Sommaire
Introduction, 9CHAPITRE 1. L'État doit-il intervenir dans le secteur culturel ?, 17 1. La légitimité de l'intervention publique au regard de l'efficacité économique, 19 1 . 1. Insolvabilité de la demande et risque de sous-production., 19 L'existence de biens collectifs, 20. L'existence d'externalités, 22. Les demandes d'option, 25. Les rendements intergénérationnels, 28. 1 . 2. Une valorisation incertaine de la production de biens culturels, 30 La loi de la productivité inégale de Baumol, 30. Une économie de prototype, une économie aux résultats incertains, 40. 1 . 3. Les arguments de politique économique, 42 De la culture activité insolvable à la culture projet économique, 42. Le soutien aux industries, 43. 2. Au-delà de l'efficacité économique : les fondements multiples des politiques culturelles, 46 2 . 1. Biens sous tutelle et État souverain, 47 2 . 2. Au-delà de la recherche de l'intérêt collectif, 49 2 . 2 . 1. L'État conglomérat, 49 2 . 2 . 2. L'État de classe, 49 3. Les politiques culturelles dans les faits, 52 3 . 1. L'origine des politiques culturelles modernes, 52 3 . 2. Une politique culturelle d'inspiration libérale : l'exemple de la IIIe République, 56 3 . 3. Une politique interventionniste : l'exemple de la Ve République, 58 3 . 4. Les moyens du ministère de la Culture, 63 3 . 5. Objectifs et déterminants des politiques culturelles modernes, 68CHAPITRE 2. La subvention publique nuit-elle à l'efficacité des organisations culturelles ?, 73 1. Les entreprises culturelles inefficaces : les modèles fondés sur l'analyse économique de la bureaucratie, 74 1 . 1. Les fondements théoriques : droit de propriété et marché politique, 75 La théorie des droits de propriété, 75. La théorie du marché politique, 76. 1 . 2. Une présentation des modèles, 77 1 . 3. Les entreprises culturelles : des structures bureaucratiques ?, 83 Les subventions, une machine à capter des rentes, 83. Musées et opéras, deux exemples de gestions inefficaces, 84. Les musées, 84. L'opéra, 86. 1 . 4. Les limites de l'analyse de la bureaucratie, 92 2. Des limites de l'analyse économique de la bureaucratie à la théorie des organisations, 94 2 . 1. L'État-monopsoneur nécessiteux, 95 2 . 2. La relation État-entreprise culturelle considérée comme un jeu de stratégie, 101 Comment acheter la bonne conduite du directeur d'une entreprise culturelle ?, 101. Le risque d'une stratégie du pire, 105. 2 . 3. La possibilité d'une gestion non marchande efficace, l'école de Yale, 111 Pourquoi de nombreuses entreprises culturelles sont-elles à but non lucratif ?, 111. Les entreprises culturelles productrices de biens collectifs à audience restreinte, 111. Le contrôle des productions culturelles par les consommateurs, ou pourquoi, aux États-Unis, les orchestres de jazz n'ont pas le même statut que les orchestres symphoniques, 112. Le statut d'organismes à but non lucratif comme réponse à l'irréductible incertitude sur la qualité des productions culturelles, 112. La donation comme élément d'une politique de prix dans les institutions culturelles non rentables, 113. Un modèle de gestion efficace d'organismes culturels à but non lucratif, 114. 2 . 4. L'entreprise culturelle, une organisation complexe et fragile : l'apport de l'économie des organisations, 121CHAPITRE 3. L'intervention publique dans la culture tient-elle toutes ses promesses ? Les difficultés de l'évaluation, 127 1. Le réductionnisme des méthodes d'évaluation de projets, 127 1 . 1. Les pouvoirs publics peuvent-ils prendre une décision économiquement optimale lors du choix d'un projet culturel ? L'analyse coûts/avantages, 129 Les fondements théoriques, 129. Une mise en oeuvre délicate, 131. Une méthode peu pertinente dans le domaine culturel, 134. 1 .
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