Les vierges de raphaël et l'iconographie de la vierge. Tome 1. les images de la vierge en italie

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Les vierges de raphaël et l'iconographie de la vierge. Tome 1. les images de la vierge en italie

Considérées en dehors des faits évangéliques depuis les temps apostoliques jusqu'à raphaël

François-Anatole Gruyer - Collection Arts

564 pages, parution le 01/06/2020

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Résumé

Les vierges de Raphaël et l'iconographie de la Vierge. T. 1, Les images de la Vierge en Italie considérées en dehors des faits évangéliques depuis les temps apostoliques jusqu'à Raphaël / par F.-A. Gruyer
Date de l'édition originale : 1869

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Sommaire

TABLE DES MATIÈRES DU TOME PREMIER.

PREMIER SIÈCLE.

Les premiers cimetières chrétiens, p. 1.
- La Vierge de la catacombe de Sainte-Priscille; indépendance de l'art chrétien à son origine, p. 3.
- La femme dans la société chrétienne, p. 12.
- Les premières orantes, p. 14.
- Les premières martyres, p. 16.

SECOND SIÈCLE.

Les Vierges dans les hypogées chrétiens du second siècle, p. 18.
- La réhabilitation de la femme se répand même au sein de l'idolâtrie, p. 19.
- Les martyres chrétiennes, p. 21.
- Les catacombes se multiplient; les femmes et les vierges y sont partout représentées, p. 23.
- Les peintres, dans leurs images de Vierges, croient se rapprocher du dogme en s?éloignant de la nature.

TROISIÈME SIÈCLE.

La Vierge du cimetière de Domitille; le dogme tend de plus en plus à immobiliser l'art, p. 28.
- Le sentiment chrétien cherche à lutter contre l'abaissement de l'art officiel, p. 30.
- La Vierge du cimetière de Saint-Pierre et Saint-Marcellin; tentative d?émancipation, p. 31.
- Les vierges martyres et les orantes, p. 33.

QUATRIÈME SIÈCLE.

La dernière grande persécution, p. 40.
- L'art chrétien et l'art païen au commencement du IVe siècle, p. 43.
- Les orantes du cimetière de Sainte-Agnès, p. 43.
- La Vierge du cimetière de Sainte-Agnès, p. 46.
- Le triomphe de l'Église, p. 49.
- Commencement de la vie cénobitique en Occident, p. 51.
- Les couvents patriciens de Rome, p. 52.
- St Jérôme et les femmes chrétiennes, p. 53.
- La poésie chrétienne imprime au culte de la Vierge un caractère triomphal, p. 54.
- L'art chrétien prend, en se consacrant à la Vierge, une extension considérable, p. 55.
- Mosaïque de Sainte-Pudentienne, p. 56.
- L'Église proteste contre les hérésies en élevant des temples à la Vierge, p. 57.

CINQUIÈME SIÈCLE.

Hérésie de Nestorius; concile d'Éphèse; le culte de la Vierge est partout proclamé, p. 61.
- Tout ce que la peinture avait consacré à la Vierge, depuis le triomphe de l'Église, est détruit par les invasions, p. 63.
- L'art chrétien s?abaisse, les images de la Vierge se ressentent de cet abaissement, p. 64.
- Intolérance et divisions de l'Église au Ve siècle, p. 65.
- Apparition des premières Vierges de saint Luc, p. 66.
- La vie cénobitique et les écoles de peinture chrétienne au mont Athos, p. 67.
- Mosaïques dédiées à la Vierge, à Sainte-Marie-Majeure, p. 68.
- Influence de la femme sur la société chrétienne à la fin du Ve siècle.

SIXIÈME SIÈCLE.

