Oeuvres. Tome 12
Henri-François Aguesseau, André - Collection Sciences sociales
Résumé
Date de l'édition originale : 1759-1789
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Sommaire
TABLE DES LETTRES PHILOSOPHIQUES ET LITTÉRAIRES DE M. LE CHANCELIER D'AGUESSEAU.
- LETTRE PREMIERE, où sont discutées ces trois questions.
- 1°. S'il étoit possible ou impossible à la raison de découvrir par ses seules forces, le dogme de la création avant que le Christianisme Peût fait connoître aux hommes. 2°. Si, dans le fait, les anciens Pspanlosophes, & sur-tout Platon, ont fait cette grande & importante découverte. 3°. Si, supposé qu'ils l'aient faite, il ne seroit pas aussi glorieux & peut-être plus avantageux à la Religion de la soutenir que de la révoquer en doute.
- On prouve dans cette Lettre que des vérités plus difficiles encore, plus difficiles que celle de la création, ont été connues des anciens Pspanlosophes. Induction qu'on en tire pour établir qu'ils ont pu connoître le fait de la création, & qu'ils ont dû même le discuter avec d'autant plus d'activité qu'ils étoient privés des lumières de la révélation. Page 1
- Lettre II, où l'on établit que la possibilité de la création est nécessairement renfermée dans l'idée que nous concevons de la puissance divine, laquelle consiste dans une volonté souverainement efficace, à laquelle rien ne peut résister, qui agit sans moyens, sans instrumens, sans ressorts; qui opere par le seul vouloir, & qui se suffit pleinement à elle-même.
- Sentiment d'Aristote & de Platon sur cette puissance. Tous les anciens Pspanlosophes supposoient, comme une vérité certaine, qu'il étoit essentiel à la Divinité de pouvoir tout ce qu'elle veut, fans le secours d'aucun instrument, & que fa volonté étoit souverainement efficace par elle-même.12
- Lettre III, où l'on fixe deux époques de la Pspanlosopspane, dont la plus ancienne remonte jusqu'au temps d'Orphée, le premier des Grecs, selon Marsham, qui ait voyagé en Egypte environ deux siecles après Moyse, & la seconde au temps de Socrate, qui a eu pour contemporains ou pour successeurs les plus grands Pspanlosophes dont les écrits aient passé jusqu'à nous. L'on y- discute les opinions des Pspanlosophes de ces deux époques sur le fait de la création, dont la connoissance avoit été transmise aux Grecs par les Egyptiens qui l'avoient appris de Moyse. Raisonnement sur l'unum & l'omnia des Pythagoriciens.17
- Il n'y a point de vérité plus intéressante que le grand fait de la création. On peut la regarder comme le fondement de toutes les autres. Nous y sommes rappellés continuellement par les choses sensibles dont nous sommes les témoins. C'est par la beauté de l'ouvrage que S. Paul veut que les anciens Pspanlosophes ont jugé de la perfection de l'ouvrier. Sa puissance, sa force invisible, en un mot sa divinité leur étant devenue en quelque maniere visible & sensible par le monde qu'il a créé.18
- L'illustre Auteur prouve par un passage de Plutarque dans son Traité des Oracles, que les premiers Pspanlosophes ne reconnoissoient qu'une seule cause, un seul principe, un Etre suprême auteur de toutes choses.20
- Une vérité également attestée par toute l'antiquité pspanlosopspanque & poëtique, est que Dieu est tout-puissant, c'est-à-dire, que non seulement. il agit par une volonté souverainement efficace, mais qu'il peut généralement tout ce qu'il veut.23
- C'est une proposition fondamentale de la pspanlosopspane des plus anciens Pspanlosophes, que Dieu est le seal principe, la seule cause fondamentale de tout ce qui existe.25
