De l'esprit des lois. nouvelle édition, suivie de la défense de l'esprit des lois
Charles-Louis de Secondat Montesquieu, François Voltaire, Jean-Baptiste-Louis Crevier - Collection Sciences sociales
Résumé
Date de l'édition originale : 1871
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L'auteur - Charles-Louis de Secondat Montesquieu
1689 - 1755. Grand libéral, esprit rigoureux, Montesquieu - né Charles de Segondat, baron de la Brède et de Montesquieu -, est l'auteur des Lettres Persanes, , des Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et de De l'esprit des lois. (Académie française.)
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L'auteur - François Voltaire
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L'auteur - Jean-Baptiste-Louis Crevier
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Sommaire
TABLE DES MATIÈRES
PRÉFACE. | Page 1 |
AVERTISSEMENT. | Page 3 |
LIVRE I. - Des lois en général.
I. Des lois, dans le rapport qu'elles ont avec les divers êtres. - II. Des lois de la nature. - III. Des lois positives. | Page 3 à 9 |
LIVRE II. - Des lois qui dérivent directement de la nature du gouvernement.
I. De la nature des trois divers gouvernements. - II. Du gouvernement républicain, et des lois relatives à la démocratie. - III. Des lois relatives a la nature de l'aristocratie. - IV. - Des lois dans leur rapport avec la nature du gouvernement monarcspanque. - V. Des lois relatives à la nature de l'Etat despotique. | Page 9 à 19 |
LIVRE III. - Des principes des trois gouvernements.
I. Différence de la nature du gouvernement et de son principe. - II. Du principe des divers gouvernements. - III. Du principe de la démocratie. - IV. Du principe de l'aristocratie. - V. Que la vertu n'est point le principe du gouvernement monarcspanque. - VI. Comment on supplée à la vertu dans le gouvernement monarcspanque. - VII. Du principe de la monarcspane. VIII. Que I'honneur n'est point le principe des Etats despotiques. - IX. Du principe du gouvernement despotique. - X. Différence de l'obéissance dans les gouvernements modérés et dans les gouvernements despotiques. - XI. Reflexion sur tout ceci. | Page 19 à 28. |
LIVRE IV. - Les lois de I'éducation doivent être relatives aux principes du gouvernement.
I. Des lois de l'éducation. - II. De l'éducation dans les monarcspanes. - III. De l'éducation dans le gouvernement despotique. - IV. Difference des effets de l'éducation chez les anciens et parmi nous. - V. De l'éducation dans le gouvernement républicain. - VI. De quelques institutions des Grecs. - VII. En quel cas ces institutions singulières peuvent être bonnes. - VIII. Explication d'un paradoxe des anciens, par rapport aux moeurs. | Page 29 à 40 |
LIVRE V. - Les lois que le législateur donne doivent être relatives au principe du gouvernement.
I. Idée de ce livre. - II. Ce que c'est que la vertu dans l'État politique. - III. Ce que c'est que I'amour de la république dans la démocratie. - IV. Comment on inspire I'amour de l'égalité et de la frugalité. - V. Comment les lois établissent l'égalité dans la démocratie. - VI. Comment les lois doivent entretenir la trugalite dans la démocratie. - VII. Autres moyens de favoriser le principe de la démocratie. - VIII. Comment les lois doivent se rapporter au principe du gouvernement dans l'aristocratie. - IX. Comment les lois sont relatives à leur principe. - X. De la promptitude de l'exécution dans la monarcspane. - XI. De l'excellence du gouvernement monarcspanque. - XII. Continuation du même sujet. - XIII. Idée du despotisme. - XIV. Comment les lois sont relatives au principe du gouvernement despotique. - XV. Continuation du même sujet. - XVI. De la communion du pouvoir. - XVII. Des présents. - XVIII. Des récompenses que le souverain donne. - XIX. Nouvelles conséquences des principes des trois gouvernements. | Page 40 à 69 |
LIVRE VI. - Conséquences des principes des gouvernements, par rapport à la simplicité des lois civiles et criminelles, la forme des jugements et l'établissement des peines.