Les femmes chrétiennes au commencement du VIe siècle, p. 72.
- Influence de la Vierge sur les temps barbares, p. 73.
- La femme inspire la poésie, p. 74.
- Hymnes en l'honneur de la Vierge, p.75.
- De nombreuses églises sont construites sous l'invocation de Marie, p.75.
- La peinture, en pleine décadence en Occident, devient de plus en plus indigne d?exprimer cette dévotion, p. 76.
- L'Orient sauve alors la tradition de l'antiquité, p. 76.
- La Vierge de saint Luc à Sainte-Marie-Majeure, p. 76.

SEPTIÈME SIÈCLE.

L'art s?abaisse encore en Occident, p. 83.
- La Mosaïque de Sainte-Agnès-hors-les-Murs, p. 83.
- La Vierge de l'oratoire de San- Venanzio représente l'art occidental du VIIe siècle, p. 85.
- La Vierge de Santa-Maria-in-Cosmedin représente l'art grec Vers la même époque, p. 86.
- Malgré la décadence et malgré la barbarie, la femme ne perd rien de sa dignité, et le culte de la Vierge grandit en ferveur, p. 86.
- Les saintes du VIIe siècle, p. 87.

HUITIÈME SIÈCLE.

Le pape St Serge Ier et l'église de Santa-Maria-in-via-lata, p. 90.
- Jean V?? et l'oratoire consacré à la Vierge dans la basilique de Saint-Pierre, p. 90.
- Caractère des Vierges byzantines, p. 92.
- L'Italie affrancspane du joug oriental et du despotisme lombard, p. 93.
- Les iconoclastes, p. 94.
- Les dernières Vierges des antiques cimetières chrétiens, p. 95.
- Les catacombes sont presque complètement abandonnées, p. 96.
- Les saintes du VIIIe siècle, p. 98.

NEUVIÈME SIÈCLE.

La première partie du IXe siècle promet d'être une renaissance, p. 100.
- L'empire d?Occident est rétabli dans son antique institution, p. 100.
- Rôle civilisateur de la femme, p. 101.
- Les Vierges du IXe siècle, p. 102.
- Notre-Dame-Sainte-Marie, p. 103.
- La Vierge de l'église des Saints Nérée et Acspanllée, p. 104.
- La Vierge de Santa-Maria-della-Navicella, p. 104.
- Mosaïque de l'église Sainte-Praxède, p. 106.
- Mosaïque de l'église Santa-Maria-in-Trastevere, p. 108.
- L'art perd, à la fin du IXe siècle, ce qu?il avait gagné au commencement, p. 110.
- Mosaïque de l'église Sainte-Françoise-Romaine, p. 110.
- Les Vierges du baptistère de Saint-Valérien, p. 111.

DIXIÈME SIÈCLE.

L'art en Italie est frappé doeune nouvelle stérilité, p. 113.
- Les mosaïstes disparaissent de la Péninsule, p. 113.
- Les images de la Vierge s?assombrissent en proportion de la barbarie des temps, p. 114.
- Quand tout semble s?éteindre en Occident, la lumière brille encore en Orient, p. 115.
- Les Vierges du ménologe grec du Vatican, p. 115.
- Les calendriers sont presque muets sur les saints du Xe siècle, p. 119.
- Les Vierges des monnaies byzantines, p. 121.
- Les couvents du mont Athos, p. 122.
- Manuel Panselinos. et l'école Agspanorite, p. 123.
- Le livre du moine Denys, p. 124.

ONZIÈME SIÈCLE.

Le XIe siècle est une époque d?enfantement et de douleur; Grégoire VII, p. 127.
- Le rôle de la femme est considérable à cette époque, p. 128.
-La royauté de la Vierge est partout proclamée, p. 129.
- Les croisades, p. 130.
- Hymnes en l'honneur de la Vierge, p. 130.
- Les mosaïstes reparaissent au mont Cassin, p. 131.
- Le doge Domenico Selvo provoque les grands travaux de Saint-Marc, p. 131.
- Les images de la Vierge en Occident sont rares au XIe siècle, tandis qu?elles abondent en Orient, p. 132.
- Vierges des monnaies byzantines, p. 132.
- La Vierge de Blaquernes, p. 133.
- Ivoire de l'évangéliaire de Besançon, p. 135, etc.

