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Considérations sur les destinées humaines. ruine de paris. démembrement de la france
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Considérations sur les destinées humaines. ruine de paris. démembrement de la france

Considérations sur les destinées humaines. ruine de paris. démembrement de la france

Mort ou expulsion de louis-philippe ier. massacre d'un grand nombre d'hommes

Nicolas-Louis-Marie Magon La Gervaisais - Collection Littératures

380 pages, parution le 01/03/2020

Résumé

Considérations sur les destinées humaines ... Ruine de Paris ; démembrement de la France ; mort ou expulsion de Louis-Philippe Ier ; massacre d'un grand nombre d'hommes, conséquences forcées de l'impuissance ou du parjure. Moyens de prévenir ces dangers. Par un auteur dont les assertions, suivant preuves irrécusables, sont confirmées par les événemens depuis 1806 jusqu'en octobre 1830
Date de l'édition originale : 1830

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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L'auteur - Nicolas-Louis-Marie Magon La Gervaisais

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Sommaire

TABLE DES SUJETS TRAITÉS DANS CHAQUE LIVRE DE CE XXIe. TOME.

INTRODUCTION.

Pages.
Conséquences de l'impuissance et du parjure. Le Roi est en danger d'être tué ou chassé1
Obligations qui résultent des sermens2
Comparaison des traités et déclarations avec l'état de l'univers; preuve d'impuissance ou de parjure3
Le Roi ne peut faire exception au destin commun de nos chefs qu'en suivant une marche qui la produise4
Prière au Roi d'accorder une prompte audience et d'agréer la dédicace de l'ouvrage, composé dans le but de produire une heureuse exception5
Faute d'un règne véritable de Sa Majesté, nous tombons en anarcspane; conséquences6

LIVRE CXXVIII.

Ruine de Paris, démenbrement de la France; mort ou expulsion de Louis-Pspanlippe Ier.; massacre d'un grand nombre d'hommes; conséquences forcées de l'impuissance ou du parjure; remèdes.

