Démonstration de l'existence de dieu, tirée de la connoissance de la nature

Et proportionnée à la foible intelligence des plus simples

Fénelon - Collection Religion

372 pages, parution le 01/03/2021

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Résumé

Démonstration de l'existence de Dieu, tirée de la connoissance de la nature, & proportionnée à la foible intelligence des plus simples
Date de l'édition originale : 1713

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Sommaire

TABLE DES SECTIONS contenuës en ce Volume.

I. LEs preuves métaphysiques de l'existence de Dieu ne sont pas a la portée de tout le monde.	Page 1
II. Les preuves morales de l'exis de Dieu sont à la portée de tout le monde.	3
III. Pourquoi si peu de personnes sont attention aux preuves que la Nature fournit de l'éxistence de son auteur.	4
IV. Toute la Nature montre l'éxistence de Dieu.	7
V. Belles comparisons qui prou vent que la Nature montre l'éxistence de son auteur. Premiere comparaison, tirée de l'Irliade d'Homere.	9
VI. Seconde comparaison, tirée du son des instrumens.	11
VII. Troisieme comparaison, tirée d'une statue	12
VIII. Quatrième comparaison, tirée d'un tableau.	14
IX. Examen particulier de la Nature.	19
X. De la structure générale de l'Univers.	20
XI. De la Terre.	21
XII. Des Plantes.	28
XIII. De l'Eau.	32
XIV. De l'Air.	39
XV. DU Feu.	42
XVI. Du Ciel.	44
XVII. Du Soleil	47
XVIII. Astres	52
XIX. Des Animaux.	58
XX. Arrangement admirable de tous les corps qui composent l'Univers.	69
XXI. Merveilles des infiniment petits.	71
XXII. De la structure de l'Animal.	74
XXIII. De l'instinct l'Animal.	74.
XXIV. De la nourriture.	80
XXV. Du sommeil.	82
XXVI. De la génération.	85
XXVII. Quelques fautes que sont les bêtes, n'empêchent pas que leur instinct ne soit infaillible en bien des choses.	97
XXVIII. Impossibilité de l'ame des bêtes.	99
XXIX. Sentimens de quelques anciens sur l'ame et la connois sance des bêtes.	103
XXX. De l'Homme.	107
XXXI. De la structure du corps de l'Homme.	109
XXXII. De la Peau.	111
XXXIII. Des Veines et des Arteres.	113
XXXIV. Des Os, et de leur assemblage.	114
XXXV. Des Organes.	119
XXXVI. Des parties intérieures.	123
XXXVII Des bras, et de leur usage.	124
XXXVIII. Du coû, et de la tête.	126
XXXIX. Du front, et des autres parties du visage.	132
XL. De la Langue. et des Dents.	134
XLI. De l'odorat, du goût, et de l'Ouie.	136
XLII. De la proportion du corps humain.	140
XLIII. De l'Ame. Elle seule entre les créatures pense et connoît.	143
XLIV. Ce qui est matiere, ne peut penser.	145
XLV. De l'union de l'ame et du corps, dont Dieu seul peut être l'auteur.	148
XLVI. L'empire de l'ame sur le corps est souverain.	154
XLVII. La puissance de l'ame sur le corps est non seulement souveraine, mais encore aveu .	156
XLVIII. L'empire de l'ame sur le corps paroit sur tout dans les Images tracées dans le cerveau.	161
XLIX. Deux merveilles de la mémoire, et du cerveau.	168
L. L'esprit de l'homme est mêlé de grandeur et de foiblesse. Sa grandeur consiste en deux points. Premierement, l'est a l'idée de l'infini	171
LI. L'esprit ne connoît le fini, que par l'idée de l'infini.	173
LII. Secondement, les idées de l'esprit sont universelles, éternelles, et immuables.	174
LIII. Foiblesse de l'esprit de l'homme.	179
LIV. Les idées de l'homme sont les regles immuables de son jugement.	183
LV. Ce que c'est que la raison de l'homme.	186
LVI. La raison est la même dans tous les hommes de tous les siecles, et de tous les païs.	188
LVII. La raison est en l'homme indépendante de l'homme, et au dessus de lui.	194
LVIII. C'est la vérité primitive elle-même qui éclaire tous les esprits, en se communiquant a eux.	196
