Le discernement de la vraye et de la fausse morale, où l'on fait voir le faux des offices de cicéron

Et des livres de l'amitié, de la vieillesse et des paradoxes

Henri Lelevel - Collection Philosophie

304 pages, parution le 01/02/2020

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Résumé

Le discernement de la vraye et de la fausse morale , où l'on fait voir le faux des Offices de Cicéron et des livres de l'Amitié, de la Vieillesse et des Paradoxes
Date de l'édition originale : 1695

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Sommaire

TABLE DES CHAPITRES Contenus dans ce Livre.

Chap. I. Différence de l'Ame et du corps L'usage de la connoissance des biens de l'ame. Source des déréglemens de la vie. En quoy le pauvre le riche sont également à plaindre.	page 1
Chap. II. Erreur de ceux. qui veulent, établir deux lumiéres dans l'homme. Principe de cette erreur. Comment la Raison nous instruit. Excés de ceux qui ne l'ont point connuë. Avantage de ceux qui la connoissent, et qui rentrent en eux-mêmes,	9
Chap. III. Opinion touchant les Sages du Paganisme mal fondée. Contradictions, de ceux qui les préconisent le plus,	16
Chap. IV. Bassesse de ce qu'on appelle vertus humaines. Pourquoy on a fait des vertus de ce qui ne l'est point. En quoy l'amour propre est un mal, et en quoy il est un bien,	22
Chap. V. Maniére d'instruire les hommes sur ce que c'est que Vertu. L'éxercice de la Prudence, de la Justice, de la Force, de la Tempérance. L'objet de toutes ces vertus. Vain prétexte de ceux qui ne font point d'usage de leur Esprit,	29
Chap. VI. On n'accorde pas aisément Cicéron et ceux qui l'admirent. Tout ce qu'il dit ne méne à rien,	36
Chap. VII. Ciceron n'a pas sçû traiter de la Prudence. D'où dépend tout ce qu'on peut dire sur cette vertu,	38
Chap. VIII. Fausses maximes de Ciceron sur la Justice. Il a confondu le désir de dominer avec l'indépendance qui nous convient. Ce que la lumiére naturelle nous découvre touchant les richesses et la domination. Le sentiment de nôtre grandeur nous jette dans la bassesse,	43
Chap. IX. Ciceron flatte en toutes choses nôtre vanité naturelle. Le faux de ses maximes touchant les Charges. Erreur d'un Auteur moderne,	50
Chap. X. L'amour propre le plus aveugle est inséparable des plus belles maximes de Ciceron,	55
Chap. XI. Ciceron corrompt les vrayes idées de la Libéralité et de la reconnoissance. Pourquoy les hommes sont des ingrats,	58
Chap. XII. Différentes sortes d'unions entre les proches, les amis ordinaires, et les gens de bien. Les discours de Cicéron ne tirent point l'esprit de ses ténébres,	61
Chap. XIII. Ciceron propose des vertus faites a plaisir. Quelle ambition est compatible avec la grandeur d?ame. Opposition de ce que dit Ciceron aux principes du Christianisme,	66
Chap. XIV. Ciceron parle en homme qui ne se connoît pas. Vaine idée qu'il avoit du Magistrat. Inutilité de ses leçons. Cause générale du peu de cas qu'on fait de la vertu,	73
Chap. XV. Ciceron parloit d'Appetit et de Raison, sans sçavoir ce qu'il disoit. Il brouille l'idée que chacun de nous a de l'Ordre,	82
Chap. XVI. Inutilité des raisonnemens de Ciceron contre la volupté. Il se trouve qu'il l'antorise,	87
Chap. XVII. Fausses idées de Ciceron et de Caton. Il faut toujours rappeller l'esprit à sa lumiére,	91
Chap. XVIII. On ne peut apprendre de Ciceron la maniére de faire choix d'un genre de vie. Suites déplorables des éducations ordinaires,	95
Chap. XIX. Ciceron n'avoit que des sentimens populaires. Suivant l'objet qu'il donne a la sagesse, il n'étoit nullement sage,	103
Chap. XX. Ciceron est contraire a luy-même. Pourquoy on aime ses maniéres,	107