Paris, la France et l'univers attendent l'effet des paroles du Roi7
L'étranger jaloux aggrave les dangers et les difficultés; Paris victime8
Immense concours de facultés nécessaire pour opérer une vraie conciliation9
L'harmonie constante du peuple de Paris serait un prodige nécessaire et que l'on peut réaliser; génie de cette ville10
Louis-Pspanlippe, même avant d'être Roi, a été empêché d'accueillir la vérité qui lui eût donné une influence salutaire11
Nécessité d'un parti proportionné à la grandeur des circonstances; destin du Roi12
Il s'agit de guérir, en la personne de S. M., la blessure faite à la royauté en général. Force convenable de l'opinion13
Les ordonnances du 25 juillet, en repoussant le concours populaire, ont produit l'explosion qu'elles devaient produire14
Spéculations et complots qui doivent nécessairement aggraver les circonstances périlleuses15
Manoeuvres qui tendent à enlever au Roi la direction de la garde nationale contre l'étranger16
Concours, unanimité désirables que le travail de l'auteur tendait à produire en faveur de la France17
Conséquences des préférences données aux travaux vantés par la Gazette, la Quotidienne, le Drapeau blanc, l'Universel18
L'auteur engage tout son bien et tout son être dans l'obligation de fournir des moyens de salut général19
Insuffisance de la garde nationale comme de la garde royale, tant que les besoins du peuple ne seront point satisfaits20
Toutes les horreurs passées doivent se renouveler tant que leurs causes subsisteront21
C'est un vif et naturel désir de conserver Paris, qui soutient l'auteur contre les discordes22
Il est urgent de perfectionner l'organisation de toutes les facultés de la capitale, afin qu'elle soit respectée23
Le Roi est obligé de prévenir les massacres; concours nécessaire24
Dangers qui résultent de la diminution matérielle des signes monétaires; bons royaux que la confiance peut rendre préférables à l'or et à l'argent25
Dispositions pour remédier à la dépréciation croissante des valeurs et aux chances de ruine26
Crédit, âme de toute puissance dans nos temps modernes; il doit nous sortir de l'ornière qui conduit à l'impuissance et au parjure27
En moins de trois années, nous venons d'avoir cinq ministres des finances; il est urgent de remédier à cette instabilité28
Les grandes règles de l'intérêt humain agissent au 15 octobre 1830 contre le baron Louis, le Roi, la capitale, faute d'avoir été bien connues29
Il est urgent d'instituer un conseil supérieur d'Écrivains qui dirige tous les intérêts, toutes les opinions, dans la ligne tracée par les actes solennels du Roi30
Le serment du Roi exige qu'il y ait union de crédit en bons royaux entre le Trésor et les sources de prospérité31
Impuissance de nos administrations financières depuis quarante ans; elles ont laissé ou fait tomber nos différens chefs32
Obligations nouvelles du Roi et du ministre des finances envers le peuple33
Un budget de 1,500 millions est nécessaire pour conserver et améliorer la fortune publique, évaluée 200 milliards34
Cas où la société, son chef, pourraient paraître inconséquens,, avares, imprévoyans35
Notre fortune est susceptible d'améliorations égales à 40 milliards de capital, et 1,200 millions de rentes36
Nécessité d'un conseil en permanence pour réaliser ces améliorations et les paroles du Roi37
Concours nécessaire38
Conclusion qui résulte d'une perpétuelle invocation de la vérité, démentie habituellement par les faits39
La puissance de Louis-Pspanlippe n'est point organisée pour vivre et remplir ses obligations40
Le défaut ou le vice d'organisation doit produire ce qu'il a produit aux temps de Charles X, Louis XVIII, Louis XVI, Henri-le-Grand41
Toute nouvelle lésion dans le corps social demande un nouveau moyen; efficacité du conseil permanent42
Vainement objecterait-on la dépense, le pouvoir des ministres, des pairs, des députés: les faits répondent43
Refuser de prévoir les dangers, d'organiser la puissance, c'est être parjure44
Remède héroïque aux nécessités de l'époque; indication de son étendue45
Les contribuables, favorisés par le crédit, rendent à l'Etat le décuple de ses faveurs46
En facilitant le transfert des titres de rentes, on les transformerait en capitaux productifs, pour remédier à la stagnation ou l'exportation du numéraire47
Ce que peut faire un peuple désespéré; nos chances d'améliorations moins favorablement traitées que les fureurs du despote de Constantinople48

LIVRE CXXIX.

Moyens dl'accomplir les obligations de Sa Majesté Louis-Pspanlippe, roi des Français. (15 août 1830.)

