établissement perfectionna la constitution,148
- CHAP. IV. Que la désunion du peuple & du sénat produisît la liberté & la puissance de la république,151
- CHAP. V. A qui peut-on confier plus sûrement la garde de la liberté, aux grands ou au peuple? & lequel des deux cause plus souvent des troubles de celui qui veut acquérir ou de celui qui veut conserver?155
- CHAP. VI. S'il étoit possible de couper racine aux brouilleries du peuple & du sénat,160
- CHAP. VII. Combien il importe à la liberté d'autoriser les accusations,169
- CHAP. VIII. Qu'autant les accusations peuvent être utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse,175
- CHAP. IX. Qu'il faut être seul pour fonder une république, ou pour la réformer sur un nouveau plan,181
- CHAP. X. Qu'autant il est dû de louanges aux fondateurs d'une république ou d'une monarcspane, autant il est juste de blâmer les auteurs d'un gouvernement tyrannique,186
- CHAP. XI. De la religion des Romains,193
- CHAP. XII. Qu'il est important d'avoir des égards pour la religion, & que l'Italie, pour avoir manqué à ces égards, & par les intrigues de la cour de Rome, s'est entièrement perdue,200
- CHAP. XIII. Comment les Romains se servoient de la religion pour établir des loix, favoriser leurs entreprises, & arrêter les séditions,207
- CHAP. XIV. Que les Romains interprétoient les auspices suivant le besoin qu'ils en avoient: que lorsqu'ils étoient forcés par les circonstances d'en négliger l'observation, ils avoient au moins la prudence de faire semblant de s'y conformer, & qu'ils en punissoient le mépris téméraire,212
- CHAP. XV. De quelle maniere les Samnites dans une occasion désespérée eurent recours à la religion,216
- CHAP. XVI. Qu'un peuple accoutumé à vivre sous un prince ne conserve pas aisément sa liberté si par hasard il devient libre,220
- CHAP. XVII. Qu'un peuple corrompu qui devient libre ne peut presque pas réussir à conserver sa liberté,228
- CHAP. XVIII. De la maniere de conserver la liberté dans un Etat corrompu, si par sa constitution il est libre, ou, s'il ne l'est pas, de la lui procurer,233
- CHAP. XIX. Après un bon commencement, un Etat peut se soutenir sous un prince foible; mais sa perte est inévitable quand le successeur de ce prince foible est foible comme lui,241
- CHAP. XX. Qu'une succession de deux grands princes produit des effets admirables, & qu'une république qui a nécessairement une succession d'hommes vertueux doit s'étendre & s'augmenter considérablement,245
- CHAP. XXI. Combien on doit blâmer un prince ou une république qui n'ont point d'armée nationale,246
- CHAP. XXII. Ce que le combat des Horaces & des Curiaces offre de remarquable,249
- CHAP. XXIII. Qu'on ne doit point hasarder toute sa fortune avec une partie de ses forces seulement, & qu'il est par conséquent dangereux de se contenter de garder les passages,251
- CHAP. XXIV. Les républiques bien gouvernées décernent des peines & des récompenses, & ne compensent pas les unes avec les autres,256
- CHAP. XXV. Quand on veut changer la constitution d'une république libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions,258
- CHAP. XXVI. Un prince nouvellement établi dans une ville, ou dans une province conquise, doit changer tout l'ordre des choses,260
- CHAP. XXVII. Que les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais,262.