I. De la simplicité des lois civiles dans les divers gouvernements. - II. De la simplicité des lois criminelles dans les divers gouvernements. - III Dans quels gouvernements et dans quels cas on doit juger selon un texte précis de la loi. - IV. De la manière de former les jugements. - V. Dans quels gouvernements le souverain peut être juge. - VI. Que, dans la monarcspane, les ministres ne doivent pas juger. - VII. Du magistrat unique. - VIII. Des accusations dans les divers gouvernements. - IX. De la sévérité des peines dans les divers gouvernements. - X. Des anciennes lois françaises. - XI. Que lorsqu'un peuple est vertueux, il faut peu de peines. - XII. De la puissance des peines. - XIII. Impuissance des lois japonaises. - XIV. De l'esprit du sénat de Rome. - XV. Des lois des Romains a l'egard des peines. - XVI. De la proportion des peines avec le crime. - XVII. De la torture ou question contre les criminels. - XVIII Des peines pécuniaires et des peines corporelles. - XIX. De la loi du talion. - XX. De la punition des pères pour leurs enfants. - XXI. De la clémence du prince. | Page 69 à 91 |
LIVRE VII. - Conséquences des différents principes des trois gouvernements, par rapport aux lois somptuaires, au luxe et à la condition des femmes.
I. Du luxe. - II. Des lois somptuaires dans la démocratie. - III. Des lois somptuaires dans l'aristocratie. - IV. Des lois somptuaires dans les monarcspanes. - V. Dans quels cas les lois somptuaires sont utiles dans une monarcspane. - VI. Du luxe à la Cspanne. - VII. Fatale conséquence du luxe à la Cspanne. - VIII. De la continence publique. - IX. De la condition des femmes dans les divers gouvernements. - X. Du tribunal domestique chez les Romains. - XI. Comment les institutions changèrent à Rome avec le gouvernement. - XII. De la tutelle des femmes chez les Romains. - XIII. Des peines établies par les empereurs contre les débauches des femmes. - XIV. Lois somptuaires chez les Romains. - XV. Des dots et des avantages nuptiaux dans les diverses constitutions. - XVI. Belle coutume des Sunnites.- XVII. De l'administration des femmes. | Page 91 à 104 |
LIVRE VIII. - De la corruption des principes des trois gouvernements.
Idée générale de ce livre. - II. De la corruption du principe de la démocratie. - III. De l'esprit d'égalité extrême. - IV. Cause particulière de la corruption du peuple. - V. De la corruption du principe de l'aristocratie. - VI. De la corruption du principe de la monarcspane. - VII. Continuation du même sujet. - VIII. Danger de la corruption du principe du gouvernement monarcspanque. - IX. Combien la noblesse est portée à défendre le trône. - X. De la corruption du principe du gouvernement despotique. - XI. Effets naturels de la honté et de la corruption des principes. - XII. Continuation sur le même sujet. - XIII. Effet du serment chez un peuple vertueux. - XIV. Comment le plus petit changement dans la constitution entraîne la ruine des principes. - XV. Moyens très-efficaces pour la conservation des trois principes. - XVI. Propriétés distinctives de la république. - XVII. Propriétés distinctives de la monarcspane. - XVIII. Que la monarcspane d'Espagne etoit dans un cas particulier. - XIX Propriétes distinctives du gouvernement despotique. - XX. Conséquence des chapitres précedents. - XXI. De l'empire de la Cspanne. | Page 105 à 120 |
LIVRE IX. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la force défensive.
Comment les républiques pourvoient à leur sûreté. - II. Que la constitution fédérative doit être composée d'Etats des même nature, surtout d'Etats républicains. - III. Autres Choses requises dans la république fédérative. - IV. Comment les Etats despotiques pourvoient à leur sûreté. - V. Comment la monarcspane pourvoit à sa sûreté. - VI. De la force défensive des Etats en général. - VII. Reflexions. - VIII. Cas où la force défensive d'un Etat est inférieure la force offensive. - IX. De la force relative des Etats. - X. De la faiblesse des Etats voisins. | Page 120 à 126 |
LIVRE X. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la force offensive.