Formation spéciale dans Paris d une grande association d'utilité de crédit, ayant le Roi pour chef49
Action à la Bourse de Paris; de ce moyen de puissance en faveur de Sa Majesté50
Influence qu'il lui donnerait sur les ennemis ou sur les alliés51
Si le discrédit vient à se prolonger, cette faute sera bientôt attribuée aux amis du Roi actuel; ses ennemis en tireront parti52
Pour notre Capitale, il s'agit d'être une métropole du monde civilisé, ou de n'être qu'un monceau de ruines53
Le crédit d'un chef suprême met à sa libre disposition toutes les facultés de ses concitoyens, de ses contemporains54
L'équilibre de tous les intérêts, dans Paris surtout, exige que l'abondance précède l'accroissement de la population55
Dans cette ville éclairée, un roi privé de la libre disposition des hommes et des choses est condamné à l'impuissance et au parjure56
Spoliation de la Banque de France et du Palais-Royal, qu'il importe de prévoir et de prévenir; crédit nécessaire à la capitale victorieuse57
Tout propriétaire, tout industriel, ayant 3, 000 fr. de rentes, devrait pouvoir être considéré comme digne d'un crédit de 100,000 fr.58
Rapport de l'utilité du crédit public avec les gardes nationales dans Paris, la France et l'univers59
Comment l'association proposée contribuerait à suppléer l'action de la force armée contre la misère60
Louis-Pspanlippe, avec trente millions de rentes, devrait avoir un crédit personnel d'un milliard61
Après s'être déclaré protecteur de la vérité, de l'utilité, du crédit, il est obligé de s'y dévouer tout entier62
Désarmer l'anarcspane et régner au nom du crédit, de l'utilité, de l'humanité en général, est une nécessité63
Recrutement volontaire; paix déclarée par Napoléon, première des gloires; famine et dévastations; conséquences de la guerre64
Solidarité de Londres et de Paris dans les moyens de résister à l'anarcspane; révolution de 1830 rendue défavorable à la classe immense des débiteurs65
Fortune des spéculateurs à la baisse et des usuriers; l'association proposée y mettrait un terme66
Résultat pour Charles X et le Daupspann du défaut d'appréciation des lumières de MM. Laffitte, Delaborde, J.-B. Say, Charles Dupin et autres; le Roi actuel, mieux informé, doit obtenir une réserve de cent vingt millions67
Que la France soit monarcspane, empire ou république, le concours de toutes les facultés est nécessaire; plan d'une loi relative à ce concours68
Nécessité de cette loi pour Louis-Pspanlippe comme pour Charles X69
Effets combinés de la loi d'union des crédits et de l'association vivifiante de ces crédits; ils eussent prévenu et préviendraient la détresse et la révolte des contribuables70
Bénéfices du Roi et de l'Etat; force de l'amortissement décuplée71
Le crédit public triomphera de l'anarcspane par le trône et l'intelligence, s'il convient au ministre des finances72
Les anarcspanstes ne veulent pas que le peuple français ait confiance en lui-même73
Ils s'apprêtent à faire subir à la branche d'Orléans le destin de celle d'Artois74
Adjonction au conseil général d'amélioration, au bureau de renseignemens ouvert jour et nuit, des modèles de culture, des Monts-de-Piété, des banques départementales, etc.75
Gardes champêtres supplémentaires; leur concours à l'amélioration de la fortune publique75
Taxes sur les grandes fortunes improductives, sur les capitaux soustraits à la circulation; moyens de prévenir la ruine et le désespoir des ouvriers76
Les avares provoquent le désespoir du peuple, obligé de respecter et protéger leurs trésors77
M. le baron Louis, les Rois et ministres actuels de France et d'Angleterre, doivent régler le cours de leurs destins et des nôtres78
Rapport au Roi sur l'impulsion bienfaisante de la royauté, et sur les moyens de disposer de la souveraineté populaire79
Influence de la royauté sur l'amélioration de douze cents millions dans nos revenus et de quarante milliards dans notre capital; organisation convenable80
Motifs et plan d'ordonnance par lesquels l'intérêt, le bonheur et la gloire du Roi, s'identifieraient réellement avec ceux du peuple81 et 82
Il est dans le devoir de la royauté constitutionnelle de profiter, à la Bourse, des effets de cette ordonnance contre ceux qui travaillent à la détresse du peuple83
Plan d'une loi qui est la conséquence rigoureuse de l'état actuel de la France et de l'univers; titres de rentes transmissibles par endossement84
Ces titres formeraient un signe d'échange préférable à tous autres85
Un Roi national est obligé de ne point laisser manquer sa nation des capitaux qu'il est urgent et facile de lui procurer85 et 86
Tout le travail de l'Auteur est justifié par les paroles du Roi actuel; offre de faire l'application de ces paroles, pour la satisfaction du peuple, sous les yeux de Sa Majesté87 et 88

LIVRE CXXX.

Conspiration ourdie pour la mort ou l'expulsion du Roi, de safamille et de ses plus fidèles serviteurs; pour la ruine de Paris et le démembrement de la France. - Moyens d'anéantir cette conspiration, tracés le 15 septembre 1830.