LIX. C'est par les lumieres de la vérité primitive, que l'homme juge si ce qu'on lui dit est vrai ou faux.	200
LX. La Raison supérieure qui réside dans l'homme, est Dieu même; et tout ce qu'on a découvert ci-dessus dans l'homme, sont des traces évidentes de la Divinité.	203
LXI. Nouvelles traces sensibles de la Divinité en l'homme, tirées de la connoissance qu'il a de l'unité.	205
LXII. Lidée de l'unité prouve qu'il y a des substances qui ne sont point matérielles; et qu'il y a un Etre parfaitement un, qui est Dieu.	212
LXIII. Dépendance et indépendance de l'homme. Sa dépendance prouve l'éxistence de son auteur.	216
LXIV. La bonne volonté ne peut venir que d'un Etre supérieur.	219
LXV. Un Etre supérieur étant la cause de toutes les modifications des créatures, il est impossible que la volonté puisse vouloir le bien par elle-même.	222
LXVI. De la liberté de l'homme.	225
LXVII. La liberté de l'homme consiste en ce que sa volonté, en se déterminant, Je modifie elle-même.	227
LXVIII. La volonté peut résister à la grace; et sa liberté est le fondement du mérite et du démérite.	232
LXIX. Caractere de la Divinité dans la dépendance et l'indépendance de l'homme.	236
LXX. Sceau de la Divinité dans ses ouvrages.	238
LXXI. Objection des Epicuriens qui attribuënt tout au hasard.	240
LXXII. Réponse a l'Objection des Epicuriens qui attribuënt tout au hazard.	242
LXXIII. Comparaison du mon , avec une maison réguliere. Suite de la réponse à l'objection des Epicuriens.	249
LXXIV. Autre objection des Epicuriens, tirée du mouvement éternel des atômes.	252
LXXV. Réponses l'objection des Epicuriens, tirée du mouvement éternel des atômes.	257
LXXVI. Les Epicuriens confondent les ouvrages de l'art avec ceux de la Nature.	262
LXXVII. Les Epicuriens supposent tout ce qu'il leur plaît, sans preuves.	264
LXXVIII. Les suppositions des Epicuriens sont fausses cspanmériques.	266
LXXIX. Il est faux que le mouvement soit essentiel aux corps.	268
LXXX. Les regles que les Epicuriens supposent du mouvement, ne le rendent pas pour cela essentiel au corps.	271
LXXXI. Pour donner une raison précise du mouvementil faut nécessairement remonter à un premier moteur.	274
LXXXII. Aucune loi du mouvement n'a son fondement dans l'essence du corps; et la plûpart de ces loix ne sont qu'arbitraires.	275
LXXXIII. Les Epicuriens ne sçauraient rien conclure de tout ce qu'ils supposent, quand on le leur accorderoit.	278
LXXXIV. Les atômes ne sçauroient faire aucune composition avec le mouvement que leur donnent les Epicuriens.	280
LXXXV. Le clinamen, ou inflexion des atômes, est une cspanmère qui jette les Epicuriens dans une grossiere contradiction.	282
LXXXVI. Etrange absurdité des Epicuriens, qui veulent expliquer l'ame par la déclinaison des atômes.	284
LXX XVII. Les Epicuriens s'aveuglent eux-mêmes, en voulant expliquer la liberté de l'homme par la déclinaison des atômes.	286
LXXXVIII. Il faut nécessairement reconnoître la main d'une premiere cause dans l'Univers, sans s'arrêter à rechercher pourquoi cette premiere cause y a laissé des défauts.	294
LXXXIX. Comparaison des défauts d'un tableau, avec les défauts de l'Univers.	300
XC. Il faut nécessairement conclure qu'il y a un premier Etre qui a formé l'Univers.	304
XCI. Raisons pour lesquelles les hommes ne reconnoissent pas Dieu dans l'Univers, où il se présente à eux comme dans un miroir fidele.	305
XCII. Priere à Dieu.	308
Fin de la Table.

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Caractéristiques techniques

	PAPIER
Éditeur(s)	Hachette
Auteur(s)	Fénelon
Collection	Religion
Parution	01/03/2021
Nb. de pages	372
Format	15.6 x 23.4
Couverture	Broché
Poids	500g
EAN13	9782329598314