- CHAP. XXVIII. Pourquoi les Romains furent moins ingrats que les Athéniens,264
- CHAP. XXIX. Qui est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince?267
- CHAP. XXX. Comment un peuple ou un prince peuvent s'empêcher de tomber dans l'ingratitude, & comment un général ou un citoyen peuvent éviter d'en être les victimes,273
- CHAP. XXXI. Que les généraux romains ne furent jamais punis pour des fautes d'ignorance, ou pour de mauvaises opérations, lors même que la république en avoir souffert de grands dommages,277
- CHAP. XXXII. Qu'une république ou un prince ne doivent pas attendre l'instant du péril pour subvenir aux besoins de leurs sujets,281
- CHAP. XXXIII. Lorsqu'un Etat est menacé par un grand principe de destruction, soit au dedans, soit au dehors, il vaut mieux temporiser avec le mal que de l'attaquer de front,283
- CHAP. XXXIV. La dictature fit toujours du bien & jamais du mal; & la puissance conférée par les suffrages libres du peuple n'est pas celle qui nuit à la liberté, c'est celle dont un citoyen s'empare lui -même,289
- CHAP. XXXV. Ce qui rendit la création des décemvirs nuisible à la liberté, quoiqu'elle fût l'ouvrage des suffrages libres du peuple,294
- CHAP. XXXVI. Que les citoyens qui ont été revêtus des plus grands honneurs ne doivent pas dédaigner les moindres,297
- CHAP. XXXVII. Des commotions causées à Rome par la loi agraire; qu'il est très dangereux dans une république de proposer une loi tendante à revenir sur le passé, & à corriger un abus très invétéré,299
- CHAP. XXXVIII. Les républiques foibles ne savent ni délibérer ni prendre un parti; si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par nécessité que par choix,305
- CHAP. XXXIX. Que les mêmes accidents surviennent quelquefois chez différents peuples,311
- CHAP. XL. De la création des décemvirs & de ce qu'il y a eu de remarquable; où l'on considère, entre autres choses, comment le même accident peut sauver ou perdre un Etat,314
- CHAP. XLI. Il est imprudent & dangereux de passer sans gradation de la modestie à l'orgueil, & de la douceur à la cruauté,325
- CHAP. XLII. Combien les hommes se corrompent aisément,326
- CHAP. XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont bons & fideles soldats,327
- CHAP. XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire; & l'on ne doit pas se porter à des menaces avant de s'être saisi de l'autorité,329
- CHAP. XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, sur-tout de la part de ceux qui l'ont faite; & rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville, que d'accumuler tous les jours de nouvelles injures,331
- CHAP. XLVI. L'ambition croît par degrés; on songe d'abord à se défendre, & ensuite à attaquer,335
- CHAP. XLVII. Que les hommes, quoique sujets à se tromper sur le général, ne se trompent pas sur le particulier,338
- CHAP. XLVIII. Qui veut empêcher qu'une magistrature ne soit déférée à un homme vil ou méchant, doit la faire demander par un plus vil ou plus méchant encore, ou par ce qu'il y a dans l'Etat de plus illustre & de plus vertueux,345
- CHAP. XLIX. Si les villes nées libres, comme celle de Rome, ont de la peine à trouver des loix capables de les conserver, c'est une chose presque impossible à celles qui sont nées dans la servitude,346
- CHAP. L. On ne doit souffrir dans un Etat aucun conseil ni aucune magistrature qui puise arrêter les affaires,351
- CHAP. LI. Une république ou un prince doivent avoir l'air de se porter généreusement à ce que la nécessité les contraint de faire,354
- CHAP. LII. Le moyen le plus sûr, le moins scandaleux, de réprimer l'insolence d'un ambitieux qui s'éleve dans une république, c'est de lui fermer les chemins qui le conduiroient à cette élévation,355
- CHAP. LIII. Souvent un peuple desire sa ruine, trompé par une fausse apparence de bien; on l'échauffe aisément par des espérances séduisantes & des promesses magnifiques,359
- CHAP. LIV. Combien un grand homme a d'autorité quand il s'agit de calmer une multitude échauffée,366
- CHAP. LV. Combien toutes choses marchent aisément dans une ville où le peuple n'est point corrompu. Où il y a égalité, il ne peut y avoir de monarcspane; où il n'y en a point, il ne peut y avoir de république,368
- CHAP. LVI. Les grands changements qui arrivent dans une ville ou dans un Etat sont toujours pronostiqués ou prédits,376
- CHAP. LVII. Le peuple rassemblé est très courageux; séparé, il est très foible,378
- CHAP. LVIII. Un peuple est plus sage & plus constant qu'un prince,381
- CHAP. LIX. Qui est plus fidele à ses alliances, d'une république ou d'un prince?391
- CHAP. LX. Que les Romains n'avoient aucun égard à l'âge en nommant leurs consuls & leurs magistrats,395
LIVRE SECOND.
