Projet rex-84

Programme de camps de concentration

Serge Monast

116 pages, parution le 01/11/2021

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Résumé

« Projet Rex-84 », « Opération Dragnet », « Fincen Mission & Fincen Network », « FEMA », « Executive Order #11490 », « L.E.F.A. », « Opération Cable Splicer », « Opération Garden Plot »... Des noms de code pour dissimuler des opérations « militaro-policières » visant l'établissement, entre autres, de « camps de concentration », à l'aube du renversement de la démocratie aux États-Unis, et de l'instauration d'un nouveau régime qui sera placé sous le contrôle des Nations-Unies, alors devenu l'Organe suprême pour la protection des intérêts d'un Nouvel Ordre Mondial. Combien de ces camps furent aménagés ? Et en prévision de quelles situations et de quels genres de détenus ? Selon les sources de l'auteur, quelques hauts gradés américains et canadiens se sont secrètement entretenus, lors de plusieurs réunions secrètes, afin d'analyser toutes les possibilités envisageables pour la mise en commun de leur force et la coordination de celles-ci, pour prévenir l'éclatement d'une « guerre civile » en Amérique. Cela laisse place à plusieurs interrogations sérieuses quant aux procédures mises en place ! La peur, la lâcheté, l'aveuglement ont des limites : celles de l'éclatement, tôt ou tard, de la vérité !

L'auteur - Serge Monast

Serge Monast (1945-1996) est un journaliste d'enquête et poète. Il est le disciple de René Bergeron (conférencier de l'École sociale populaire du Québec) et de William Guy Carr (commandant de la Marine royale canadienne). Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d'ouvrages sur les thèmes du Nouvel Ordre Mondial et des sociétés secrètes. Il fonde l'Agence internationale de la Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes. Durant cette période, il se fait remarquer au Québec lors d'une entrevue avec l'ufologue Richard Glenn dans le cadre de son émission Ésotérisme expérimental. En 1995, il fait paraître un document intitulé Les Protocoles de Toronto (un livre façonné selon le modèle des Protocoles des Sages de Sion) où il dévoile l'activité occulte d'un groupe maçonnique nommé les « 666 », réunissant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de la mise en place d'un « Nouvel Ordre Mondial » et du contrôle mental des individus. Monast trouvait ses sources grâce à des politiciens ou agents des services secrets, souvent repentis. Il recevait également des documents classifiés ultra-confidentiels (parfois anonymement) de la part de confrères acquis à sa cause, situés aux quatre coins du monde. Monast était membre de l'Association canadienne des journalistes et du Comité canadien pour la défense et les droits des journalistes, correspondant de presse pour les États-Unis au Canada pour le compte du Contact Newspaper (Las Vegas, Nevada), correspondant de presse pour le compte du Strategic Monthly Newspaper et directeur de l'AIPL. Il était également proche du Parti Crédit social du Canada. Affirmant formellement être traqué par les hautes instances policières pour avoir « trempé dans des réseaux d'informations interdits », Serge Monast trouvera la mort dans des conditions très troublantes, le 5 décembre 1996, officiellement victime d'un arrêt cardiaque.