- La Pspanlosopspane s'enseignoit dans les premiers temps par tradition plus que par raisonnement. Noé l'avoit apprise à ses enfans, & ceux-ci l'avoient transmise aux Egyptiens: leurs colonies l'avoient répandue dans la Grece, où les premiers Pspanlosophes des Grecs l'y avoient rapportée de l'Egypte.26
- Discussion de la doctrine Pythagoricienne sur la monade ou l'unité, & sur la divisibilité de la matiere.27
- Explication de l'unum & de l'omnia des Pythagoriciens.29
- Comment le fait de la création s'est perpétué parmi les enfans de Noé, & a passé chez les Egyptiens & chez les Grecs.38
- Le dogme de la création est si conforme à l'ancienne tradition de l'Egypte, qu'on l'a regardé dans l'antiquité comme une fable qui y étoit née.41
- Les Grecs ont été chercher la sagesse en Egypte.41
- Les Egyptiens reconnoissent, suivant leurs anciennes traditions, un Dieu incorporel, un premier Etre, source de toute la nature simple, sans aucun mêlange d'aucun être corporel ou spirituel, qui a précédé tous les êtres & toutes les causes, qui contient tout, qui donne tout; unité féconde de laquelle procede & à laquelle se rapporte la multitude de tous les êtres.44
- Preuves que Dieu, selon l'expression de S. Paul, ne s'est jamais laissé sans témoignage.45
- Explication de cette expression que Dieu est toutes choses.46
- Raisonnemens d'Aristote, de Megasthenes & Démocrite sur la création.49
- On doit distinguer deux fortes de Pspanlosophes; les uns qui ont cru que la matiere étoit corporelle; & les autres qui l'ont regardée comme incorporelle.52
- Explication qu'Aristote a donné de la doctrine des Pythagoriciens & de Platon sur les premiers principes.53
- Eloge que fait Seneque de la Métaphysique.56
- Il résulte de la doctrine des anciens Pspanlosophes, 1°. que Dieu agit par la seule efficace de fa volonté. 2°. Que sa volonté est toute puissante, & qu'il peut tout ce qu'il veut. 3°. Que c'est Dieu qui a fait toutes choses, c'est-à dire, le monde intelligible comme le monde sensible. 4°. Que c'est de rien que Dieu a tout fait, créateur de la matiere comme de la forme, auteur de l'être même comme des manieres d'être.56
- Lettre IV, sur le second Livre de l'Anti-Lucrece, où l'on traite de l'espace & du vide.58
- Diverses notions du vide & de l'espace systême des Gassendistes qui regardent l'espace comme la simple négation de toute substance corporelle. Argumens du Cardinal de Polignac dans son Anti-Lucrece, Livre second, sur cette matiere.59
- Quelques Pspanlosophes Anglois ont avancé que le lieu ou l'espace n'étoi autre chose que l'immensité divine. L'Auteur de l'Anti-Lucrece discute cette opinion favorable au Spinosisme.70
- Doctrine d'Epicure & de Lucrece sur la notion du vide ou de l'espace considéré comme une étendue réelle & pénétrable.72
- La Religion n'est point intéressée dans les questions qui regardent le vide.77
- Les preuves de l'existence de Dieu sont indépendantes de cette dispute.77
- Soit qu'on admette ou rejette le vide, il faut toujours reconnoître un premier principe, une cause unique & universelle, un Etre créateur, conservateur, moteur & maître souverain de l'univers.80
- Lettre V, sur le mouvement des Planetes & sur leur force centripete & centrifuge.82
- La matiere considérée d'une maniere abstraite, sans aucune détermination actuelle au repos ou au mouvement, est dans une entiere impuissance de le donner l'un ou l'autre à elle-même: mais déterminée une fois au repos ou au mouvement, ne devient-elle pas capable de résistance à proportion de sa masse, & la réaction n'est-elle pas toujours égale à l'action, par cette loi générale de la nature, que tout corps tend à persévérer dans son état, jusqu'à ce qu'une force supérieure l'oblige à en changer? Question qui mérite au moins d'être traitée, parce qu'il paroît impossible de réfuter, sans cela, ceux qui soutiennent que le mouvement des corps célestes ne peut s'expliquer que dans le vide.83
