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Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées

Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées

Et de tous les prix en général, 1200-1800. tome 1

Georges Avenel - Collection Sciences sociales

782 pages, parution le 01/03/2020

Résumé

Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées et de tous les prix en général, depuis l'an 1200 jusqu'en l'an 1800. Tome 1 / par le vicomte G. d'Avenel...
Date de l'édition originale : 1894-1926

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE DES MATIÈRES.

LIVRE PREMIER.

L'ARGENT.

CHAPITRE PREMIER.

LE POUVOIR DE L'ARGENT.

Page.
Difficulté de le connaître1
Critériums du pouvoir de l'argent, faux ou insuffisants, adoptés par divers auteurs2
Programme de Leber, juste mais mal exécuté3
Cibrario; ses calculs fondés sur le prix du blé, leur résultat bizarre5
Travail de M. Bertrandy-Lacabane, idée doeun pouvoir annuel de l'argent déduit de la valeur des grains5
Acception très vaste de ce terme: "pouvoir général des métaux précieux"6
En quoi il diffère du "prix de la vie"6
Changement de la quantité et du prix des diverses marchandises selon les siècles8
Inventaire des valeurs, impossible à dresser9
Notre mode de recherche: trois pouvoirs de l'argent, suivant les recettes et les dépenses pour les classes ouvrière, moyenne et riche11
Erreurs sur la décroissance prétendue fatale du pouvoir de l'argent13
Ce pouvoir dans l'antiquité par comparaison avec le moyen âge13
Hausse du prix de la vie de 1200 à 1390; baisse de 1390 à 152014
Hausse nouvelle de 1520 à 1600; invasion des métaux précieux de l'Amérique15
Opinions du monde financier au XVIe siècle16
Les fluctuations du pouvoir de l'argent ne sont signes ni de prospérité, ni de misère, si l'on n?en connaît pas les causes17
Probabilité doeune production abondante de métaux précieux aux XIIIe et XIVe siècles21
La hausse et la baisse du prix de la vie de 1200 à 160022
Elle est indépendante des événèments politiques22
Emploi de l'or et de l'argent aux usages domestiques, plus grand au XVe siècle qu?au XIVe et au XVIe23
Cause de la baisse des prix de 1390 à 150023
Coefficients moyens du pouvoir de l'argent de 1200 à 1600, par rapport à son pouvoir actuel27
Les variations du pouvoir d?achat des métaux précieux, aux XVIIe et XVIIIe siècles, sont peu connues, quoique importantes27
Ce pouvoir a haussé sous Henri IV, est redescendu à deux fois et demie le nôtre sous Louis XIII et à deux seulement sous Louis XIV jusqu?en 169028
Il a ensuite remonté jusqu?en 1715 sans discontinuer, et s?est maintenu jusqu?en 1750 au triple de son pouvoir actuel29
Moindre production de métaux précieux dans la première partie du XVIIIe siècle30
Depuis 1750 jusqu?à la Révolution, le pouvoir de l'argent descend à nouveau au double du nôtre31
Sa hausse fictive pendant la Révolution32

CHAPITRE II.

LES MONNAIES ET LES MÉTAUX PRÉCIEUX.