I. De la force offensive. - II. De la guerre. - III. Du droit de conquête. - IV. Quelques avantages du peuple conquis. - V. Gelon, roi de Syracuse. - VI. D'une république qui conquiert. - Vil. Continuation du même sujet. - VIII. Continuation du même. - IX. D'une monarcspane qui conquiert autour d'elle. - X. D'une monarcspane qui conquiert une autre monarcspane. - XI. Des moeurs du peuple vaincu. - XII. D'une loi de Cyrus. - XIII. Charles XII. - XIV. Alexandre. - XV. Nouveaux moyens de conserver la conquête. - XVI. D'un État despotique qui conquiert. - XVII. Continuation du même sujet. | Page 126 à 140 |
LIVRE XI. - Des lois qui forment la liberté politique dans son rapport avec la constitution.
I. Idée générale. - II. Diverses significations données au mot de liberté. - III. Ce que c'est que la liberté. - IV. Continuation du même sujet. - V. De l'objet des Etats divers. - VI. De la constitution d'Angleterre. - VII Des monarcspanes que nous connaissons. - VIII. Pourquoi les anciens n'avaient pas une idée bien claire de la monarcspane. - IX. Manière de penser d'Aristote. - X. Manière de penser des auteurs politiques. - XI. Des rois des temps héroïques chez les Grecs. - XII. Du gouvernement des rois de Rome, et comment les pouvoirs y furent distribués. - XIII. Réflexions générales sur l'état de Rome après l'expulsion des rois. - XIV. Comment la distribution des trois pouvoirs commença à changer après l'expulsion des rois. - XV. Comment, dans l'état florissant de la république, Rome perdit tout à coup sa liberté. - XVI. De la puissance législative dans la republique romaine. - XVII. De la puissance exécutrice dans la même république. - XVIII. De la puissance de juger dans le gouvernement de Rome. - XIX. Du gouvernement des provinces romaines. - XX. Fin de ce livre. | Page 140 à 170 |
LIVRE XII. - Des lois qui forment la liberté politique dans son rapport avec le citoyen.
I. Idée de ce livre. - II. De la liberté du citoyen. - III. Continuation du même sujet. - IV. Que la liberté est favorisée par la nature des peines et leur proportion. - V. De certaines accusations qui ont particulièrement besoin de modération et. de prudence. - VI. Du crime contre nature. - VII. Du crime de lèse-majeste. - VIII. De la mauvaise application du nom de crime, de sacrilège et de lèse-majesté. - IX. Continuation du même sujet. - X. Continuation du même sujet. - XI. Des pensées. - XII. Des paroles indiscretes. - XIII. Des écrits. - XIV. Violation de la pudeur dans la punition des crimes. - XV. De l'affrancspanssement de l'esclave pour accuser le maître. - XVI. Calomnie dans le crime de lèse-majesté. - XVII. De la révélation des conspirations. - XVIII. Combien il est dangereux dans les républiques, de trop punir le crime de lèse-majesté. - XIX. Comment on suspend l'usage de la liberté dans la république. - XX. Des lois favorables à la liberté du citoyen dans la république. - XXI. De la cruauté des lois envers les debiteurs dans la république - XXII. Des choses qui attaquent la liberté dans la monarcspane. - XXIII. Des espions dans la monarcspane. - XXIV. Des lettres anonymes. - XXV. De la manière de gouverner, dans la monarcspane. - XXVI. Que, dans la monarcspane, le prince doit être - XXVII. Des moeurs du monarque. - XXVIII. Des égards que les monarques doivent à leurs sujets. XXIX. Des lois civiles propres mettre un peu de liberté dans le gouvernement despotique - XXX. Continuation du même sujet. | Page 171 à 194 |
LIVRE XIII. - Des rapports que la levée des tributs et la grandeur des revenus publics ont avec la liberté.