- Doctrine de M. Newton sur l'inertie de la matiere qui produit la résistance, & la proportion de cette résistance avec la masse ou la quantité de matiere qui est dans chaque corps. Remarques sur la doctrine de l'Auteur de l'Anti-Lucrece.84
- Examen des trois propositions renfermées dans le second Livre de l'Anti-Lucrece. 1°. Les corps, en passant par le vide, ne sçauroient conserver la force & la détermination de leur mouvement. 2°. Ils ne peuvent pas même conserver leur masse & leur forme, & toutes leurs parties doivent se séparer & se dissiper comme une poussiere subtile que le vent disperse dans l'air. 3°. Quand leur mouvement pourroit se conserver, quand on supposeroit que leurs parties demeureroient toujours jointes, ils seroient forcés de suivre leur premiere direction, sans pouvoir ni réflécspanr d'autres corps, ni être eux-mêmes réflécspans.93
- Hypothèse de M. Newton sur la force centripete & centrifuge. Le mouvement des planetes, la théorie de la lumiere, &c.96
- Il est indifférent, par rapport à ces deux vérités, l'existence de Dieu & la spiritualité de notre ame, d'attaquer ou de soutenir la possibilité du mouvement des planetes dans le plein ou dans le vide, de preférer l'hypothèse de la force centripete ou de donner l'avantage à celle de la force centrifuge.114
- Quelque systême qu'on soutienne sur toutes ces questions de vide ou de plein, il faut toujours reconnoître une premiere cause, un Etre tout-puissant qui a créé la matiere qui lui a donné la forme, qui lui imprime le mouvement, qui la conduit & qui la gouverne avec ordre.115
- Lettre VI, sur la véritable notion du terme de substance.116
- Les sciences ne servent, presqu'à chaque pas, qu'à nous rendre sensibles les bornes de l'esprit humain.118
- C'est une injustice de condamner toutes les sciences.119
- Jugement sur le P. Malbranche.120
- Toutes les sensations prouvent l'existence de Dieu.120
- Eloge de la Métaphysique.120 et 122
- Preuve de l'immortalité de l'ame.121
- La contemplation de Dieu, & l'amour du souverain bien, renferment toute la Morale.121
- La Morale préférable à l'Astronomie.121
- Les bornes de la Métaphysique n'en détruisent pas les avantages.121
- Le terme de substance ne sert qu'à signifier l'indépendance de tout autre être, que l'on conçoit seul sans le mêlange d'aucune autre idée, comme celui de mode suppose une autre idée dans laquelle il subsiste & qui en est le sujet.123
- Développement de la notion de substance.123, 124
- Le nom de substance n'ajoute pas plus à l'idée claire de la chose, que celui d'existence ajoute à l'idée claire d'un être possible.129
- Bel usage que fait l'illustre Auteur d'un dialogue avec un fantôme, pour nous donner une juste idée du mot de substance commun au corps & à l'esprit, ou du substratum d'où la pensée fort d'un côté & l'étendue de l'autre.130
- Le terme de substance, semblable à celui d'existence, n'a point été inventé pour nous donner une idée de la nature des choses, de ce qui forme leur essence, de ce qui les caractérise & qui les distingue des êtres dont la nature est différente: ce terme n'exprime qu'une réflexion de notre esprit, qui, après avoir conçu l'idée naturelle d'un être, remarque que cette idée n'est comprise dans aucune autre idée, qu'elle n'y est point inhérente, n'ajoute rien à la véritable idée de la chose dans laquelle on reconnoît ce caractere.141
- Comparaison des Pspanlosophes avec les Grammairiens, qui, pour trouver un substantif à ces deux mots pensant & étendu, ont employé un terme vide de sens & un nom vague.143