Deux sortes de monnaies: loeune réelle, l'autre de compte34
Monnaies de compte qui subsistent encore en France dans le langage35
La livre tournois à l'avènement de saint Louis35
Longévité des pièces de monnaie d?autrefois; il en est qui durent plus de six siècles36
Droit d?émettre de la monnaie n?emporte pas, pour un souverain, celui d'en imposer loeusage37
Diverses monnaies "de compte": livres parisis, de Provins, angevine, du Mans, de Bretagne37
Toutes subissent, dans leurs variations, l'influence de la monnaie tournois38
Livre sterling; son spanstoire39
Monnaies melgorienne et barcelonaise, en Roussillon; raimondine, en Languedoc39
Florins de compte en Provence et Comtat-Venaissin41
Patacs et billon du comtat et de la principauté d'Orange42
Ces monnaies, à moitié fausses, inondent le Sud-Est42
Autonomie monétaire du Daupspanné longtemps maintenue; système de compte de cette province43
Livre dijonnaise, livre estevenante, en Franche-Comté; franc ou livre comtoise44
Franc de Lorraine45
Livres et pfenning d?Alsace46
Livres de gros de Flandres, Artois et Brabant46
Conversion des livres tournois en francs47
Tables de prix du marc d?argent48
Tolérances de litre et de poids pour les anciennes monnaies48
Des trois prix du kilogramme d?argent: acheté en lingots par l'État, vendu en monnaie par l'État, acheté et vendu en lingots entre particuliers49
Des deux sortes d?altérations monétaires: sur la nature du métal ou sur sa valeur en livres-monnaie50
Droits des princes à cet égard d?après les idées du temps51
Altérations seigneuriales et royales51
Les altérations monétaires des rois n?ont jamais eu d?influence sur le prix des marchandises dans le commerce53
Preuves que nous en avons; immobilité des prix exprimés en livres53
Comment le peuple parvenait à se garantir de la fausse monnaie de l'État54
Différence des prix officiels avec les prix réels des métaux précieux55
Monnaies étrangères56
L'Europe du moyen âge est plus cosmopolite que la nôtre à cet égard56
Cet état de choses se prolongea jusque sous Louis XIV57
La diversité d?origine des espèces, augmente à mesure que l'on remonte dans les temps féodaux58
Des conversions fautives de livres en francs, faites d?après les tables de N. de. Wailly60
Affaiblissement progressif de la livre tournois, dont la valeur intrinsèque baisse de 80 p. 0/0 par siècle, de 1200 à 160061
Causes de cet affaiblissement62
Variations du rapport de l'or avec l'argent63
Motifs qui m?ont déterminé à prendre l'argent pour base des conversions65
Influence de l'avilissement de la livre-monnaie sur la fortune mobilière69
Baisse de la livre-monnaie, de 1600 à 180070
La décroissance étant insensible paraît fatale, et les créanciers ne protestent pas70
Les précautions prises pour maintenir les droits féodaux ont pour résultat de les anéantir71
Rapport de l'or à l'argent dans la circulation monétaire des derniers siècles; numéraire existant au XVIIe siècle72
Quantité d?or beaucoup plus grande aujourd?hui qu?autrefois, en proportion de la quantité d?argent73
Influence nulle du système de Law sur les prix, au XVIIIe siècle73
Les cours officiels des métaux, pendant la durée du Système, ne sont pas adoptés par la masse de la nation73

CHAPITRE III.

LE TAUX DE L'INTÉRÊT ET LES VALEURS MOBILIÈRES.

Le taux de l'intérêt, ou loyer de l'argent, n?a pas subi les fluctuations de son prix, ou de son pouvoir sur les marchandises76
Rapport de l'argent "à louer" avec l'argent "à vendre"77
Distance qui sépare anciennement l'intérêt mobilier de l'intérêt foncier78
Variations et causes qui ont influé sur le taux de l'intérêt78
Préjugés sur le prêt d?argent ou "usure"79
Part de responsabilité des lois et des moeurs79
L'homme est alors une marchandise, l'argent n?en est pas une79
Intérêt mobilier, selon les pays et les siècles, de 1200 à 160080
Intérêt foncier; il est plus élevé pour lesbiens ruraux que pour les maisons des villes85
Rentes foncières86
Leur confusion inexacte avec les hypothèques86
Leur morcellement et leur transmission courante89
Ce sont de vraies valeurs de bourse89
Autres biens mobiliers du moyen âge: rentes en grains, rentes "constituées", titres de "Monts" ou actions de banques90
Emprunts d?Etat; ce sont, au début, des cadeaux faits au roi parles sujets riches91
Rentes viagères créées parles communes91
Valeurs au porteur sans analogie aujourd?hui: droits à dommages-intérêts; rançons des prisonniers de guerre; vassalités pécuniaires et hommages rendus pour de l'argent92
Le prêt à intérêt est libre au XVIIe siècle94
Les "rentes foncières", moins nombreuses, ne sont plus la principale valeur mobilière95
Les "rentes constituées" ou "pensions" prennent leur place95
Emprunts municipaux fractionnés en parts minimes95
Sociétés commerciales par actions dès le règne de Louis XIII96
Rentes sur les coches et carrossés96
Les charges judiciaires ou financières sont des biens meubles d?espèce nouvelle; elles représentent parfois de simples rentes au porteur96
L'État, jusqu?à Colbert, emprunte à 8 et 9 p. 0/0; les provinces et les villes empruntent à 4 et 5 p. 0/097
Prêts à 7 p. 0/0 par les capitalistes aux commerçants en gros99
Causes qui maintiennent le taux de l'intérêt mobilier stationnaire au XVIIe siècle99
Baisse de ce taux au XVIIIe siècle; onse contente alors, pour rentes viagères, de l'intérêt servi, auparavant aux rentes perpétuelles104
L'intérêt foncier s?abaisse, vers 1700, à 4 p. 0/0, et vers 1760, à 3 1/2 p. 0/0104

CHAPITRE IV.

