Recueil de pensées diverses sur l'immatérialité de l'âme, son immortalité, sa liberté

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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Recueil de pensées diverses sur l'immatérialité de l'âme, son immortalité, sa liberté

Sa distinction d'avec le corps ou réfutation du matérialisme

Benoît Sinsart - Collection Philosophie

402 pages, parution le 01/03/2021

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Résumé

Recueil de pensées diverses sur l'immatérialité de l'âme, son immortalité, sa liberté, sa distinction d'avec le corps, ou Réfutation du matérialisme . Avec une réponse aux objections de Mr. Cuentz, et de Lucrèce le philosophe. Par D.-B. Sinsart.
Date de l'édition originale : 1756

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Sommaire

TABLE DES MATIERES.

AME. l'

Connoît son éxistence. p. 14.
Elle connoît sa liberté. p. 16. 43. et 44
Elle connoît sa dépendance. p. 17.
Elle est un être invariable et permanant. p. 19. 55.
Elle connaît un être tout puissant. p. 20.
Elle ne peut douter de son éxistence. p. 22.
Elle fait qu'elle est un être individuel. p. 24.
Son essence est invariable, et ses modalités contingentes. p. 25.
On la connoît mieux que les corps. p. 26.
On en connoît plus de propriétés que des corps. p. 28.
Elle n'est point solide. p. 31.
Elle n'a point de parties. p. 32. 53. 54.
D'où vient que quelqu'uns la croient matérielle. p. 35.
Elle a des idees qu'elle n'apperçoit pas toujours distinctement. p. 37.
Les propriétés du corps ne peuvent lui convenir. p. 39. 60.
Elle est indivisible. p. 61. 259.
Le mouvement ne peut lui convenir. p. 40.
Son immatérialité se prouve par l'art d'écrire. p. 138. 139.
Elle se prouve aussi par la mémoire. p. 140. suiv.
Preuve de son unité et de fa simplicité. p. 143. et suiv.
Elle agit sur le corps, quoiqu'on ignore comment. p. 145. 146. 215. 221. 224.
On a toujours cru qu'elle étoit distinguée de la matière.159.
Elle est simple. et indivisible. p. 60. 161.
Elle n'est plus immortelle si elle est matérielle.182. 183.
Son immatérialité mal-attaquée par Epicure.197.
Elle est libre de suivre ou de se refuser aux sensations du corps. p. 199.
Les martyrs prouvent cette liberté. p. 199. 200.

et son immatérialité. p. 263.

La torture la prouve aussi. p. 201.
Elle seule connoît et a du sentiment. p. 203. 204.
Son union avec le corps: en quoi elle consiste. p. 205.
Sa liberté prouvée par les causes morales. p. 216. 217.
Comment elle suit les affections du corps. p. 225.
Elle n'est point étenduë. p. 244. 245.
On ne doit pas abuser de quelques expressions des Péres contre sa spiritualité. p. 259. 260. 261.
On explique Tertullien sur cette matière.262. 263.
On ne voit aucun rapport entre l'âme et le corps.265.
L'autorité des anciens pspanlosophes ne fait rien contre son immatérialité. p. 265. 266.
Les blessures reçuës dans la chaleur d'un combat, prouvent sa distinction d'avec le corps.270.
Quand on la supposeroit matérielle, il ne seroit pas conséquent qu'elle dut être mortelle.271.
Son union avec le corps, n'empêche pas qu'elle ne lui survive.273.
La justice de Dieu l'éxige.274. 275. 290.
On ne la veut faire matérielle, que pour en conclure qu'elle prendra fin.276. 277. 293.
Son immatérialité a été connuë de Moïse, et des Patriarches.279. 280. 281. 283. 284.
Elle pense toujours.285. 286. 287. 288.
Elle durera toujours. p. 288. 289.
Sa liberté est le principe des bonnes etet mauvaises actions.291. 292.

ANGES.

L'opinion de quelques anciens qui les croyent corporels, ne prouve rien. p. 256.

BAILE.

Réfute le matérialisme. p. 148. 193. 194.

BERKELEY.

Nie l'éxistence des corps.

BESTES.

Quelque sentiment qu'on suive, il ne peut nuire à l'immortalité de l'âme.295. 299.
On n'a que des conjectures incertaines pour croire qu'elles ont une ame.296.
Si elles ont une ame, elle n'estest pas de la même nature que la nôtre.298. 300.
On ne connoît pas leur nature,301.
Elles peuvent être de pures macspannes.303. 304.
On choque le bon sens en leur donnant une ame pareille à la nôtre. p. 305.
On ne peut faire de comparaison entre leur ame et la nôtre. p. 306.
Elles ne communiquent point leurs pensées par la parole, p. 307. 308. 309. 310.
On ne peut faire de convention avec elles. p. 310.

CORPS.

Aucune de ses parties n'est mon ame. p. 48.
Tout corps est composé, l'ame est unique. p. 49.
Son union avec l'esprit dépend uniquement de la volonté de Dieu. p. 91.
Je connois un corps qui m'appartient particuliérement. p. 104.
Il se renouvelle et change. p. 106.

son intérieur nous est inconnu. p. 106.

Il ressent les impressions de l'ame p. 109.

c'est néanmoins avec des restrictions. p. 110.

Le corps n'a aucune activité. p. 3.

ni sentiment p. 117. 212. 213.