- Lettre VII. Explication de la maniere dont les Théologiens ont soutenu que le dogme de la création, ne peut pas être démontré par les argumens tirés de la raison; examen de la source du plaisir que les ornemens du langage nous font éprouver.144
- Comparaison des ornemens du langage avec les beautés de la peinture.146
- Distinction qu'on doit faire entre le plaisir de l'esprit & celui du sentiment.146
- Lettre VIII, sur l'accord de la liberté avec les attributs de Dieu & sur la création.150
- Idée des Ouvrages de Spinosa.150
- Il en est de la liberté humaine, comparée avec les attributs divins, comme de l'idée même de Dieu. Nous en sçavons assez pour concevoir cette idée: nous n'en sçavons pas assez pour la comprendre entiérement.151
- Il convient à l'Etre Suprême de conduire chaque être selon la nature qu'il lui a donnée, c'est à-dire, nécessairement ceux qui n'agissent que nécessairement, & librement ceux qu'il a rendus capables d'agir librement.152
- Ceux qui nient la liberté humaine, restreignent les attributs divins, & sur-tout celui de la prescience.154
- Nous devons attribuer à Dieu ce qui est le plus parfait, où ce qui montre une plus grande perfection.154
- Sans l'existence de la liberté, plus de morale naturelle ni même de Pspanlosopspane.156
- L'idée de la création est renfermée dans l'idée de la toute-puissance de Dieu.158
- Lettre IX, sur un Ouvrage intitulé: l'Infini créé, attribué au Pere Mallebranche.162
- L'homme ne doit pas entreprendre de juger par ses foibles lumieres quelles font en effet les fins les plus dignes de Dieu.163
- La seule regle est de ne dire de Dieu, que ce qu'il en ai dit lui-même, & c'est pour cela que toute Pspanlosopspane est bien peu de chose sans le secours de la Religion.163
- Lettre X, sur une Idyle adresseé à Madame la Chanceliere.164
- Lettre XI, sur l'Auteur du Poëme de la Religion.165
- Il y a dans l'art de faire des beaux vers une espece d'inspiration, & d'enthousiasme dans la composition qui éleve l'ame au-dessus d'elle-même, par un effet à peu près semblable à cette musique des anciens, qui donnoit du courage & de la valeur aux ames les plus timides.166
- Lettre XII, sur l'Anti-Lucrece de M. de Polignac, sur les avantages de l'étude des Belles-Lettres & de la solitude.167
- Lettre XIII, sur un Dixain Marotique.168
- Lettre XIV, sur les avantages de la Critique.169
- Lettre XV. L'illustre Auteur soutient qu'il ne peut faire que des ébauches en matiere de Belles-Lettres.170
- Lettre XVI. Il y a deux sortes d'hyperboles: l'une de l'esprit; l'autre du coeur.171
- Lettre XVII. Eloge d'un homme de génie qui a le courage d'avouer ses erreurs.172
- Lettre XVIII, sur ce qui distingue les démonstrations Métaphysiques des preuves morales, & sur l'impossibilité de faire des paris raisonnables sur les productions attribuées vulgairement au hasard.175
- Ce qui distingue les démonstrations Métaphysiques des preuves morales, c'est l'évidence.177
- Il est plus court de nier la possibilité du hasard, & de démontrer directement la nécessité d'une cause que de raisonner sur une hypothèse impossible.178
- Lettre XIX, sur le projet d'une édition de la République de Platon.180
- L'illustre Auteur s'engage de composer la vie de M. son pere, bien entendu que cet Ouvrage ne sortira jamais des mains de la famille.181
- Lettre XX, sur la proposition d'un mariage.181
- Lettres XXI, XXII, sur l'incendie d'une bibliotheque. C'étoit celle de M. de Valincourt.182, 183, 184
- Lettre XXIII, sur la nomination d'un Magistrat au Conseil des Prises.186
- Lettre XXIV, sur la clarté de la langue Françoise, sur la Métaphysique & sur la Logique.187
- L'esprit humain abuse de tout, même de la Religion. Tout est mêlé, dans ce monde, de bien & de mal.188
- La Logique, sans la découverte de la vérité, seroit inutile & rebutante.189