LECRÉDIT ET LE COMMERCE DE L'ARGENT.

Le commerce de l'or et de l'argent au moyen âge, monopolisé de fait par les juifs106
Causes que l'on peut assigner à leur spécialité dans ce négoce107
Mépris dont ils sont l'objet107
Rôle des Templiers dans la banque; leurs opérations jusqu?au XIVe siècle108
Grand nombre des Lombards dans les campagnes109
Leurs rapports avec les souverains et les seigneurs avant 1350109
Leur expulsion après la peste noire; elle est de peu de durée110
Alternatives de faveurs et d?injustices dont les juifs sont l'objet au XVe siècle111
Concurrence qui leur est faite au XVIe siècle par les chrétiens; joailliers prêteurs; institutions de crédit112
Lettres de change, mandements; divers systèmes anciens de mobilisation de l'argent par les écritures113
Monnaies fiduciaires; loquis de Gênes114
Conditions très dures des prêts à cause de l'aléa du remboursement; courtiers en paroles115
Difficultés des transports d?espèces116
Oscillations du change117
Cherté de la monnaie d?or117
Création des offices de courtiers de change117
Ils sont investis du monopole de la négociation des lettres et billets118
La Place-au-Change sous Henri IV119
En province, les commerçants protestent contre l'institution d?agents privilégiés119
Change international très élevé; nous est, en général, défavorable au XVIIe siècle120
L'exportation du numéraire, interdite partout; s?effectue partout néanmoins120
Projet doeun change public121
Le Gouvernement est à la discrétion de la banque privée pour ses besoins de trésorerie121
Les quatre foires annuelles ou payements de Lyon122
Leur forme122
Efforts du haut commerce en faveur de la liberté des transactions123
Lettres de change en blanc; changes réels et simulés124
Anciennes banques étrangères, leur mécanisme,125
Le prêt sur gages à l'étranger; projets de monts-de-piété en France126
Monts-de-grains ou frumentaires128
Assurances sur la vie; tentatives avortées129
Assurances maritimes; primes excessives130
Banquiers étrangers en France; leur rôle nous est profitable131
Financiers français au XVIIe siècle132
Crédit de l'État au XVIIIe siècle132
Crédit privé, législation sur les faillites133

CHAPITRE V.

MOUVEMENT DE LA FORTUNE MOBILIÈRE DEPUIS LE MOYEN ÂGE.

Disparition fatale des fortunes mobilières du moyen âge; dépréciation de celles des temps modernes; causes qui l'ont amenée135
Valeur intrinsèque et relative de 1,000 livres tournois et revenu qu?elles procurent en 850, 1200, 1300, 1400, 1500, 1600, 1700, 1789 et 1893136
Mille francs de revenu du XIIIe siècle sont aujourd?hui réduits à 3 fr. 70138
Portée sociale de cet avilissement des biens meubles139
Tous les capitalistes mobiliers sont de date récente139
Destinée toute différente des capitalistes fonciers jusqu?à ce jour; dangers qui les menacent140
Mouvement perpétuel des fortunes privées de toute nature141
Fluctuations inhérentes à l'individu ou dépendantes de causes extérieures142
Mystère qui plane sur l'spanstoire de la plupart des familles143
Vicissitudes, déclassements, ascensions des races: exemples144
S?il y a eu, au moyen âge et sous l'ancien régime, des fortunes comparativement aussi grandes qu?aujourd?hui147
Fortune du feu baron de Rothscspanld; à quelles sommes elle correspondrait aux XIIIe, XIVe et XVe siècles149
Les conditions économiques du moyen âge s?opposent à la confection de la richesse153
Idées jalouses de nivellement industriel qui avaient dicté la législation d?alors153
Sort réservé à l'extrême opulence153
Mouvement d?affaires des derniers siècles154
Le banquier Fugger154
Mazarin155
Les fortunes anciennes, détruites, ont été remplacées parde nouvelles fortunes, beaucoup plus grandes155
Conséquences de la baisse du taux de l'intérêt pour la classe ouvrière156

LIVRE II.