I. Des revenus de l'Etat. - II. Que c'est mal raisonner de dire que la grandeur des tributs soit bonne pour elle-même. - III. Des tributs, dans les pays où une partie du peuple est esclave de la glèbe. - IV. D'une république, en cas pareil. - V. D'une monarcspane, en cas pareil. - VI. D'un Etat despotique, en cas pareil. - VII. Des tributs, dans les pays où l'esclavage de la glèbe n'est point établi. - VIII. Comment on conserve l'illusion. - IX. D'une mauvaise sorte d'impôt. - X. Que la grandeur des tributs dépend de la nature du gouvernement.- XI. Des peines fiscales. - XII. Rapport de la grandeur des tributs avec la liberté. - XIII. Dans quels gouvernements les tributs sont susceptibles d'augmentation. - XIV. Que la nature des tributs est relative au gouvernement. - XV. Abus de la liberté. - XVI. Des conquêtes des mahometans. - XVII. De l'augmentation des troupes. - XVIII. De la remise des tributs. - XIX. Qu'est-ce qui est plus convenable au prince et au peuple, de la ferme ou de la regie des tributs? - XX. Des traitants. | Page 194 à 206 |
LIVRE XIV. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la nature du climat.
I. Idée générale. - II. Combien les hommes sont différents dans les divers climats. - III. Contradiction dans les caractères de certains peuples du Midi. - IV. Cause de l'immutabilité de la religion, des moeurs, des manières, des lois, dans les pays d'Orient. - V. Que les mauvais législateurs sont ceux qui ont favorise les vices du climat; et les bons sont ceux qui s'y sont opposes. - VI. De la culture des terres dans les climats chauds. - VII. Du monacspansme. - VIII. Bonne coutume de la Cspanne. - IX. Moyens d'encourager l'industrie. - X. Des lois qui ont rapport à la sobriété des peuples. - XI. Des lois qui ont rapport aux maladies du climat. - XII. Des lois contre ceux qui se tuent eux-mêmes. - XIII. effets qui résultent du climat d'Angleterre. - XIV. Autres effets du climat. - XV. De la differente confiance que les lois ont dans le peuple, selon les climats. | Page 206 à 219 |
LIVRE XV. - Comment les lois de l'esclavage civil ont du rapport avec la nature du climat.
I. De l'esclavage civil. - II. Origine du droit d'esclavage, chez les jurisconsultes romains. - III. Autre origine du droit de l'esclavage. - IV. Autre origine du droit de l'esclavage. - V. De l'esclavage des Nègres. - VI. Véritable origine du droit de l'esclavage. - VII. Autre origine du droit de l'esclavage. - VIII. Inutilité de l'esclavage parmi nous. - IX. Des nations chez lesquelles la liberté civile est généralement établie. X. Diverses espèces d'esclavage. - XI. Ce que les lois doivent faire par rapport à l'esclavage. - XII. Abus de l'esclavage. - XIII. Danger du grand nombre d'enclaves. - XIV. les enclaves armés. - XV. Continuation du même sujet. - XVI. Précautions à prendre dans le gouvernement modere. - XVII. Règlements à taire entre le maître et les esclaves. - XVIII. Des affrancspanssements. - XIX. Des affrancspans et des eunuques. | Page 219 à 235 |
LIVRE XVI. - Comment les lois de l'esclavage domestique ont du rapport avec la nature du climat.
I. De la servitude domestique. - II. Que, dans les pays du Midi, il y a dans les deux sexes une inégalité naturelle. - III. Que la pluralité des femmes dépend beaucoup de leur entretien. - IV. De la polygamie; ses diverses circonstances. - V. Raison d'une loi de Malabar. VI. De la polygamie en elle-même. - VII. De l'égalité du traitement dans le cas de la pluralité des femmes. - VIII. De la séparation des femmes d'avec les hommes. - IX. Liaison du gouvernement domestique avec la politique. - X. Principe de la morale de l'Orient. - XI. Le la servitude domestique indépendante de la polygamie. - XII. De la pudeur naturelle. - XIII. De la jalousie. - XIV. Du gouvernement de la maison en Orient. - XV. Du divorce et de la répudiation. - XVI. De la répudiation et du divorce chez les Romains. | Page 235 à 247 |
LIVRE XVII. - Comment les lois de la servitude politique ont du rapport avec la nature du climat.