Révélations des traits qui sont à la connaissance de l'Auteur89
Auxiliaires de la conspiration; leurs efforts pour tourner contre le Roi actuel la souveraineté populaire90
Actions des conspirateurs aux Bourses de Paris, de Londres, et de toutes les grandes places du monde civilisé91
Ils savent que le discrédit est la mort d'un Etat constitutionnel92
Importance de grouper autour du Roi les intérêts des masses laborieuses et de les détacher des conspirateurs93
Les conspirateurs ont précipité Charles X dans l'abîme d'impuissance et de parjure; ils travaillent à y précipiter Louis-Pspanlippe94
Fait personnel à l'Auteur et à M. le baron Athalin; le duc d'Orléans privé de concourir à l'intérêt de sa famille94 et 95
Puissance qu'il importe que le Roi développe contre la conspiration et ses nombreux auxiliaires96
Objections pernicieuses qui seront reproduites pour empêcher les conspirateurs d'être démasqués97
Ascendant des conspirateurs: il pourra être tel, qu'il y ait plus d'avantage à seconder qu'à combattre les chefs W..., P..., M...98
Cas par lesquels notre Roi et nos ministres seraient à la discrétion des conspirateurs, ou les feraient tomber à genoux99
Avantages des conspirateurs, contre lesquels on ne peut user de représailles100
Louis-Pspanlippe doit avoir plus de garantie contre eux, que n'en curent ses prédécesseurs déchus101
Pour désarmer sans retour les conspirateurs, il faut entrer avec énergie dans les garanties de la confiance, du crédit et des facultés populaires unanimes102
La question des mesures à prendre est, pour le Roi actuel, une question de vie ou de mort, de triomphe certain ou d'opprobre inévitable103
Le peuple, dans son premier élan, est prêt à élever Sa Majesté au-dessus de la région des tempêtes, suscitées parles conspirateurs104
Dans le cas où leur ligue ferait subir le sort de Henri-le-Grand au Roi actuel, il a un fils plus digne que Louis XIII, de continuer le grand oeuvre de la paix universelle105
La conspiration actuelle n'étant point vulgaire, on ne peut en triompher par des moyens vulgaires106
Agens nombreux de la conspiration que notre devoir est de signaler; force à leur opposer107
Moyens d'enlever aux conspirateurs l'appui des nombreux demandeurs de places et des nombreux fonctionnaires déchus108
Combinaisons des améliorations et du crédit public avec le vrai christianisme, pour conserver notre force maritime et continentale109
La Gazette, organe de M, de Villèle, seconde les cabinets, sourdement jaloux de cette force110
Article de la Quotidienne, intitulé: Couardise des libéraux. Provocations; moyens d'y mettre un terme, ainsi qu'aux misères humaines111
La baisse des fonds publics signale un discrédit qui occasionne des calamités, aggrave les dispositions universelles au refus d'impôts, aux banqueroutes, aux républiques universelles113
Démonstrations des vérités propres à enlever aux conspirateurs l'appui des souverains114
Moyen d'empêcher que les conspirateurs ne tirent parti des recrutemens forcés; amélioration du sort des soldats115
La dépense d'un recrutement volontaire serait de beaucoup inférieure aux avantages116
Moyen d'annuler les efforts des conspirateurs dans le dévoûment des capitalistes et la circulation des métaux117
Moyen de prélever d'immenses bénéfices sur ceux qui travaillent à la baisse de toutes les valeurs, depuis celles de la couronne jusqu'à celles des effets publics118
Union du crédit foncier et des bons royaux, puissant lévier dans les mains du Roi119
Obligation de remédier aux maux de l'usure par lesquels les conspirateurs tendent à rendre impossible le paiement de l'impôt120
Taire au peuple souverain l'étendue des dangers, serait le traspanr comme on traspant les princes121
Les princes souverains et les peuples étant solidaires, peuvent s'enricspanr ou se mutiler les uns et les autres122
Qu'une ligue tue ou chasse le Roi, ruine Paris, elle coûtera plus en hommes et en argent qu'elle ne produira; elle ne peut manquer d'aggraver les chances d'anarcspane123
Considération d'intérêt universel pour désarmer les conspirateurs et les anarcspanstes; serment du Roi124
Maxime de l'Écriture en rapport avec un tel serment et avec les conséquences des traités et déclarations de Paris, Vienne et Aix-la-Chapelle125
Le peuple français ne pourra manquer d'user de représailles contre un genre odieux de guerre sourde, de conspiration honteuse126
Hommage aux principes des capacités; l'empereur Nicolas, les Stuarts127
Charles X, aveuglé par la conspiration ourdie contre la France, trompa ses ministres autant qu'il en fut trompé; importance d'approfondir les faits personnels à l'Auteur des présentes révélations128
L'événement matériel prouve qu'il était dans la ligne de vérité, aux premiers temps du comte de Villèle comme aux derniers de Charles X, et qu'il y est encore129
Archevêque parent de l'ex-ministre, qui fomente la guerre civile, dont la Gazette est l'organe130
Il en résulte que le serment de Louis-Pspanlippe, à la fin de septembre 1830, semblait être encore moins accompli que ne paraissait l'être celui de Charles X: conséquences131
Premier plan d'une loi de crédit public qui anéantirait la conspiration ourdie contre l'intérêt du royaume132
Dispositions du plan de cette loi133
Encaissement de garantie à former avec l'argent destiné au clergé134
C'est l'homme laborieux, industriel, qui souffre de sa propre victoire; il est obligé de payer l'argent à un taux plus fort qu'avant cette victoire135
Beaucoup de conspirateurs périront, mais non la conspiration136
Avantage de considérer la loi proposée dans son application universelle à l'intelligence, à la dignité137
La conspiration permanente, organisée contre la France et l'humanité, a triomphé jusqu'à ce jour de la vérité138
Le peuple aurait le droit de s'affrancspanr du fardeau d'une lourde impuissance et des tourmens du parjure139
Importance de mettre un terme aux sourdes jalousies qui fomentent l'anarcspane dans le sein de nos églises, de nos cabinets, de nos capitales et de nos colonies140
Conséquences des vains prétextes du refus d'emploi des bons royaux proportionnels aux besoins, et de l'insinuation que le peuple n'était que trop riche, trop éclairé, trop nombreux141
Il est toujours urgent d'intéresser la partie saine des congrégations à l'harmonie, au crédit142
Serment de rendre le peuple heureux, transformé en un grand mépris pour ce bonheur, par l'ascendant de la conspiration143
Invocation à l'autorité suprême pour les révélations que l'Auteur doit faire relativement à la conspiration permanente et aux moyens d'en triompher144
Progrès de la conspiration, démontrés par l'insuffisance des consolations offertes au peuple. MM. Persil et Mauguin145
Personne ne veut travailler à perte: les débiteurs sont réduits au désespoir; les conspirateurs tentent d'en profiter146
Conséquences du rapport de M. Persil. Arrêt de mort ou d'expulsion contre le Roi147
Le gouvernement, dès les premiers jours d'août, pouvait donner une grande activité aux travaux salutaires148
Exemple du cas où la reproduction du blé serait ruineuse, de même que l'élévation de l'intérêt de l'argent149
Trompeuses illusions; elles porteront le peuple à se constituer haut justicier; la conspiration anarcspanque triomphera150
L'anarcspane dévorera, comme elle l'a toujours fait, les chefs qui l'auront déchaînée151