DOUZIÈME SIÈCLE.

Les Vierges des monnaies orientales pendant le XIIe siècle, p. 137.
- St Bernard, p. 138.
- Importance du rôle de la femme au XIIe siècle: la chevalerie, p. 140.
- Les saintes du XIIe siècle, p. 141.
- La poésie et la Vierge, p. 141.
- Construction des grandes cathédrales en l'honneur de la Vierge, p. 142.
- La Vierge dans les mosaïques de la Sicile, p. 143.
- Mosaïques de Santa-Maria-in-Trastevere, p. 144.
- Les Vierges grecques orthodoxes, p. 147.
- Le type des vierges byzantines s?altère chaque jour davantage, p. 150.
- L'école du mont Athos a fait son temps, p. 151.
- L'Occident prend définitivement le pas sur l'Orient.

TREIZIÈME SIÈCLE.

Le XIIIe siècle est l'âge d?or du catholicisme, p. 154.
- Tous les ordres religieux se mettent sous la protection de la Vierge, p. 155.
- St Dominique, St François d?Assise, St Thomas d?Aquin, St Bonaventure, etc., p. 156.
- Caractère d'humanité imprimé par St François d?Assise aux origines de la Renaissance, p. 157.
- Les disciples de St François, p. 158.
- Ste Claire, Ste Isabelle de France, Ste Élisabeth et Ste Marguerite de Hongrie, p. 159.
- L'art, en se prenant d?amour pour la nature, voue un nouveau culte à la Vierge, p. 160.
- Les Stabat de St Bonaventure et de Jacopone de Todi, p. 162.
- Les peintres grecs luttent en vain contre les tendances nationales de l'Italie; l'Occident désormais veut s?appartenir, p. 163.
Légende de la maison de la Vierge transportée de Nazareth à Lorette, p. 163.
-Initiative de la France; les Madones des cathédrales de Chartres, de Strasbourg et de Reims, p. 164.
- L'Italie reprend l'oeuvre de la France et la poursuit: les Vierges de Nicolas et de Jean de Pise, p. 165.
- Giunta de Pise, p. 167.
- Guido de Sienne, p. 168.
- Maestro Mino, p. 168.
- Bonaventura Berlingspaneri à Lucques, p. 169.
- Stefani de Naples, Solsernus de Spolète, Tullio de Pérouse, Margaritone d?Arezzo, Andrea Tafi et les Grecs Theophane et Apollonius, p. 169.
- Mosaïques de Jacopo da Turrita et de Gaddo Gaddi, p. 170.
- Origines de la renaissance florentine, p. 172.
- Cimabue, p. 173.
La Vierge de Santa-Croce, p. 174.
La Vierge do Santa-Trinità, p. 174.
La Vierge du couvent de San-Francesco, p. 175.
La Vierge de Santa-Maria-Novella, p. 176.
Les fresques d?Assise, p. 178.

QUATORZIÈME SIÈCLE.