I. De la servitude politique. - II. Différence des peuples par rapport au courage. - III. Du climat de l'Asie. - IV. Conséquence de ceci. - V. Que quand les peuples du nord de l'Asie et ceux de l'Europe ont conquis, les effets de la conquête n'etoient pas les mêmes. - VI. Nouvelle cause physique de la servitude de l'Asie et de la liberté de l'Europe. - VII. De l'Afrique et de l'Amerique.- VIII. De la capitale de l'empire. | Page 247 à 253 |
LIVRE XVIII. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la nature du terrain.
I. Comment la nature du terrain influe sur les lois. - II. Continuation du même sujet. - III. Quels sont les pays les plus cultivés. - IV. Nouveaux effets de la fertilité et de la sterilite du pays. - V. Des peuples des îles. - VI. Des pays formes par l'industrie des hommes. - VII. Des ouvrages des hommes. - VIII Rapport général des lois. - IX. Du terrain de l'Amérique. - X. Du nombre des hommes, dans le rapport avec la manière dont ils se procurent la subsistance. - XI. Des peuples sauvages et des peuples barbares. - XII. Du droit des gens chez les peuples qui ne cultivent point les terres. - XIII. Des lois civiles chez les peuples qui ne cultivent point les terres. - XIV. De l'état politique des peuples qui ne cultivent point les terres. - XV. Des peuples qui connoissent l'usage de la monnoie. - XVI. Des lois civiles chez les peuples qui ne connoissent point l'usage de la monnoie, - XVII. Des lois politiques chez les peuples qui n'ont point l'usage de la monnoie. - XVIII. Force de la superstition. - XIX. De la liberté des Arabes, et de la servitude des Tartares. - XX. Du droit des gens des Tartares. - XXI. Lois civiles des Tartares. - XXII. D'une loi civile des peuples germains. - XXIII. De la longue chevelure des rois francs. - XXIV. Des mariages des rois francs. - XXV. Cspanldéric. - XXVI. De la majorité des rois francs. - XXVII. Continuation du même sujet. - XXVIII. De l'adoption chez les Germains. - XXIX. Esprit sanguinaire des rois francs. - XXX. Des assemblées de la nation chez les Francs. - XXXI. De l'autorité du clergé dans la première race. | Page 253 à 273 |
LIVRE XIX. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec les principes qui forment l'esprit général, les moeurs et les manières d'une nation.
I. Du sujet de ce livre. - II. Combien, pour les meilleures lois, il est nécessaire que les esprits soient préparés. - III. De la tyrannie. - IV. Ce que c'est que l'esprit général. - V. Combien il faut être attentif à ne point changer l'esprit général d'une nation. - VI. Qu'il ne faut pas tout corriger. - VII. Des Athéniens et des Lacédémoniens. - VIII. Effets de l'humeur sociale. - IX. De la vanité et de l'orgueil des nations. - X. Du caractère des Espagnols et de celui des Cspannois. - XI. Réflexion. - XII. Des manières et des moeurs dans l'état despotique. - XIII. Des manières chez les Cspannois. - XIV. Quels sont les moyens naturels de changer les moeurs et les manières d'une nation. - XV. Influence du gouvernement domestique sur la politique. - XVI. Comment quelques législateurs ont confondu les principes qui gouvernent les hommes. - XVII. Propriété particulière au gouvernement de la Cspanne. - XVIII. Conséquence du chapitre précédent.- XIX. Comment s'est faite cette union de la religion, des lois, des moeurs et des manières, chez les Cspannois. - XX. Explication d'un paradoxe sur les Cspannois. - XXI. Comment les lois doivent être relatives aux moeurs et aux manières. - XXII. Continuation du même sujet. - XXIII. Comment les lois suivent les moeurs. - XXIV. Continuation du même sujet. - XXV. Continuation du même sujet. - XXVI. Continuation du même sujet. - XXVII. Comment les lois peuvent contribuer à former les moeurs, les manières et le caractère d'une nation. | Page 273 à 296 |
LIVRE XX. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le commerce considéré dans sa nature et ses distinctions.