Aucune de ses parties ne peut être le siége de la pensée.154. 157. 231.
On peut douter de l'éxistence des corps, et non de celle de l'ame. p. 156.
On ne connoît pas tous ses changemens, ceux de l'âme sont apperçus. p. 157.
Sa distinction d'avec l'âme p. 157. 158. 164.
Il se renouvelle dans sa substance, ce qui n'arrive pas à l'âme. p. 167. 168. 169.
Ses parties intimes, sa nature réelle, inconnuës. p. 170.
Cette ignorance n'empêche pas, qu'on ne le distingue de pesprit.171. 172.
Comment on peut expliquer son union avec l'ame. p. 249. et seq.

CUENTZ.

L'idée de vuide renverse son systême. p. 176.
Sa Réfutation. p. 315.
Deffend la révélation. p. 183.

DIEU.

Il ne peut être corporel. sans admettre une infinité de Dieux. p. 67.
Tout l'univers seroit Dieu, s'il étoit matériel. p. 67.
Le mouvement prouve l'éxistence de Dieu. p. 71.
Il ne peut être unique s'il n'est esprit. p. 72.
L'ordre de l'univers prouve l'éxistence de Dieu. p. 73. 78.
Sa volonté est la cause du mouvement. p. 75.
Il ne peut faire ce qui est impossible. p. 83.
Tout est subordonné à la volonté de Dieu. p. 86.
Il ne peut être étendu, p. 88.
Son immensité ne nuit pas à sa simplicité. p. 94
Sa présence se fait sentir à l'homme. p. 99.
Sans Dieu rien n'est possible. p. 100.
Il est la cause du mouvement. p. 102.
Il seroit contre sa sagesse de faire de la matière un être pensant. p. 179. 180.
On ne p faire de convention qu'avec un esprit. p. 62. 63.
Il est seul capable d'être mû par une cause morale. p. 63.
Nier son immatérialité, c'est attaquer celle de Dieu. p. 95.
On ne peut dire, sans absurdité, qu'il est divisible. p. 121.
S'il étoit matériel il ne se connoîtroit pas. p. 123
Pourquoi quelqu'uns l'ont crû matériel. p. 125. 126. 127.
Le peuple pense mieux sur la nature que quelques prétendus savans. p. 128.
On n'en à pas une idée complette, quoi qu'on le connoisse assés. p. 133.
Son éxistence est mieux connuë que celle du corps. p. 136.
Ses propriétés sont incompatibles avec la matière. p. 150. 151. 152. 153. 191. 192. 193
On ne connoît pas assés son union avec le corps, quoique certaine.224.
On ne peut rien conclure des dénominations que les anciennes langues lui donnoient. p. 255.
Le sentiment de quelques pspanlosophes anciens, ne p préjudicier à notre croyance. p. 257.

GAMACHES, l'Abbé de

Prouve bien la distinction du corps et de l'âme. p,172. 173.

HOMME, l'

N?est point un automate. p. 137. 208. 210.

LEIBNITZ.

Son sistême sur punion de l'âme avec le corps. p. 247.

LETTRES PHILOSOPHIQUES.

Raisonnent peu juste sur notre ame. p. 129. et suivantes.

LOCKE.

Il erre en croyant la matière capable de penser. p. 113. p. 118.
On ne devoit pas relever ce sentiment. p. 115. 195.
Il confond mal-à-propos la sensation avec l'idée. p. 116.
Rèfutation de fin sentiment. p. 189. 190.

LUCRECE.

Sa Réfutation. p. 353.

MATIERE.

Elle a un fond d'inertie. et ne peut est donner le mouvement. p. 44.
Il n'y a plus de vertus ni de vices si tout est matière. p. 47.
Dieu ne peut la rendre capable de penser. p. 56. 81. 83. 206. 207.
Il n'y a rien de commun entre l'esprit et la matière, p. 57. 59.
On la connoît moins que l'esprit. p. 69.
Son mouvement montre une cause différente d'elle. p. 74.
Elle ne peut être éternelle. p. 80.
Elle n'est point le principe des esprits. p. 87.
Quelque subtile qu'elle soit, elle ne peut penser. p. 90. et seq.
Son organisation ne la rend pas capable de pensée. p. 148. 149. 227. 232.
Si elle pensoit elle seroit douée de liberté, ce qui est absurde, p. 174. 175.
Conséquences dangereuses de la matière capable de pensée. p. 181.
Aucune deses modifications ne peut la faire penser. p. 187. 188. 211. 212.
On la connoît assés pour savoir qu'elle ne peut penser. p. 163. 165. 166. 218. 220.
Son organization ne peut la rendre pensante. p. 214.
La pensée ne peut lui appartenir. p. 222.
Elle n'a pas en soi le principe de son mouvement. p. 223.
Elle ne peut penser, soit en repos soit en mouvement, p. 228.

PENSÉE.

Elle ne peut être l'attribut de la matière. p. 42. 46.
Le mouvement ne peut la produire.64.

S?GRAVESANDE.

Réfute le matérialisme p. 185.
On lui répond mal. p. 186.
Abfurdité de son sistême. p. 98.

ST. HYACINTHE, M. de

Ce pspanlosophe a crû qu'on pouvoit accorder une certaine extension propre aux esprits; on le réfute. p. 234. et seq.

et M. de la Chambre p. 258.

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Caractéristiques techniques

	PAPIER
Éditeur(s)	Hachette
Auteur(s)	Benoît Sinsart
Collection	Philosophie
Parution	01/03/2021
Nb. de pages	402
Format	15.6 x 23.4
Couverture	Broché
Poids	557g
EAN13	9782329589923