- AVANT-PROPOS, Tome II. page 1
- CHAP. I. Si la vertu a eu plus de part que la fortune à la grandeur de l'empire romain,8
- CHAP. II. Quels furent les peuples que les Romains combattirent, & avec quelle obstination ces peuples défendirent leur liberté,15
- CHAP. III. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines, & en accordant aux étrangers la qualité de citoyens,27
- CHAP. IV. Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir,30
- CHAP. V. Que les changements des religions & des langues & les accidents des déluges & des contagions détruisent la mémoire de toutes choses,40
- CHAP. VI. Comment les Romains faisoient la guerre.44
- CHAP. VII. De la quantité de terre que les Romains donnoient à chaque colon,48
- CHAP. VIII. Des raisons qui obligent un peuple à abandonner sa patrie pour se répandre dans les pays étrangers,49
- CHAP. IX. Des sujets ordinaires de guerre entre les potentats,56
- CHAP. X. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre, comme on le croit communément,59
- CHAP. XI. Il est imprudent de se liguer avec un prince qui a plus de réputation que de force,66
- CHAP. XII. Si lorsqu'on craint d'être attaqué il vaut mieux porter la guerre chez son ennemi, que de l'attendre chez soi,68
- CHAP. XIII. Que la fraude sert plus que la force pour s'élever d'un état médiocre à une grande fortune,76
- CHAP. XIV. On se trompe la plupart du temps, lorsqu'à force de soumission on croit désarmer la hauteur,80
- CHAP. XV. Les Etats foibles sont toujours indécis & la lenteur à déterminer est toujours nuisible,83
- CHAP. XVI. Combien les armées modernes sont différentes des anciennes,88
- CHAP. XVII. Quel cas on doit faire de l'artillerie dans les armées modernes, & si l'opinion universelle en ce point est fondée en raison,96
- CHAP. XVIII. Qu'il est prouvé par l'autorité des Romains & par l'exemple des anciens qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie,108
- CHAP. XIX. Que les acquisitions d'une république mal constituée & qui ne prend pas pour modele de sa conduite celle des Romains, la ruinent au lieu de la fortifier,117
- CHAP. XX. A quel péril s'exposent les princes & les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercénaires,126
- CHAP. XXI. Le premier préteur que les Romains envoyerent hors de chez eux fut envoyé à Capoue après quatre cents ans de guerre avec leurs voisins,130
- CHAP. XXII. Combien souvent les hommes se trompent dans les jugements qu'ils portent sur les grandes choses,134
- CHAP. XXIII. Combien les Romains évitoient les partis mitoyens lorsqu'ils jugeoient leurs sujets pour telle raison que ce pût être,139
- CH AP. XXIV. Que les places fortes sont en général beaucoup plus nuisibles qu'utiles,148
- CHAP. XXV. Que l'on prend un mauvais parti, lors qu'on veut profiter de la désunion d'une ville pour l'attaquer & s'en rendre maître,162
- CHAP. XXVI. Qu'on se fait haïr par les injures & le mépris, sans en retirer aucun avantage,165
- CHAP. XXVII. Les républiques & les princes sages doivent se contenter de vaincre. On perd quelquefois tout à vouloir trop gagner,168
- CHAP. XXVIII. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas punir les injures faites au public ou aux particuliers,174
- CHAP. XXIX. La fortune aveugle les hommes quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins,178
- CHAP. XXX. Que les républiques & les princes véritablement puissants n'achetent pas des alliés à prix d'argent, mais que leur courage & la réputation de leurs forces doivent leur en attirer,183
- CHAP. XXXI. Combien il est dangereux de se fier à des exilés,190
- CHAP. XXXII. Comment les Romains attaquoient les villes,193
- CHAP. XXXIII. Que les Romains laissoient leurs généraux parfaitement maîtres de leurs opérations,199
LIVRE TROISIEME.
- CHAP. I. Si l'on veut qu'une religion, une république, durent long-temps, il faut les ramener souvent à leur principe,203
- CHAP. II. Combien il est sage de jouer pour un temps le fou,212
- CHAP. III. Que, pour maintenir une liberté nouvellement acquise, il faut, comme Brutus, ne pas épargner ses propres enfants,215
- CHAP. IV. Un prince ne peut vivre avec sécurité tant qu'il laisse le jour à ceux qu'il a dépouillés218
- CHAP. V. Comment un roi que les loix de la succession ont mis sur le trône en est dépouillé,220
- CHAP. VI. Des conspirations,224
- CHAP. VII. Pourquoi le passage de la liberté à la servitude, & de la servitude à la liberté, coûte quelquefois beaucoup de sang, & quelquefois n'en coûte pas,265
- CHAP. VIII. Quiconque veut changer une république, doit examiner quelles en sont les moeurs,267
- CHAP. IX. Qu'il faut changer suivant les temps, si l'on veut toujours réussir,273
- CHAP. X. Qu'il est impossible à un général d'éviter une bataille, lorsque l'ennemi veut la donner à quelque prix que ce puisse être,277
- CHAP. XI. Que lorsqu'on a beaucoup d'adversaires, on est sûr de les vaincre malgré leur supériorité, dès qu'on peut soutenir leur premier effort,285
- CHAP. XII. Qu'un habile général doit mettre ses soldats dans la nécessité de se battre, & donner à l'ennemi tous les moyens de l'éviter,289