I. Du commerce. - II. De l'esprit du commerce. - III. De la pauvreté des peuples. - IV. Du commerce dans les divers gouvernements. - V. Des peuples qui ont fait le commerce d'économie. - VI. Quelques effets d'une grande navigation. - VII. Esprit de l'Angleterre sur la commerce. - VIII. Comment on a gêne quelquefois le commerce d'economie. - IX. De l'exclusion en fait de commerce. - X. Etablissement propre au commerce d'économie. - XI. Continuation du même sujet. - XII. De la liberté du commerce. - XIII. Ce qui détruit cette liberté - XIV. Des lois du commerce qui emportent la confiscation des marchandises. - XV. De la contrainte par corps. - XVI. Belle loi. - XVII. Loi de Rhodes. - XVIII. Des juges pour le commerce. - XIX. Que le prince ne doit point faire le commerce. - XX. Continuation du même sujet. - XXI. Du commerce de la noblesse dans la monarcspane. - XXII. Reflexion particulière. - XXIII. A quelles nations il est désavantageux de faire le commerce. | Page 296 à 310 |
LIVRE XXI. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le commerce considéré dans les révolutions qu'il a eues dans le monde.
I. Quelques considérations générales. - II. Des peuples d'Afrique. - III. Que les besoins des peuples du Midi sont differents de ceux des peuples du Nord - IV. Principale différence du commerce des anciens d'avec celui d'aujourd'hui. - V. Autres différences. - VI. Du commerce des anciens. - VII. Du commerce des Grecs. - VIII. D'Alexandre. - Sa conquête. IX. Du commerce des rois grecs après Alexandre. - X. Du tour de l'Afrique. - XI. Certhage et Marseille. - XII. Ile de Délos. - Mithridate. - XII. Du génie des Romains pour la marine. - XIV. Du génie des Romains pour le commerce. - XV. Commerce des Romains avec les barbares. - XVI. Du commerce des Romains avec l'Arabie et les Indes. - XVII. Du commerce après la destruction des Romains en Occident. - XVIII. Règlement particulier. - XIX. Du commerce depuis l'affaiblissement des Romains en Orient. - XX. Comment le commerce se fit jour en Europe à travers la barbarie. - XX. Decouverte de deux nouveaux mondes; état de l'Europe à cet égard. - XXII. Des richesses que l'Espagne tira de l'Amerique. - XXIII. Problème. | Page 311 à 350 |
LIVRE XXII. - Des lois dans les rapports qu'elles ont avec l'usage de la monnoie.
I. Raison de l'usage de la monnoie. - II. De la nature de la monnoie. - III. Des monnoie. idéales. - IV. De la quantité de l'or et de l'argent. - V. Continuation du même sujet. - VI. Par quelle raison le prix de l'usure diminua de la moitié lors de la découverte des Indes. - VII. Comment le prix des choses se fixe dans la variation des richesses de signe. - VIII. Continuation du même sujet. - IX De la rareté relative de l'or et de l'argent. - X. Du change. - XI. Des opérations que les Romains firent sur les monnoies. - XII Circonstances dans lesquelles les Romains firent leurs opérations sur la monnoie. - XIII. Opérations sur les monnoies du temps des empereurs. - XIV. Comment le change gêne, les États despotiques. - XV. Usage de quelques pays d'Italie. XVI. Du secours que l'État peut tirer des banquiers. - XVII. Des dettes publiques. - XVIII. Du payement des dettes publiques. - XIX. Des prêts à intérêt. - XX. Des usures maritimes - XXI. Du prêt par contrat, et de l'usure chez les Romains. - XXII. Continuation du même sujet. | Page 351 à 378 |
LIVRE XXIII. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le nombre des habitants.