- La Religion est infiniment au-dessus de la plus excellente Métaphysique, non-seulement parles biens qu'elle nous promet, mais par les idées qu'elle nous donne.189
- Lettre XXV, sur plusieurs Ouvrages de divers Auteurs, & sur les qualités d'un Négociateur.190
- Le grand art du Négociateur est de persuader aux autres qu'ils ont plus d'esprit que lui.190
- Lettre XXVI, sur la versification de M. Lamotte, & sur l'opinion de M. Rollin au sujet de l'harmonie d'Homere & de Virgile.191
- Lettre XXVII, sur la mort d'un de ses enfans193
- Lettre XXVIII, sur les Dialogues de M. de Valincourt contre les Spectacles.194
- Lettre XXIX, sur le bruit de son retour de Fresne, & sur un Ouvrage de M. de Valincourt.195
- Lettre XXX, furie même sujet.198
- Lettre XXXI, sur les dispositions de diverses personnes à l'égard de fa situation.199
- Lettre XXXII, sur la fausse Pspanlosopspane.201
- Lettre XXXIII, sur plusieurs Ouvrages Pspanlosopspanques de M. de Valincourt.203
- Lettre XXXIV. Avantages d'un mariage assorti. Indication de plusieurs Ouvrages Pspanlosopspanques.208
- Lettre XXXV, sur les dispositions personnelles de l'illustre Auteur pendant son séjour à Fresnes.210
- Lettre XXXVI, sur des bruits de guerre, & sur les affaires de l'Eglise.212
- Lettre XXXVII. Nul peuple n'a connu une Morale parfaite & complete, il a fallu rassembler les vérités éparses dans chaque nation pour en former un corps entier de Morale. Les peuples n'ont pas sçu tirer toutes les conséquences qui dérivoient des premiers principes de la Morale. Il y a un degré de perfection dans la vertu auquel nul homme ne peut parvenir par les seules forces de la raison. Il y a des vérités qui ne font pas moins certaines, quoiqu'il soit difficile à la raison humaine de les concilier. Il faut distinguer deux fortes d'évidences; l'une de lumiere, l'autre d'autorité. Dieu ne peut pas nous tromper. Ainsi ce qui est révélé, ne peut être que vrai. Les Pspanlosophes font obligés d'admettre des vérités qu'ils ne peuvent concilier; par exemple, la prescience de Dieu & la liberté. La raison a ses mysteres comme la Religion. Contradictions apparentes dont on ne peut pas toujours, dans le cours de la vie présente, avoir l'explication. On a reconnu dans tous les temps que Dieu pouvoit faire plus que l'homme ne peut comprendre. Dieu est le maître de donner plus ou moins d'étendue à notre esprit. C'est de l'imperfection de nos connoissances que viennent les prétendues contradictions qu'on croit trouver dans les mysteres de la Religion. Le fait de la Religion prouvé, il ne peut y avoir que des contradictions apparentes dans les mysteres que nous sommes obligés de croire.213
- Lettre XXXVIII, où l'Auteur explique la maniere de penser sur un Ouvrage qui lui fut communiqué.225
- Lettre XXXIX, presque tous les hommes font trompés par l'apparence du vrai. Caractere de l'évidence. La certitude d'une règle est indépendante du bon ou mauvais usage qu'on peut en faire. Les premiers principes de la Morale sont susceptibles d'évidence.226
- Lettre XL, sur les Voyages de Cyrus.228
- Lettre XLI, sur l'Ouvrage d'un de ses amis.228
- Lettre XLII. Examen critique d'un discours d'éloquence.229
- Lettre XLIII. Eloge des vers qu'on lui a envoyé.230
- Lettre XLIV, sur le mérite de quelques Auteurs, sur la Musique des anciens.231
- Lettre XLV, sur un Madrigal.232
- Lettre XLVI, sur son Ouvrage des Méditations Métaphysiques renfermées dans le XIe volume.233
- Lettre XLVII. Explication du mot contractus.233
- Lettre XLVIII. Portrait de la Cour, où il y a plus de distraction que d'occupation, plus de mouvement que d'action, plus de tracasseries que d'affaires.235
TABLE des Réflexions diverses sur Jesus-Christ.