Invocation adressée par St Bernard à la Vierge au dernier chant de la Divine Comédie, p. 181.
- La poésie démontre à l'art comment, par le double intermédiaire des sens et de la foi, il se peut élever jusqu?à Dieu, p. 183.
- Grâce à la Vierge, la peinture transforme l'amour terrestre en amour divin, p. 185.
- État politique et religieux de la Péninsule, p. 186.
- Ste Catherine de Sienne, p. 187.
- Les Madones des trecentisti, p. 188.
- Giotto entraîne avec lui l'Italie tout entière, p. 189.
- Puccio Capanna, p. 193.
- Stefano di Lapo, p. 195.
- Tommaso, p. 197.
- Taddeo Gaddi, p. 198.
- Buffalmacco, p. 200.
- Bruno di Giovanni, p. 202.
- Nello di Dino, Calandrino, Bartolo Gioggi, Giovanni da Ponte, p. 202.
- Andrea Orcagna, p. 202.
- Bernardo Nello; Nello di Vanni; Francesco Traini, p. 205.
- Bruno, p. 206.
- Ugolino, p. 206.
- Duccio, p. 206.
- Simone Memmi, p. 207.
- Lippo, p. 209.
- Ambrogio Lorenzetti, p. 210.
- Pietro Laurati, p. 211.
- Andrea di Guido, Jacopo di Frate Mino, Galgano di Maestro Minuccio, Vannino, Lazzaro, Martino di Bartolommeo, p. 211.
- Andrea Vanni, p. 212.
- Le Berna, p. 212.
- Les. Madones vénitiennes, p. 212.
- Giotto fait école à Padoue, p. 213.
- Le Siennois Taddeo. Bartoli, p. 213.
- Jacopo Davanzo et Alticspaneri da Zevio, p. 214.
- Le Florentin Giusto, p. 215.
- Guariento, p. 215.
- Marco Paolo, Lorenzo, Niccolo Semitecolo, etc., p. 216.
- Barnaba et Serafino de? Serafini, p. 217.
- Stefano de Florence, p. 217.
- Giovanni da Milano, p. 217.
- Laodicée de Pavie, Andrino, Michele de Roncho, etc., p. 217.
- Oderigi, p. 217.
- Franco, p. 217.
- Vitali, p. 218.
- Lorenzo, Simone, Jacopo, p. 219.
- Ottaviano, Pace da Faenza, p. 220.
- Galasso, Cristoforo, Simone de Crocefissi, p. 220.
- Japopo Avanzi, p. 221.
- Pietro, Orazio et Giovanni, p. 221.
- Maso et, Lippo di Dalmasio, p. 221.
- Tommaso degli Stefani, p. 221.
- Filippo Tesauro, p. 221.
- Francesco di Simone, Gennaro di Cola, Stefanone, p. 222.
- Francesco Oberto, p. 222.
-. Niccolo Voltri, p. 223.
- Conciolo, Cecco, Guido Palmeruccio, p. 223.
- Bocco, p. 223.
- Francesco Tio, p. 223.
- Ugolino d?Orvieto, p. 223.
- Andrea da Velletri, p. 223.
- Giovanni Bonini d?Assise, Lello de Pérouse; Fra Giacomo, p. 223.
- Pietro Cavallini, p. 223-224.
- Agnolo Gaddi, p. 226.
- Antonio de Venise et Stefano de Vérone, p. 228.
- Don Silvestro, Giovanni da Milano, Jacopo da Casentino, p. 229.
- Gherardo Starnina, p. 229.
- Spinello d?Arezzo, p. 229.
- Andrea di Lippo, les Vanni, Giovanni di Niccolo, p. 230.
- Considérations générales sur les Vierges peintes par les trecentisti, p. 230.
- Cennino Cennini, p. 234.
. - Le XIVe siècle est une époque de progrès; ce n?est point une époque de révolte, p. 236.

QUINZIÈME SIÈCLE.