I. Des hommes et des animaux, par rapport à la multiplication de leur espèce. - II. Des mariages. - III. De la condition des enfants. - IV. Des familles. - V. De divers ordres de femmes légitimes. - VI. Des bâtards dans les divers gouvernements. - VII. Du consentement des pères en mariage. - VIII. Continuation du même sujet. - IX. Des filles. - X. Ce qui détermine au mariage. - XI. De la dureté du gouvernement. - XII. Du nombre des filles et des garçons dans différents pays. - XIII. Des ports de mer. - XIV. Des productions de la terre qui demandent plus ou moins d'hommes. - XV. Du nombre des habitants par rapport aux arts. - XVI. Des vues du législateur sur la propagation de l'espèce. - XVII. De la Grèce, et du nombre de ses habitants. - XVIII. De l'état des peuples avant les Romains. - XIX. Dépopulation de l'univers. - XX. Que les Romains furent dans la nécessité de faire des lois pour la propagation de l'espèce. - XXI. Des lois des Romains sur la propagation de l'espèce. - XXII. De l'exposition des enfants. - XXIII. De l'etat de l'univers après la destruction des Romains. - XXIV. Changements arrivés en Europe par rapport au nombre des habitants. - XXV. Continuation du même sujet. - XXVI. Conséquences. - XXVII. De la loi faite en France pour encourager la propagation de l'espèce. - XXVIII Comment on peut remédier à la dépopulation. - XXIX. Des hôpitaux. | Page 378 à 402 |
LIVRE XXIV. - Des luis dans le rapport qu'elles ont avec la religion établie dans chaque pays, considérée dans ses pratiques et en elle-même.
Des religions en général. - II. Paradoxe de Bayle. - III. Que le gouvernement modéré convient mieux à la religion chrétienne, et le gouvernement despotique à la maboquétane. - IV. Conséquences du caractère de la religion chrétienne et de celui de la religion mahométane. - V. Que la religion catholique convient mieux à une monarcspane, et que la protestante s'accommode mieux d'une république. - VI. Autre paradoxe de Bayle. VII. Des lois de persection dans la religion. - VII. De l'accord des lois de la morale avec celles de la religion. - IX. Des Esseens. - X. De ta secte stoïque. - XI. De la contemplation. - XII. Des penitences. - XIII. Des crimes inexpiables. - XIV. Comment la force de la religion s'applique à celle des lois civiles. - XV. Comment les lois civiles corrigent quelquefois les fausses religions. - XVI. Comment les lois de la religion corrigent les inconvenients de la constitution politique. - XVII. Continuation du même sujet. - XVI. Comment les lois de la religion ont l'effet des lois civiles. - XIX. Que c'est moins la vérité ou la fausseté d'un dogme qui le rend utile ou perni ieux aux hommes dans l état civil, que l'usage ou l'abus que l'on en fait. - XX. Continuation du même sujet. - XXI. De la melempsycose. - XXII. Combien d est dangereux que la religion inspire de l'horreur pour des choses indifferentes. - XXIII. Des fêtes. - XXIV. Des lois de religion locales. - XXV. Inconvénient du transport d'une religion d'un pays à un autre. - XXVI. Continuation du même sujet. | Page 403 à 419 |
LIVRE XXV. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec l'établissement de la religion de chaque pays et sa police extérieure.
Caractéristiques techniques
PAPIER | |
Éditeur(s) | Hachette |
Auteur(s) | Charles-Louis de Secondat Montesquieu, François Voltaire, Jean-Baptiste-Louis Crevier |
Collection | Sciences sociales |
Parution | 01/03/2021 |
Nb. de pages | 694 |
Format | 15.6 x 23.4 |
Couverture | Broché |
Poids | 949g |
EAN13 | 9782329591360 |
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