LA TERRE.

CHAPITRE PREMIER.

LA PROPRIÉTÉ DES PERSONNES. - LE SERVAGE.

Phénomènes économiques anciens159
Le servage; commerce de l'argent défendu, commerce de l'homme permis160
Le serf est une partie notable de la propriété foncière160
Le "respect" féodal, immeuble par destination161
Distinction à faire entre le bien-être matériel et le bien-être moral161
Degrés du servage selon les localités et nuances dégradées de libération selon les siècles162
Le serf n?est pas forcément attaché à la terre162
Lemaître donne, vend ou échange ses serfs suivant sa volonté; il vend les enfants sans les parents, et réciproquement163
Servage découle de la filiation; croisements hors la seigneurie, ample matière à procès166
Trois sortes de serfs: domestiques, journaliers et fermiers166
Le seigneur hérite de ses serfs; mainmorte; elle n?est en général que de quelques livres tournois167
Transactions sur les successions serves; le chevage168
Causes économiques qui firent disparaître le servage169
Que cet affrancspanssement n?a pas eu de motifs pspanlanthropiques ou religieux169
Le servage est rare ou a disparu de bonne heure en Normandie, Languedoc, Bretagne171
Époque de la transformation dans le reste de la France172
Influence médiocre de l'institution des communes sur l'abolition du servage rural175
Droit d'"attrait", ses bornes naturelles175
L'affrancspanssement a été provoqué parle besoin de bras et le renchérissement de la terre cultivée179
Restrictions à la liberté nouvelle179
Le seigneur, à l'égard des affrancspans, se modèle sur l'absolutisme familial180
Etroite dépendance de certains vassaux nobles183
Servages mitigés et facultatifs184
Uniformité de fond du régime féodal sous sa diversité de détail185
L'esclavage pur subsiste dans le Midi jusqu?à la fin du XVIe siècle186
Prix des esclaves de toute origine186

CHAPITRE II.

LA PROPRIÉTÉ DU SOL. - LE CENS.

Des formes de la propriété au moyen âge189
Des idées anciennes sur la propriété du travail190
Jouissances collectives du sol, vaines pâtures191
Avant la féodalité, la propriété individuelle est extrêmement bornée192
Elle progresse avec la civilisation; la Révolution française la fortifie et l'affrancspant193
La terreaux temps mérovingiens; -formation de la fortune ecclésiastique; les couvents défrichent et peuplent194
Période du paysan propriétaire; révolution économique195
L'accensement; son importance et son développement sous saint Louis196
Doctrine de l'Eglise sur la propriété personnelle196
Transformation dans la possession du sol; le "bail à cens" est une vente, non un fermage197
Texte des contrats; formules de ces aliénations198
Seule entrave à la propriété roturière: défense de la vendre à des nobles ou gens d?église199
Retrait censuel199
Avantages que le censitaire et le seigneur trouvèrent dans la vente à cens200
Le paysan censitaire acquiert le fonds sans rien débourser200
Il profitera de toutes les plus-values200
Trois ou quatre couches superposées de propriétaires, depuis l'accensement jusqu?aux temps modernes201
Leurs destinées201
Faculté de déguerpissement ou d'exponction dont jouit le censitaire201
Inconvénients du bail à cens pour les propriétaires de maisons202
Des revenus accessoires et indirects du bailleur204
Gens d'un "bonjour"204
Le cens emporte droit de suzeraineté205
Après l'accensement, il ne resta plus d?autres grandes propriétés que les propriétés collectives206
Défrichements successifs et retours à l'état inculte doeune même terre206
La propriété des bourgeois est indifféremment noble et roturière depuis le XVIe siècle207
Partage et transmission des biens fonciers; la législation y est hostile207
Ses vains efforts pour empêcher la propriété noble de passer aux roturiers208

CHAPITRE III.

REVENUS FONCIERS INDIRECTS. - DROITS FÉODAUX.

I. (1200 à 1600.) - Les droits appelés "féodaux" remontent à l'abolition du servage210
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Georges Avenel
Collection Sciences sociales
Parution 01/03/2020
Nb. de pages 782
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 1052g
EAN13 9782329397405

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