L'Italie concentre en elle tous les éléments de renaissance, p. 238.
- Rôle de la femme et culte de la Vierge au XVe siècle, p. 239.
- Les écoles se forment avec leurs caractères particuliers et tournent vers la Madone leurs aspirations les plus pures, p. 240.
ÉCOLE FLORENTINE, p. 241.
- Paolo Uccello, p. 241.
- Masolino da Panicale, p. 242.
- Masaccio, p. 244.
- Beato Angelico, p. 246.
- Benozzo Gozzoli, p. 255.
- Fra Filippo Lippi, p. 260.
Fra Diamante, Pesellino, p. 260.
- Alesso Baldovinetti et Berto Lina-juolo, p. 260.
- Francesco Pesello, p. 260.
- Andrea del Castagno, Domenico Veneziano, p. 265.
- Antonello de Messine, p. 265.
- Baldo-vinetti, p. 265.
- Don Bartolommeo, p. 266.
- Verroccspano, p. 266.
- Maso Finiguerra, p. 267.
- Sandro Botticelli, p. 267.
- Cosimo Rosselli, p. 273.
- Piero di Cosimo, p. 274.
- Luca Signorelli, p. 274.
- Tommaso Bernabei et Turpino Zaccagna, Attavante, Domenico Pecori et. Matteo Lappoli, Rocco Zoppo, Baccio Ubertino, Francesco Baccspanaca, Niccolo Soggi, Gerino da Pistoja, Montevarcspan, Bastiano di San Gallo, Vittorio di Gspanberti, les deux Zaccspana, p. 279.
- Domenico Gspanrlandajo, p. 280.
- Frères et élèves de Domenico Gspanrlandajo, p. 284.
- Filippino Lippi, p. 284.
- Raffaellino del Garbo, p. 288.
- Léonard de Vinci, p. 292.
- Lorenzo di Credi, p. 306.
- Fra Bartolommeo, p. 308.
- André del Sarte, p. 316.
- Michel-Ange, p. 324.
ÉCOLE SIENNOISE, p. 336.
- Famille des Bartoli: Taddeo Bar-tolo, p. 337.
- Domenico di Bartolo, p. 338.
- Giovanni di Paolo, Sano di Pietro, le Veccspanetta, Angelo Parrasio, Francesco di Giorgio, Neroccio, Capanna, Matteo di Giovanni, p. 341.
- Andrea del Brasciano, Paccspanarotto, p. 343.
- Balthazar Peruzzi, p. 343.
- Antonio Razzi,344.
- Domenico Beccafumi, p. 346.
ÉCOLE VÉNITIENNE, p. 347.
- Antonio Vivarini, p. 349.
- Bartolommeo Vivarini, p. 349.
- Luigi Vivarini, p. 350.
- Jacobello, p. 351.
- Carlo Crivelli, p. 352.
- Jacopo Bellini, p. 352.
- Antonello de Messine, Jeanet Gentile Bellini, pp. 354 et 355, etc.
- Vittore Carpaccio, p. 365.
- Imitateurs de Jean Bellin. p. 366.
- Marco Basaiti, p. 366.
- Bellin Bellini, p. 366.
- Marco Marziale, p. 367.
- Vincenzo Catena, Giannetto Cordegliagspan; Pier Francesco Bissolo; Girolamo da Santa-Croce, p. 367.
- Girolamo Mocetto, p. 367.
- Cima da Conegliano, p. 369.
- Giorgione, p. 371.
- Lorenzo Lotto, p. 375.
- Titien,377.
- Licinio Pordënone, p. 381.
- Palma Veccspano, p. 382.
- Bonifazio, p. 382.
- Paris Bordone, p. 382.
- Tintoret, p. 383.
- Paul Véronèse, p. 383.
ÉCOLE DE MANTOUE. - Andrea Mantegna, p. 385.
ÉCOLE MILANAISE. - Giacomo Morazone, p. 397.
- Inventeur de l'art de faire bien voir: Giovanni della Valle, Costantino Vaprio, Foppa, Carlo Civercspano, Ambrogio et Filippo Bevilacqua, Fazio Bembo de Valdarno, Cristoforo Moretto de Cremone, Pietro Francesco di Pavia, Albertino de Lodi, p. 398.