Chap. XXI. On ne peut apprendre de Cicéron la maniére de se faire aimer. Ses confusions sur cette matiére. Imposture des hommes. Vaye source de l'estime,	110
Chap. XXII. Vanité de la gloire que Cicéron propose. Elle est opposée a la justice. Illusion qu'on se fait a cet égard,	118
Chap. XXIII. Poison caché sous les belles expressions de Ciceron. La vraye gloire suppose le renoncement a soi-même,	123
Chap. XXIV. Tout ce que Ciceron dit de plus apparent, suppose en nous la connoissance de nous. mêmes. Tout suit de cette connoissance, et sans elle on n'a que des dehors trompeurs,	127
Chap. XXV. Ciceron rabaisse les Sages sans y penser. Erreur touchant la Vertu Chrétienne,	136
Chap. XXVI. Ciceron ne dit rien que d'inutile pour la societé: il confond mal-à-propos l'utile avec l'honnête. Eclaircissement de ces matiéres,	139
Chap. XXVII. Dans les vûës de Cicéron on doit plutôt rechercher l'utile que l'honnête. Inutilité des raisonnemens sans les principes de la Religion,	148
Chap. XXVIII. Les Sages de Ciceron sont convaincus de bassesse et d'ignorance,	163
Chap. XXIX. Le bonheur d'un Epicurien est plus réel que celuy que Ciceron propose,	170
Chap. XXX. Déréglement de l'Amitié que Ciceron fait valoir. Méprise de quelques Sçavans,	174
Chap. XXXI. Mauvais raisonnemens de L'lius sur l'Amitié,	179
Chap. XXXII. L'lins en parlant de l'Amitié, prenoit une disposition purement corporelle pour la lumiére de la Raison,	183
Chap. XXXIII. L'lins donne des régles sans fondement. Les raisons dont il appuye l'amitié, sont trop foibles. Il dément sa sagesse. Les Payens n'étoient pas capables de la parfaite amitié,	187
Chap. XXXIV. Contradiction de L'lius. Ses amitiez sont d'un esprit inquiet. Sans charité point d'amitié,	194
Chap. XXXV. Comment la Raison fait les amis. Malheur de ceux qui s'en tiennent au sentiment de L'lins,	200
Chap. XXXVI. L'lins est confondu par luy-même, et par ceux qui admirent ses discours,	208
Chap. XXXVII. Aveuglement du vieux Caton. Le faux de ses discours. Le malheur des vieillards qui luy ressemblent,	211
Chap. XXXVIII. Le premier avantage de la vieillesse de Caton, est directement opposé à l'esprit du Christianisme,	217
Chap. XXXIX. Caton dans sa vieillesse étoit plus foible par l'esprit, que par le corps,	221
Chap. XI. La vieillesse de Caton étoit toute sensuelle,	225
Chap. XLI. Le vieux Caton parloit de la mort comme un insensé,	230
Chap. XLII. On deshonore la Religion, en voulant que Ciceron parle pour elle	234
Chap. XLIII. Les excés des Stoïciens sur le mépris des richesses. Opposition de leurs sentimens à la Doctrine de Jesus-Christ. I. PARADOXE,	240
Chap. XLIV. Extravagance de la Perfection Stoïque. L'esclavage du Stoïcien. II. PARADOXE,	245
Chap. LXV. On fait voir contre les imaginations de Ciceron, que l'homme demeure nécessairement imparfait durant la vie. III. PARADOXE,	250
Chap. XLVI. La misére des plus sages Payens se manifestoit dans leur fierté. IV. PARADOXE,	254
Chap. XLVII. Le sage Chrétien ne ressemble en rien au Sage du Paganisme, V. PARADOXE,	256
Chap. XLVIII. Ciceron, suivant ses propres principes, étoit dans une honteuse pauvreté. VI. PARADOXE	260
Chap. XLIX. Source unique de docilité par rapport à la Morale. Quel genre d'étude s'y accommode,	262
Chap. L. Fruits et caractéres de la Pspanlosopspane Chrétienne,	266
Fin de la Table.

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Caractéristiques techniques

	PAPIER
Éditeur(s)	Hachette
Auteur(s)	Henri Lelevel
Collection	Philosophie
Parution	01/02/2020
Nb. de pages	304
Format	15.6 x 23.4
Couverture	Broché
Poids	433g
EAN13	9782329388793