- CHAP. XIII. Qui peut inspirer plus de confiance, d'une mauvaise armée commandée par un bon général, ou d'une bonne armée commandée par un mauvais,296
- CHAP. XIV. Quel est l'effet des stratagèmes qu'on emploie dans une bataille, & des paroles inattendues qu'on y entend,300
- CHAP. XV. Qu'un chef vaut mieux que plusieurs, & que leur multitude nuit au bien,305
- CHAP. XVI. Que dans les temps difficiles, on va chercher les gens vertueux; mais qu'au contraire quand tout est tranquille, ce n'est pas la vertu mais les richesses & les liaisons particulieres qui prévalent,308
- CHAP. XVII. Qu'un Etat après avoir offensé un citoyen, ne doit pas lui confier une commission ni un poste d'importance,314
- CHAP. XVIII. La plus grande qualité d'un général est de prévoir les desseins de son ennemi,316
- CHAP. XIX. Si, pour gouverner la multitude, l'indulgence vaut mieux que la rigueur,321
- CHAP. XX. Un trait d'humanité servit plus à vaincre les Falisques que la puissance des Romains,324
- CHAP. XXI. D'où vient qu'Annibal, avec des moeurs & un caractere bien différents de ceux de Scipion, eut autant de succès en Italie, que ce Romain en eut en Espagne,326
- CHAP. XXII. Que Manlius Torquatus par sa dureté, Valerius Corvinus par son humanité, ont acquis la même gloire,332
- CHAP. XXIII. Pourquoi Camille fut chassé de Rome,342
- CHAP. XXIV. La continuation des commandements mit Rome aux fers,344
- CHAP. XXV. De la pauvreté de Cincinnatus & de plusieurs Romains,347
- CHAP. XXVI. Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un Etat,351
- CHAP. XXVII. Comment on rétablit la paix dans une ville divisée, & qu'il est faux que pour conserver son autorité il faille entretenir la désunion,354
- CHAP. XXVIII. Qu'on doit veiller attentivement sur les actions des citoyens, parce qu'une action bonne en apparence recele souvent un principe de tyrannie,359
- CHAP. XXIX. Que la corruption du peuple vient toujours de celle des princes,362
- CHAP. XXX. Un citoyen qui, de son autorité privée, veut faire une action utile à sa république doit songer d'abord à faire taire l'envie; & comment on doit préparer la défense d'une ville quand elle est sur le point d'être attaquée,365
- CHAP. XXXI. Qu'un grand homme, qu'une république bien constituée, conservent le même courage, la même grandeur, dans la bonne & dans la mauvaise fortune,371
- CHAP. XXXII. Comment on s'y est pris quelquefois pour rendre la paix impossible,379
- CHAP. XXXIII. Pour vaincre il faut inspirer de la confiance à une armée, soit en elle-même, soit en son général,381
- CHAP. XXXIV. Quelle réputation, quelles présomptions, quels préjugés commencent à concilier à un citoyen la faveur du peuple; & si un peuple distribue les emplois plus sagement qu'un prince,386
- CHAP. XXXV. Combien il est dangereux de se porter par ses conseils pour l'auteur d'une entreprise, & que le danger est d'autant plus grand que l'entreprise est plus extraordinaire,393
- CHAP. XXXVI. Pourquoi on dit que les Gaulois d'autrefois, & les François d'aujourd'hui, étoient plus que des hommes au commencement d'une action, & moins que des femmes à la fin,397
- CHAP. XXXVII. S'il est nécessaire de s'exercer par de légers combats avant d'engager une affaire décisive; & comment on doit s'y prendre pour connoître un ennemi nouveau, quand on ne veut pas risquer ces légers combats,402
- CHAP. XXXVIII. Des qualités qu'un général doit avoir pour inspirer de la confiance à son armée,408
- CHAP. XXXIX. Qu'un général doit connoître le pays où il fait la guerre,411
- CHAP. XL. Que la ruse est glorieuse à la guerre,415
- CHAP. XLI. Que, glorieusement ou non, il faut défendre son pays; & que tout est bien, pourvu qu'il soit défendu,417
- CHAP. XLII. Que les promesses arrachées par force ne doivent point être gardées,419
- CHAP. XLIII. Que les hommes d'un pays ont à-peu-près dans tous les temps le même caractere,421
- CHAP. XLIV. Qu'on emporte souvent par violence & par audace ce qu'on n'obtiendroit pas par les moyens ordinaires,424
- CHAP. XLV. Lequel vaut mieux dans une bataille de soutenir l'effort de l'ennemi & ensuite de le pousser, ou de l'attaquer d'abord avec furie,428
- CHAP. XLVI. D'où vient que le caractere se conserve assez long-temps dans une famille,429
- CHAP. XLVII. Qu'un bon citoyen doit oublier les injures particulieres en faveur du bien public,431
- CHAP. XLVIII. Lorsqu'on voit l'ennemi faire une faute considérable, on doit être convaincu que c'est un piege qu'il nous tend,432
- CHAP. XLIX. Une république jalouse de conserver sa liberté doit imaginer tous les jours de nouvelles précautions; & pour quel genre de mérite Fabius fut surnommé Maximus,435
- Fin de la Table.
Caractéristiques techniques
PAPIER | |
Éditeur(s) | Hachette |
Auteur(s) | Nicolas Machiavel |
Collection | Philosophie |
Parution | 31/07/2023 |
Nb. de pages | 484 |
Format | 15.6 x 23.4 |
Couverture | Broché |
Poids | 644g |
EAN13 | 9782329984919 |
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