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La première mère de la société des filles de st-françois de sales
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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La première mère de la société des filles de st-françois de sales

La première mère de la société des filles de st-françois de sales

Henri Chaumont - Collection Littératures

632 pages, parution le 01/04/2020

Résumé

La première Mère de la société des Filles de St-François de Sales / [par H. Chaumont]
Date de l'édition originale : 1894

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE DES MATIÈRES

DÉCLARATION DE L'AUTEURV
AVANT-PROPOSVII
CHAPITRE PREMIER CAROLINE COLCHEN; SON ENFANCE ET SA JEUNESSEElle naît à Metz en 1829. - Illustration de sa famille dès le XVIIe siècle. - François-Dominique Colchen, père de Caroline. - Elisabeth Simon, épouse de François Colchen. - Noble éducation qu'elle donne à ses enfants. - Les premières années de Caroline Colchen. - Sa précoce sagesse. - Ferveur de sa Première Communion et de sa Confirmation. - Ses excellents exemples au pensionnat de la Visitation1
CHAPITRE II MADAME CARRÉI. L'ÉPOUSE. - Mlle Colchen a quelques velléités passagères de se faire religieuse. - Ses adieux à la Visitation. - La vie en famille. - Un jeune officier demande la main de Mlle Colchen. - Sentiments très chrétiens de celle-ci dans sa préparation au mariage. - Elle épouse M. Carré le 2 mai 1849. - Soumission et dignité de la jeune épouse. - Elle veut faire de son époux un chrétien instruit et fervent. - A quel prix elle achète cette grande grâce. - Dieu triomphe pleinement. - Joies ineffables des deux époux. II. LA MÈRE. - Tendresse et puissance de l'amour maternel dans Mme Carré. - Dieu lui donne plusieurs enfants. - La première vient chercher le baptême et part bientôt vers Dieu. - Léon et Marie-Thérèse, véritables prédestinés, ne vivent que peu de temps. - Paul leur survit. - Il devient l'objet de nombreuses sollicitudes. - Sentiments élevés de sa pieuse mère au milieu des épreuves. - Paul Carré à l'École de guerre. - Un terrible accident brise sa carrière. - Touchant récit de sa dernière maladie et de sa sainte mort, publié par sa mère elle-même. III. LA FEMME DU MONDE. - Comment Mme Carré comprend ses devoirs d'état. - Elle excelle dans l'art de tenir un salon. - On vient chercher auprès d'elle des exemples et de sages conseils. - Elle est déjà l'objet d'une admiration générale13
CHAPITRE III DIEU PRÉPARE LA FUTURE FILLE DE SAINT-FRANÇOIS DE SALESDévotion de Mme Carré à saint François de Sales dès sa jeunesse. - Elle connut dès lors le prix de la direction spirituelle. - Comment elle trouve un directeur. - Dieu avait préparé de loin le père spirituel et la dirigée. - Les débuts de la direction de Mme Carré. - Les événements publics menacent de la rendre impossible: la guerre de 1871, la Commune. - Les plans de Dieu se déroulent d'une manière surprenante pendant ces graves événements. - Le retour à Paris. - Le salon de Mme Carré devient, à certaines heures, comme un modeste cénacle où quelques âmes pieuses se réunissent autour d'elle. - Son directeur va prier à Annecy. - Elle y vient à son tour contre toute attente. - Messe et communion au tombeau de saint François de Sales. - Visite à la "maison de la Galerie". - Projet d'un règlement d'association. - En principe, l'oeuvre est fondée70
CHAPITRE IVLA S?UR JEANNE DE CHANTAL Les premières réunions dans la maison de la Petite oeuvre. - Le recrutement se fait avec une grande prudence. - Mais le nombre des membres devenant plus considérable, on doit chercher un local plus vaste. - On en vient à louer un modeste appartement. - La confiance de tous les membres de l'Association va comme d'instinct vers la Soeur Jeanne de Chantal. - En même temps Dieu la fait passer par le creuset de grandes peines intérieures. - Sollicitude paternelle et très ferme du directeur de l'oeuvre pour préparer en elle les desseins ultérieurs de Dieu. - Admirable fidélité de Soeur Jeanne de Chantal à la grâce divine154
CHAPITRE V LA MÈRE JEANNE DE CHANTAL, SUPÉRIEURE GÉNÉRALELa Mère Jeanne de Chantal est élue, à vie, comme Supérieure générale de l'Association. - Importance providentielle de cet acte pour le bien de l'oeuvre. - Physionomie générale de cette grande chrétienne, au point de vue de ses importantes fonctions. - La vérité sincère sur ses notables imperfections. - Par quelles grandes qualités elles sont abondamment compensées. - Comment les unes et les autres concouraient à faciliter son rôle dans l'oeuvre232