- Bernardino Zenale, Bartolommeo de Cassino et Luigi de Donati, élèves de Civercspano, p. 398.
- Bramante Lazzari, p. 399.
- Nolfo de Monza, Bramantino, p. 399.
- Ambrogio Borgognone, p. 401.
- Léonard de Vinci, p. 406.
- Bernardino Luini, p. 407.
- Giovanni Antonio Beltraffio, p. 415.
- Francesco 9elzi, p. 417.
- Salaino, p. 417.
- Andrea Solario, p. 417.
- Cesare da Cesto, p. 418.
- Marco d?Oggione, p. 419.
- Giovanni Pedrini, Pietro Ricci, Cesare Cesarino, Niccolà Appiano, Cesare Arbaccio, Francesco d?Adda, Ambrogio Egogni, Gaudenzio Vinci, Bernardino Fasolo, p. 420.
- Gaudenzio Ferrari, p. 420.
ÉCOLE DEPARME. - Bartolommeo Grossi, Jacopo Loscspan, Alessandro Araldi, Michele, Pierilario, p. 423.
- Antonio Allegri, p. 424.
ÉCOLE DE FERRARE. - Situation politique et littéraire de Ferrare au XVe siècle, p. 440.
- Galasso Galassi, p. 442.
- Antonio de Ferrare, p. 442.
- Oliviere di San-Giovanni et Ettore Bonacossa, p. 443.
- Stefano de Ferrare, p. 443.
- Cosimo Tura, p. 443.
- Francesco Cossa,444.
- Lorenzo Costa, p. 446.
- Ercole Grandi, p. 440.
- Mazzolino, p. 451.
- L'Ortolano, p. 451.
- François et Jérôme Cotignola, p. 451.
- Les Dossi, p. 451.
- Garofolo, p. 452.
- Michele Coltellini et Domenico Panetti, p. 452.
- Caligarino, Niccolo Sorioni, Francesco Dianti, Girolamo Carpi, le Scarcellino, p. 452.
ÉCOLE BOLONAISE. - Lippo Dalmasio, p. 453.
- Orazio di Jacopo, Severo, Galante, p. 454.
- Jacopo Ripanda, p. 454.
- Bom-bologno et Ercole, p. 454.
- Michele di Matteo, p. 454.
- Marco Zoppo, p. 454.
- Francesco Raibolini, p. 455.
- Jacopo Raibolini, p. 460.
- Amico Aspertini, p. 461.
- Niccolo Rondinello de Ravenne, p. 461.
- Bitino et Francesco di Borgo de Rimini, p. 462.
- Melozzo, Bartolommeo et Marco Palmegiani, de Forli, p. 462.
- Giambattista et Carradori, de Faenza, p. 462.
- Parmigiano, Niccolo dell' Abate et Giralomo, de Trévise, p. 462.
- Bagnacavallo, p. 463.
- Innocenzio da Imola, p. 463.
ÉCOLE ROMAINE. - Ce qu?est l'école romaine par rapport aux autres écoles de la Péninsule, p. 466.
- Gentile da Fabriano, p. 467.
- Piero della Francesca, p. 471.
- Fra Carnevale, p. 473.
- Giovanni Santi, p. 473.
- Pietro da Mezzaforte et Niccolo di Libera-tore, p. 482.
- Niccolo Alunno, p. 482.
- Bartolommeo Caporali, p. 484.
- Fiorenzo di Lorenzo, p. 485.
- Benedetto Buonfiglio, p. 485.
- Pérugin, p. 486.
- Bernardino di Betto, p. 495.
- Andrea di Luigi, p. 501.
- Giovanni Spagna, p. 502.
- Girolamo Genga, p. 503.
- Eusebio di San-Giorgio, Domenico di Paris Alfani, Giannicola Manni, Berto di Giovanni, Giambattista Caporali, Francesco Melanzio, Sinibaldo Ibi, Tiberio d'Assise, p. 504.
- Raphaël, p. 505.
LE RÊVE DU CHEVALIER, p. 514

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Caractéristiques techniques

	PAPIER
Éditeur(s)	Hachette
Auteur(s)	François-Anatole Gruyer
Collection	Arts
Parution	01/06/2020
Nb. de pages	564
Format	15.6 x 23.4
Couverture	Broché
Poids	768g
EAN13	9782329419657