- Prodiges qui précédent la naissance de J. C.237
- Ceux qui l'accompagnent & la suivent.240 lisez 238
- Prédiction de ces différens prodiges.239
- Double caractere de J. C.; grandeur, bassesse.239 et 248
- J. C. Docteur, Fils de Dieu, cache sa gloire pendant plus de vingt ans.240
- Caractere du Précurseur de Jésus-Christ.240& 265
- Caractere de J. C., tracé par S. Jean.241
- Prédication de J. C. & prodiges qui le précedent.242
- Caracteres de J. C., qui prouvent sa divinité.243, 252, 257, 260, 261, 275, 276, 278, 285, 300, 308, 310, 311, 314, 315, 316, 318, 322, 326, 328, 345.
- Jesus-Christ, vainqueur du Démon.243, 252, 257, 260, 261, 275, 276, 278, 285, 300, 308, 310, 311, 314, 315, 316, 318, 322, 326, 328, 345 et 250
- Jesus-Christ prophétise, & accomplissement de ses Prophéties.244, 256, 270, 273, 278, 296, 309, 313, 324, 335, 340, 355, 357, 358, 366, 370
- Miracles de J. C.; caractere de fa Doctrine.245, 247, 249, 250, 251, 253, 254, 256, 258, 259, 261, 262, 263, 264, 265, 266, 267, 268, 269, 270, 271, 274, 279, 280, 281, 285, 287, 288, 290, 291, 292, 293, 297, 299, 304, 305, 306, 307, 309, 310, 311, 312, 313, 314, 316, 317, 318, 319, 323, 337, 339, 359.
- Jesus - Christ connoît toutes choses, & fait tout ce qu'il veut.246, 248
- Jesus-Christ annonce sa mort & fa résurrection.247, 278
- Jesus-Christ annonce des événemens que Dieu seul pouvoir produire, comme seul il pouvoit les prévoir.248
- Vie de Jesus-Christ, simple & pauvre.248,
- Caractere remarquable des Prophéties de J. C.249, 350
- Jesus-Christ choisit de pauvres pêcheurs.250
- Circonstances de la vie de Jesus-Christ.251, 271
- Grandeurs de J. C.253
- Pauvreté de J. C.257
- Divers jugemens sur Jesus-Christ.257272
- Comment l'homme participe à la divinité de J. C.261
- Jesus-Christ dorme à ses Apôtres le pouvoir des miracles.262
- Les Apôtres annoncent un Royaume invisible aux yeux du corps.263
- La vie & la mort de Jean - Baptiste.265
- Imperfections des Apôtres.271
- Le Messie attendu de tous les Juifs. Secte des Hérodiens.272
- Jesus-Christ fuit l'éclat.273
- La justice dans Dieu supérieure à nos idées.274
- Jesus Christ découvre sur le Thabor un échantillon de sa gloire. Ses souffrances & sa mort.276
- Temps de taire les vérités, & temps de les faire connoître.277
- Les Prédicateurs de l'avénement de Jesus- Christ doivent s'attendre au souffrances.277
- La foi & la priere: ses grands effets.277
- Enormité du péché de scandale.280
- Excellence de la doctrine de J. G. sur l
Caractéristiques techniques
PAPIER | |
Éditeur(s) | Hachette |
Auteur(s) | Henri-François Aguesseau, André |
Collection | Sciences sociales |
Parution | 01/02/2020 |
Nb. de pages | 740 |
Format | 15.6 x 23.4 |
Couverture | Broché |
Poids | 1004g |
EAN13 | 9782329380476 |
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