CHAPITRE VI LA MAISON DU BON-DIEULa Société fixe son siège dans un petit hôtel de l'avenue de Breteuil. - La Maison-Mère de la Société est appelée désormais la Maison du Bon-Dieu. - Dieu y suscite successivement la Société des Dames chrétiennes et la Société des Institutrices chrétiennes. - Touchant épisode préparatoire à la fondation de cette Société. - C'est là aussi que Dieu fait prendre au père spirituel de l'oeuvre la résolution de fonder la Société des Prêtres de Saint-François de Sales. - Dans quelle étonnante mesure la Mère Jeanne de Chantal a prié et souffert pour obtenir de Dieu cette oeuvre sacerdotale. - Au cours de ces événements le salon de l'hôtel se transforme en oratoire, plus tard l'oratoire devient une chapelle. - Quelles bénédictions suivent cette grande grâce. - L'hôtel de l'avenue de Breteuil ne peut plus répondre au développement de la Société. - Après bien des péripéties, on vise une grande propriété de la rue de Bourgogne. - Ce projet est traversé par de nombreuses et extrêmes difficultés. - Cette propriété devient pourtant à son tour la Maison du Bon-Dieu259
CHAPITRE VII L'EXILUne grande épreuve survient dans la Société. - La Mère Jeanne de Chantal quitte Paris pour se fixer à Rouen. - Conséquences graves et probables de ce long éloignement. - Sentiments admirables de la Mère Jeanne de Chantal dans cette occurrence. - Sa vertu s'y mûrit et sa sollicitude maternelle pourvoit à tout321
CHAPITRE VIII LE RETOUR DE L'EXILAprès cinq années d'absence, la Mère Jeanne de Chantal rentre au milieu de ses chères Filles. - Une épreuve inattendue survient aussitôt: elle tombe malade, on craint une fin plus ou moins prochaine. - D'ardentes prières détournent pour le présent ce coup terrible. - Le retour définitif pourra bientôt s'effectuer353
CHAPITRE IX DE LA MÉTHODE DE FORMATION USITÉE DANS LA SOCIÉTÉ DES FILLES DE SAINT-FRANÇOIS DE SALESLa pensée de Dieu sur la Société se dégage maintenant d'une manière toute nette. - Les Filles de Saint-François de Sales doivent reproduire le type des saintes femmes de l'Évangile. - Précieux secours qu'elles retirent, dans ce but, de la méthode dite des Probations. - Elles doivent réchauffer au milieu du monde la sainte charité, âme de la vraie piété. - Surabondance des moyens qui leur sont fournis pour atteindre ce résultat. - Elles doivent enfin devenir comme la démonstration vivante des enseignements de saint François de Sales sur la perfection chrétienne. - Rien n'est épargné pour les aider à réaliser ce grand dessein392
CHAPITRE X DE L'ACCROISSEMENT DE LA SOCIÉTÉLa Société va prendre son plein essor. - C'est l'heure d'un redoublement de souffrances pour la Mère Jeanne de Chantal. - Les lenteurs providentielles de l'approbation ecclésiastique de la Société. - Les douleurs mystérieuses d'une sainte amitié. - Ce fut l'heure d'abondantes bénédictions divines. - Rapide coup d'?il sur les développements de l'oeuvre. - Le groupe de Bréménil. - Le groupe d'Aurillac. - Le groupe de Toulouse. - Le groupe de Dijon. - Le groupe d'Orléans. - Le groupe d'Angleterre. - Le groupe de Nevers. - Le groupe de Lyon. - L'oeuvre de Marie-Immaculée. - L'oeuvre des Catécspanstes-Missionnaires411
CHAPITRE XI "HOSTIAM VIVENTEM"Jésus couronna son oeuvre sur le Calvaire. - C'est de la même manière que la Mère Jeanne de Chantal va couronner son oeuvre apostolique. - Elle tombe gravement malade. - De grandes épreuves intérieures s'ajoutent à ses autres souffrances. - Sa vie n'est plus qu'une longue agonie. - Elle la supporte avec un courage héroïque. - Elle épuise la coupe jusqu'à la dernière goutte de lie. - Le sacrifice se consomme! - La Mère Jeanne de Chantal laisse en mourant un parfum de sainteté qui embaume les âmes qui l'ont connue. - Et elle lègue à ses filles l'exemple de ce que peut une grande chrétienne pour le service de la sainte Eglise et l'avancecement d'un grand nombre d'âmes dans la piété525
CONCLUSION582
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Henri Chaumont
Collection Littératures
Parution 01/04/2020
Nb. de pages 632
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 850g
EAN13 9782329411019

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