À pierre fendre

Jean Piet est un poète dans tous les sens du terme. Tout d'abord il ressent intensément les émotions, s'extasiant devant la nature ou évoquant des moments éprouvants (comme la guerre de 14), ensuite il sait les exprimer par des images savoureuses, des mots qui s'entrelacent naturellement dans la forme la plus pure de la poésie. Un style lumineux qui se lit avec gourmandise, des rimes aux accents touchants qui nous entrainent dans son univers.
Jeanine Berducat (romancière)

Tel un bouquet de sucres d orge, « à Pierre Fendre » nous offre des Alexandrins aux goûts doux et sucrés empreints de nostalgie ou de tristesse  pour les uns, d' espoir et de joie pour d'autres, aux multiples couleurs, du temps qui passe au bonheur proposé par la nature, les animaux,  l'amour... Un petit délice à déguster sans modération pour s allouer une pause toute en poésie !
Nathalie Gayou (auteur)

Même s'il y peut geler «à pierre fendre », cette poésie est toute empreinte de chaleur humaine et parfois végétale, c'est ce qui nous cramponne dans le creux de l'âme aussi bien vers les pierres d'une vielle école que vers des amours adolescentes dans un village bordé de rivières et de placettes encadrées de vieillards dans les soirs d'été.
Adrien Bobèche (poète et philosophe accessible)

À pierre fendre, tel est le nom du nouvel opus poétique que nous livre Jean Piet. Dans ce recueil, Jean mélange harmonieusement les mots. Il nous invite, à travers une cinquantaine de textes, à une balade au pays du rêve et fait ainsi naître, dans les yeux du lecteur, une myriade d'émotions. Je ne saurai évoquer chacun d'eux. Cependant, passionné comme je le suis par George Sand, Sand encre ne m'a pas laissé indifférent et je souhaite beaucoup de plaisir aux lecteurs de ce volume, à déguster sans modération.
Christophe Grandemange (Auteur et éditeur)

Des sentiments si puissants, bons ou mauvais, ont franchi la barrière de la raison, pour venir fendre la pierre de nos corps de granit, libérant de la sorte nos âmes torturées. Je vous offre ici bien plus que cinquante poésies, je vous invite en mon for intérieur.
Jean Piet