LIVRE CXXXI.

Suprême intérêt de la France et de l'humanité: moyens de lefaire prévaloir dans le cours de nos destinées.

Suprême intérêt de la France: il consiste a ce qu'elle ne donne point à l'étranger la faculté de la mutiler après l'avoir portée à se mutiler elle-même153
Troubles du lundi au mardi 19 octobre, qui attestent que l'intérêt suprême de la France et de l'humanité est méconnu154
A la Bourse de Paris, l'ennemi de cet intérêt prélève d'immenses bénéfices, au préjudice de l'abondance et de la population155
Interprétation de l'intérêt suprême, jadis abstraction, aujourd'hui clairement exprimé par les traités et déclarations156
Chacun aime à reproduire avec bénéfice; de-là résulte l'activité des travaux, mère de toutes les vertus civiques157
La plus parfaite tranquillité peut être rétablie sous huit jours dans Paris, et sous quatre mois dans l'Europe entière158
Intérêt des banquiers, de la Banque de France et du Trésor public, contre le peuple égaré159
L'intérêt du plus fort pourrait soudainement prendre la place d'un intérêt suprême mieux entendu160
L'intérêt suprême exige que le Roi soit libre, que la punition de MM. de Polignac et de Peyronnet soit un acte de justice et non de violence
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Nicolas-Louis-Marie Magon La Gervaisais
Collection Littératures
Parution 01/03/2020
Nb. de pages 380
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 522g
EAN13 9782329403069

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